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Liban -

Sayed Nasrallah : les données prouvent que le Tribunal Spécial pour le Liban ne travaille pas honnêtement

Par

Dans une interview exclusive sur notre chaîne al-Manar, le secrétaire général du Hezbollah Sayed Hassan Nasrallah a affirmé que des membres et des partisans du Hezbollah ont été convoqués pour être interrogés par le bureau du juge du Tribunal Spécial pour le Liban (TSL), chargé d'enquêter dans l'assassinat de l'ancien Premier ministre libanais Rafic Hariri, en tant que témoins, soulignant que ce n'est pas la première fois qu'une telle convocation a eu lieu.

Sayed Nasrallah : les données prouvent que le Tribunal Spécial pour le Liban ne travaille pas honnêtement

Amr Nassif : Nous allons entrer dans le vif du sujet et parler des fuites que certains médias ont rapportés concernant la convocation de certains membres du Hezbollah et /ou des proches du Hezbollah, est-ce que ces informations sont vraies ?

Sayed Hassan Nasrallah : Oui, elles le sont. C’est vrai le bureau du procureur général du TSL à Beyrouth a contacté certains membres du Hezbollah et certains partisans du Hezbollah pour les interroger.

AN : Peut-on savoir leur nombre ?

SHN : Environ 12 personne ont été convoquées, et six autres le seront.

AN : Est-ce la première fois que des membres du Hezbollah sont convoqués dans le cadre de l’enquête du TSL ?

SHN : Non ce n’est pas la première fois ; cela a eu lieu en 2005, puis en 2008 et en 2009 ; des membres du et des partisans du Hezbollah ont été convoqués, mais ce qui est étrange c’est que c’est la première fois qu’on en fait tout ce bruit médiatique…

AN : Pouvez-vous nous dire si des cadres du Hezbollah ont été interrogés ?

SHN : Oui il y a eu deux cadres du Hezbollah qui a été convoqué (…), il s’agit d’un responsable culturel et d’un autre aussi qui travaille dans le domaine du jihad et qui travaille avec les frères Palestiniens (…).

AN : Quelle est votre réaction ?

SHN : Je vais en parler plus tard ; ce que nous réclamons c’est de garder le secret et ce pour l’intérêt de l’enquête. Nous aussi allons garder le secret, et nous n’allons pas divulguer ni les noms de ceux qui ont été interrogés, ni la teneur des interrogatoires.

AN : Est-ce vous pensez qu’il y aura d’autres convocations ?

SHN : Nous n’avons pas d’information spéciale mais tout est possible. En fonction de ce qui est dit dans certains salons politiques et médias, nous pouvons deviner ce qui va se passer.

AN : Ces convocations se font à la base de quelles accusations ?

SHN : Jusqu'à maintenant ce que nous savons par le biais des qu’en-dit-on dans les médias et la teneur des rencontres qui ont eu lieu entre les membres du bureau du procureur général et ceux qui ont été convoqués, tous nous ont assurés que ceux qui sont convoqués sont interrogés en tant que témoins et non en tant qu’accusés.

AN : Que disent les médias ?

SHN : Nous avons deux suppositions pour comprendre les visées de ces rumeurs répandues non seulement dans les médias, mais aussi dans des déclarations et des ambassades et des services de renseignements étrangers et arabes : soit elles ont pour but de lancer des accusations politiques, soit elles sont liées à la commission d’enquête du TSL. Ces deux volets peuvent très bien être liés l’un à l’autre.

Mais moi je m’arrête sur le timing d’une telle campagne ; ainsi le premier épisode qui a parlé du Hezbollah (…) a été le journal français le Figaro, et ce en aout 2006, c'est-à-dire après la guerre de juillet (...). Le Figaro a évoqué des détails, des mises sur écoute, des décisions d’assassinat, des motifs, un groupe de pays régionaux impliqués (…).

La deuxième fois, c’est le quotidien koweitien « as-syasat » ( la politique) qui a repris cette version en mars 2009, c‘est-à-dire au moment où les quatre hauts officiers libanais devaient être libérés ; rappelons qu’en 2005, c’est ce même quotidien qui avait dressé un scénario détaillé sur une soi-disant implication des quatre hauts- officiers dans cet assassinat (…).

Puis en 2009, Der Spiegel a repris à peu près la même version à la veille des élections législatives, puis Le Monde français en a reparlé en 2010.

Puis en 2009, Der Spiegel a repris à peu près la même version à la veille des élections législatives, puis Le Monde français en a reparlé en 2010.

Ce sont des articles qui tentent de diriger l’enquête pour diriger les accusations dans une direction précise (…). Ils prétendent avoir recueilli leurs informations à partir de sources proches du TSL ! Tout ce qui a été dit sont des accusations politiques ; et je vous rappelle que dès les premières heures de l’assassinat de Rafic Hariri, des voix se sont élevées au Liban et ailleurs pour accuser la Syrie, le régime de sécurité libano-syrien, les services de renseignements syriens, etc. ! Et cela s’est poursuivi jusqu’à la visite toute récente de Saad Hariri en Syrie.

AN : Est-ce qu’il y a eu des accusations dirigées contre le Hezbollah ou ses membres ?

SHN : jusqu’à présent, aucune accusation n’a été dirigée contre nous ! Il se peut qu’il y en ait dans le futur. Je vous réponds maintenant en fonction des faits.

AN : Comment comprenez-vous les sources qui sont derrière ce qui a été propagé dans les médias ?

SHN : dans les médias (…), nous voyons ce qui se passe à présent à la lumière de ce qui s’est passé en 2005 à l’encontre de la Syrie, du système sécuritaire libano-syrien (qui était sur place) et des 4 officiers libanais.

Nous parlons d’accusations politiques, parce que nous sommes une cible depuis bien longtemps… Je me souviens très bien, dès l’assassinat d’Hariri, il y avait des forces politiques locales, régionales et internationales qui avaient immédiatement accusé la Syrie et les officiers… En ce moment, des responsables et des médias israéliens ont pointé du doigt le Hezbollah. Ceux qui ont accusé la Syrie avaient un problème avec la Syrie et voulaient en finir… Il en est de même avec l’accusation dirigée maintenant contre le Hezbollah.

Comme cela d’ailleurs s’était passé avec les évènements du 11 septembre, des Israéliens s’étaient attelés à accuser le Hezbollah, mais cette accusation n’a pas été prise en compte, parce qu’il y avait un autre projet derrière ces attentats : celui d’envahir de l’Afghanistan, puis l’Irak…

Des Israéliens ont pourtant longuement évoqué une coordination entre Al-Qaïda et le Hezbollah dans ces attentats, parlant de rencontres qui ont réuni Hajj Imad Moughniyé à Ben Laden sur les frontières pakistano-iraniennes…

Il était prévu que les changements perpétrés contre la Syrie et ses alliés et toutes les tentatives pour l’isoler et l’exclure auraient du en même temps mettre fin à la résistance, mais en vain. Il y a eu par la suite la guerre 2006, pour lui mettre fin ; et j’assure à cet égard qu’il y avait un projet qui prévoyait un changement démographique au Liban, dans une moindre mesure au Sud ; mais la résistance est sortie victorieuse et ce projet a échoué... Puis il y a eu les tentatives de provoquer une discorde confessionnelle à travers les évènements du 5 et du 7 mai ; et nous avons aussi dépassé cette situation...

C’est pour cela que la Résistance est plus que jamais la cible, car son influence est importante aussi bien dans l’équation locale que régionale, c’est une source de fierté pour le Libanais.

Quels sont les moyens qu’il faut utiliser pour l’affronter : pas la guerre car ses résultats ne sont pas garantis… Alors il faut y aller par une campagne de déformation, en voulant porter atteinte à l’image de cette résistance, en l’accusant de terrorisme, trafic de drogue, de blanchiment d’argent, d’être impliquée dans des affaires douteuses de faux monnaies.

Ces moyens déployés pour ternir l’image resplendissante de la résistance ne sont pas nouveaux, mais c’est la dernière cartouche, la dernière balle contre la résistance est celle de recourir à accuser le Hezbollah, depuis l’article du Figaro ; ni le TSL, ni les forces politiques ne sont loin de cela.

AN : Vous parlez donc d’un plan mis au point.

SHN : Ce qui est dit dans les médias et certains cercles politiques n’est pas nouveau. Mais les assertions se sont accentuées dernièrement... Des responsables politiques et sécuritaires, ainsi que certains cercles avancent que le TSL va accuser des membres du Hezbollah. Ce ne sont pas des spéculations, car ils fondent leurs dires sur des sources liées au TSL ; ils disent même que le bureau du procureur va décréter un acte d’accusation. En mai 2009, c’était écrit que l’acte d’accusation allait être décrété dans trois semaines, mais ceci n’a pas eu lieu.

En principe, le Hezbollah n’a rien à craindre. Dans les échéances précédentes, nous n’avons pas traité ce sujet avec sensibilité, et ils n’ont même pas coordonné avec nous pour convoquer des membres du Hezbollah. Nous avons dit aux frères de répondre aux demandes d’interrogatoires. Mais lorsque les convocations surviennent en même temps que des informations disant que durant le mois d’avril, l’enquête va aboutir à des accusations contre le Hezbollah, comment les expliquer ?

AN : Pourquoi écartez-vous les spéculations ?

SHN : Il y a trois explications possibles : la première est que ces responsables et journalistes spéculent en prévoyant un scénario qui, comme par hasard, est suivi à la lettre par la commission d’enquête.

Soit il y a vraiment des fuites venant de certaines parties du TSL qui font passer ces informations à certaines parties politiques et médiatiques pour réaliser des visées politiques. Soit ces parties connaissent l’inconnu… Personnellement, j’adopte la deuxième éventualité. J’ai étudié le communiqué de Monsieur Bellemare, et je l’invite à être plus méticuleux. Car il a des employés hauts placés ou moins et qui entretiennent des liens avec ces services, et des partis politiques qui sont derrière les fuites. Le premier responsable de ces fuites est le bureau du procureur général.

AN : Quels sont les fondements de cette campagne médiatique ?

SHN : Je parle de fuites ; des scénarios, des débats suscités dans les salons et rapportés par des journaux. Ce qui confirme encore plus notre lecture, c’est qu’il y a eu des antécédents. Depuis la formation de la première commission d’enquête, tout ce qui s’y passait, nous le lisions dans les journaux et les médias. Nombreux sont ceux qui avaient été accusés par les médias puis convoqués par la commission d’enquête…

L’histoire du tribunal regorge de fuites ; ce n’est pas un cadre homogène, il est formé de gens venus de plusieurs régions, qui peuvent être en conflit entre eux, comment expliquer sinon le grand nombre de démissions qui ont entaché ce tribunal dans un temps aussi court ?? Un tribunal pareil est un fourre-tout où chacun a une place, à l’exception des forces du 8 mars…

AN : Vous dites que certaines parties politiques et médiatiques insistent pour accuser le Hezbollah ; pour quelles raisons ? Pour le supprimer ?

SHN : La suppression du Hezbollah n’est qu’un rêve. Le minimum requis est de déformer l’image du Hezbollah qui jouit du respect et du soutien de beaucoup. Toutes les tentatives de déformation ont été vouées à l’échec, même le discours confessionnel n’a pas fait ses preuves. Maintenant, ils essaient ce moyen ; ils veulent réduire à néant l’image resplendissante d’un dirigeant dont les qualités sont inégalables ; je signifie par là le martyr Imad Moughniyé. Ils ont commencé à le faire dès maintenant parce qu’ils veulent gagner du temps. Peut-être voudraient-ils aussi effectuer un arrangement avec le Hezbollah, en contre partie de son armement par exemple…

AN : Le timing des campagnes de fuites semblent prendre la forme de punition contre le Hezbollah ?

SHN : J’ai déjà répondu à cette question dans le contexte des autres réponses. Sinon comment expliquer qu’elles sont survenues après la guerre de juillet, après les évènements internes et après la libération des quatre officiers ; c’est clair.

AN : Comme si d’aucuns cherchent à entraver cette résistance.

SHN : Sachez que ces efforts n’ont aucun impact ; depuis les pressions de 2005, ils ont cru pouvoir divertir le Hezbollah, je les rassure qu’ils n’y parviendront pas ; nous sommes un grand parti ; ceux qui se chargent du dossier politique ne sont pas ceux qui se chargent du dossier de la résistance et réciproquement… Alors que nous sommes en pleine débat, vous et moi, certains ne sont nullement concernés par ce débat et œuvrent nuit et jour pour que la résistance soit la plus forte. Personne ne peut affaiblir la résistance.

AN : A quoi sert une telle accusation si elle n'est que politique ?

SHN : c'est une bonne question. En 2005, il y a eu des accusations politiques dont les séquelles politiques et sociales ont été de grande gravité. Les pressions ont provoqué le retrait des forces syriennes, moi je ne dis pas que ce sont les manifestations qui ont contraint les Syriens à se retirer ; mais ce sont les pressions internationales qui ont été exercées contre elles qui les ont amenées à un tel retrait et parce que la direction syrienne est sage et ne veut pas entrer en conflit.

Il y a eu un grand changement politique au Liban, en fonction duquel mêmes les élections législatives de 2005 ont été menées ; certains disaient que ceux qui votent pour l'autre liste sont en train de voter pour les assassins de Rafic Hariri.

Le parlement libanais a été mis en place en fonction de cette accusation ; toute la région a risqué de sombrer dans l'abime en raison de cette accusation.

Voilà ce qui est advenu en raison d'une accusation politique ; il ne faut pas sous-estimer une accusation politique. Nous n'accepterons aucune accusation politique ou médiatique qui sera adressée contre nous, ceci doit être clair. Même si elle est simplifiée ; même si elle est présentée comme étant une accusation contre des membres du Hezbollah et non contre le Hezbollah ; l'accusation politique n'est certes pas quelque chose de facile, elle a contribué à l'assassinat d'ouvriers syriens innocents.

Il se peut que la réalité aujourd'hui ne soit pas aussi difficile, sinon ils vont pousser le pays vers une situation difficile. Nous n'acceptons aucune accusation politique, aucune tentative de porter atteinte à notre image, même si le TSL n'en dit rien.

AN : Quel est votre évaluation sur la commission d'enquête et sa façon d'agir ?

SHN : Chacun dans le pays a le droit d'évaluer à sa façon et nous ne voulons pas entrer dans une controverse. A un certain moment, il faut amorcer un débat juridique, éthique et législatif ; j'ai lu l'interview de Mohammad Bahij Tabbara pour asSafir qui est très pondéré et scientifique et qui parle de cette étape ; bref je ne vais pas en discuter parce que nous sommes devant un fait accompli qui s'appelle le Tribunal Spécial pour le Liban et le bureau du procureur, qui s'appelait dans le passé la Commission d'Enquête. A notre avis, tout ceci ne fait qu'un, et nous avons beaucoup de remarques à faire sur sa façon d'agir.

D'abord, la commission d'enquête doit observer une totale discrétion, s'agissant des témoins, ou de la teneur de l'enquête, ce qu’elle n'a jamais respecté ; raison pour laquelle sa crédibilité a été bafouée car elle a été exploitée politiquement.

Dès le début, nous avons considéré que la commission n'a pas travaillé de façon impartiale : elle s'est basée sur une seule supposition et elle a agi uniquement en fonction d'elle, ce qui montre qu'elle est politisée. Toutes les autres éventualités ont été exclues : celle du Hezbollah, d'Al-Qaïda, voire même celle d'Israël ou de tout autre service de renseignements qui aurait voulu semer le chaos au Liban. Une seule supposition a été retenue, celle de la Syrie et des officiers libanais.

Je n'accuse pas Israël parce que je n'ai pas d'indices, mais je peux analyser comme les autres le font. Le fait d'exclure l'éventualité qu'Israël ait pu tuer le martyr Rafic Hariri constitue une humiliation à son encontre.

Et puis quand il y a eu l'hypothèse de la bande de 13 ( d'Al-Qaïda), la commission a refusé de la prendre en considération ; le dossier a directement été clos par la commission pourtant il y avait des aveux de la part des membres de cette bande comme quoi ils sont responsables et ils ont donné des preuves ; mais après ils ont dit qu'ils ont retiré leurs aveux. Personne ne sait comment ce dossier a été clos et qu'en est-il advenu de cette bande et pourquoi la commission d'enquête l'a réfuté. Parce vraisemblablement, il ne sert pas les objectifs de l'enquête.

Jusqu'à présent, la commission travaille en fonction d'une seule hypothèse ; après avoir épuisé celle des hauts officiers, elle brandit celle du Hezbollah, des membres du Hezbollah avec ou sans directives syriennes. Peut-être vont-ils prendre pour cible deux ou trois membres ensemble.

Le quatrième constat à l'encontre de cette commission concerne les faux-témoins et qui se sont avérés être des menteurs ; le TSL dit qu'il n'a rien contre eux, pourtant ils ont fourvoyé l'enquête, de plus ils ont été recrutés par des parties qui devraient être dévoilées et interrogées et qui semble-t-il les protègent toujours.

La cinquième remarque que nous avons est la façon d'agir avec les suspects qui ont été convoqués et le traitement qui leur a été consacré ; deux d'entre eux sont restés en prison pendant 2 ans et 7 mois pour la simple raison qu'ils ne savaient pas à qui ils ont vendu des cartes téléphoniques. Où est donc cette enquête juste et équitable ?

Deux autres sont restés en prison quelques 2 ans et 8 mois parce qu'ils appartenaient à une partie politique, et parce que l'un d'entre eux avait contacté un des hauts officiers libanais qui ont été arrêtés.

D'aucuns ont été jetés en prison pendant plus de 3 ans et 8 mois sur la base d'informations recueillies par de faux-témoins, et ces derniers n'ont jamais été préoccupés et sont toujours en liberté. Ceci se poursuit même avec Bellemare qui rien n'a changé.

L'accusation politique a fini par s'effondrer seulement grâce à la lutte persévérante des hauts officiers libanais et de la Syrie et de tous ceux qui ont été injustement arrêtés, et grâce aux efforts astronomiques qui ont été déployés pour dévoiler les erreurs commises ; c'est pour cela qu'ils ne pouvaient plus continuer dans leur arrestation.

Je pense que ceci suffit pour soupçonner le tribunal s'il veut dévoiler la vérité ou servir les objectifs d'un grand projet.

Rappelons à cet égard qu'un officier avait suggéré au général Jamil AsSayed (qui fait partie des quatre hauts officiers libanais qui avaient été arrêtés) un accord, pour le relâcher. Imaginez que serait-il advenu s'il avait accepté.

Toutes ces données nous permettent de conclure que ce tribunal n'a aucune crédibilité et nous assurent qu'il n'œuvrera jamais en toute honnêteté ; c'est cela notre évaluation.

A suivre.

Source : Al Manar

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