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30 avril 2003
Par Silvia Cattori
Pour se rendre à Jenine depuis Ramallah, il faut obligatoirement passer par le check point militaire de Qalandia, après avoir quitté le "taxi service", transférer ses lourds bagages sur une charrue. Après avoir subi le contrôle humiliant de l'occupant casqué, il faut partir à la recherche d'un autre "taxi service", de l'autre côté du check point.
Des foules de Palestiniens se croisent en silence, à cet endroit immonde tenu par l'armée. Le check point, avec ses fils de barbelés, ses couloirs bétonnés, ses miradors hauts sur pieds, ses soldats lourdement armés qui ne vous disent ni bonjour ni au revoir, mais pestent et gueulent, est une invention purement israélienne. Elle fait partie de tout un systeme d'apartheid très sophistiqué, dont le monde n'a pas idée.
Je suis montée dans le petit bus déjà en position de départ. Cap sur Jenine. J'ai brièvement regardé la tête des huit hommes gentiment assis. Des hommes jeunes, discrets, timides. Le chauffeur, une tête sympathique, s'apprêtait a démarrer, quand tout-à-coup, un blindé a surgi, suivi d'une second, d'où on entendait hurler par mégaphone, en hébreu, que plus aucun Palestinien mâle ne pouvait bouger d'un yota. Des soldats portant l'uniforme bleu foncé de la police militaire, israélienne bien sûr - il n' y a plus d'homme de la sécurité palestinienne depuis qu'Israël les a physiquement éliminés - ont demandé à tous les hommes qui appartenaient à une tranche d'âge supposée, de présenter leurs ID (carte d'identité).
Ils n'ont aucun respect de la vie humaine. Ils sont détestables. Pas un homme qui se rebiffe. Une fois les ID ramassés avec une déconcertante facilité, les policiers sont allés s'enfermer dans leur véhicule muni de radios, d'antennes, de tout un arsenal. Les hommes, dignes, figés dans un silence inquiétant, étaient forcés de rester là, sous la pluie battante à attendre, pendant que ces autres arrogants riaient de cette nouvelle vexation qu'ils avaient tout pouvoir de leur infliger, contre quoi ils ne pouvaient rien. Allaient-ils être arrêtés, relâchés ? En une année des dizaines de milliers de Palestiniens ont été kidnappés, puis enfermés dans des geôles infectes, sans raisons autre que de les avilir, à l'occasion de ce genre de contrôles. En une année, quelques 35000 hommes, jeunes pour la plupart, ont été arrêtés, emprisonnés durant des périodes plus ou moins longues de façon extra-judiciaire. Que ressentaient-ils à l'intérieur d'eux-mêmes, tous ces hommes pris entre les mains de plus fort qu'eux, qui ne laissaient rien voir ?
Le voyage fut des plus fascinants et des plus pénibles tout à la fois. Fascinant par l'accueil direct et spontané que mes compagnons de voyage m'ont d'emblée réservé. Pénible par l'omniprésence des militaires et de ces colonies juives jetées là, sans gêne aucune, sur les plus belles collines du monde, au mépris de leurs authentiques habitants. D'où que l'on regarde, ces colonies juives immédiatement répérables par leurs toits de tuile rouge vif, vous sautent aux yeux. Elles sont toutes pareilles, toutes hideuses, toutes retranchées derrière des grillages, des barrières électrifiées, des campements truffés de soldats qui veillent sur elles… Autant dire, que les Palestiniens sont ici comme des parias, pourchassés, exclus. C'est une histoire triste à pleurer que la leur. Et très difficile à raconter. Les Israéliens, après les avoir chassés, après avoir détruit leurs villages d'architecture arabe typique, ont construit un monde à leur image. Quelque chose d'effrayant.
Mes compagnons de route regardent sans rien dire les chaînes collinaires qui font la géographie splendide du lieu et composent son paysage antique, avec un air de tristesse mêlé de lassitude, mais aussi de rage contenue Il n'y a plus l'ombre d'un Palestinien. Cela donne une idée de l'efficacité du bouclage. L'on ne voit que des véhicules conduits par des colons qui vont d'une colonie juive à une autre en toute tranquillité, et des mastodontes militaires arborant, eux aussi, le drapeau d'Israël, qui les traquent.
A l'approche d'un check point en rase campagne - check qu'ils semblaient redouter fort - leurs visages se sont voilés de mystère, leurs gestes se sont ralentis, leurs yeux se sont figés. On aurait dit qu'ils se préparaient à faire le vide des émotions, pour affronter vaillamment des adversaires dont ils savaient toute la cruauté et la volonté d'humilier.
Froids, suffisants, les soldats ne leur parlent pas, mais aboient, font des signes vulgaires, donnent des coups de crosses, comme si nous n'étions plus dans le monde des hommes. C'est ainsi que j'ai vu mes compagnons sortir du bus, comme des coupables, les bras hauts au-dessus de la tête, tels des vaincus. Je savais cette chose-ci : que je ne devais pas avouer aux soldats que j'allais à Jenine. J'avais donc une réponse toute prête. Jenine, la résistante, était une ville bouclée, affreusement martyrisée, difficile d'accès. Elle était perçue par ces armées brutales, comme un nid de "terroristes ", comme l'incarnation du mal. Donc, celui qui voulait y aller ne pouvait qu'être suspect, mal intentionné. C'est comme cela que ces obsédés, dressés à haïr et à éliminer cet " autre " animalisé, raisonnaient, empêchant les Palestiniens d'entrer à Jenine ou d'en sortir. J'étais encore assise sur la banquette quand un soldat, fusil au poing, mais encore éloigné d'eux, comme s'il avait peur, leur a fait comprendre qu'ils devaient se déshabiller. Ils se sont immédiatement exécutés. Sauf un. Ils ont enlevé leur veste et leur chemise et descendu un bout de leur pantalon, avec gêne. C'était une atteinte à leur pudeur qui, visiblement, les blessait. Pendant qu'un soldat s'avançait, sa mitrailleuse en position de tir, les autres soldats à l'arrière en faisaient autant. Les hommes ne quittaient pas du regard les yeux du soldat qui les menaçait. Ce sont des moments où, suspendu, on cesse de respirer. Il y avait une force dans ce regard, mêlée d'humilité, qui communiquait l'incommunicable. Une force magnétique. Quand j'ai cherché le regard de l'homme buté, pour l'implorer de ne rien risquer, j'ai compris qu'il ne cèderait pas, qu'il préférait mourir. Peut-être même qu'il avait eu ce sursaut de bravoure, qui correspondait à son désir profond de faire acte de résistance, parce que j'étais là.
Avec moi le soldat n'était pas mauvais. Preuve que ce qui le guidait avait un lien immédiat avec la race. Il m'a semblé ennuyé de savoir que j'étais là. Quand, hors de lui, il a demandé aux soldats de s'emparer de l'homme buté, un frisson d'effroi m'a traversé ; puis j'ai regardé le soldat pour le tirer, avec toute la force du désespoir, par cette unique corde qui reste, en ces cas extrêmes. Je me souviens que son visage à moitié casqué occupait entièrement l'espace, que je cherchais ses yeux noisettes pour tenter d'atteindre, au tréfonds des tréfonds, un semblant d'humanité. Je ne sais pas pourquoi, peu a peu, un air de détente a traversé cet espace étouffant où nous étions enserrés. Au moment de la fouille, une petite boîte en carton peint dans des coloris printaniers a attiré l'attention du soldat qui s'est prestement reculé, comme s'il craignait Dieu sait quoi. Ordre a été donné à son propriétaire, de l'ouvrir. Il en est sorti un minuscule poussin. Nous étions a l'approche de Pâques. Le ciel était d'un bleu irréel ; il faisait une chaleur à fondre les pierres. Le soldat, avait l'air bête. Le Palestinien - un garçon grand, souriant - avec son oisillon apeuré, avait réussi en l'espace d'une seconde à désarmer le soldat. Ce qui a grandement contribué à détendre l'atmosphère. Quand le bus est reparti, chacun est rentré dans une espèce de contentement de soi, et s'est absorbé dans ses pensées.
A l'approche de Jenine j'ai senti mes voisins tendus, comme sur des charbons. Le chauffeur, un être que j'ai appris a aimer en ces minutes angoissantes, était comme aux aguets. Il s'arrêtait, glanait des renseignements ici ou là. Pa besoin d'être familier des lieux pour comprendre que nous étions dans une zone où l'armée patrouillait. Qu'on pouvait à tout moment se trouver nez à nez avec un tank. Cela n'a pas tardé. Quand notre merveilleux chauffeur - qui avait très à cœur de nous mener à destination, après de multiples allées et venues qui nous disaient, mieux que des mots, qu'il ne voyait pas comment les éviter - a aperçu très au loin des véhicules militaires et des soldats en position de tir, avant même que ces derniers lui ordonnent quoi que ce soit, il a coupé le moteur, ramassé nos pièces d'identité, quitté le bus, ouvert sa chemise, levé les bras, pour aller doucement, en homme écrasé, vers la troupe comme devant un peloton. Tout dans sa silhouette courbée et sa démarche lente et saccadée vous disait que la peur le pétrifiait. Ici ce n'était pas un check. C'était quelque chose de bien plus terrible et chargé d'inconnu. C'était un de ces postes de " contrôle mobile " et d'arbitraire mis en place par des escadrons de la mort, comme il doit y en avoir beaucoup en Palestine. Là-devant on comprenait mieux pourquoi l'on ne voyait jamais personne sur les routes. Parce que, en ces lieux, mettre son nez dehors si on n'est pas un colon juif c'est s'exposer gravement.
Leur ton était menaçant, leur gueules peu rassurantes. Ces hommes n'étaient plus les combattants d'une armée, mais les tenants d'un gang ; des gangsters. Parmi les pièces d'identité que notre chauffeur portait haut au-dessus de sa tête, il y avait mon passeport rouge. Les soldats savaient désormais qu'il y avait un non Palestinien a l'intérieur de notre véhicule. Nous n'éprouvions plus que tendresse pour cet ambassadeur otage qui risquait de se faire tuer pour nous. Voilà un homme qui se battait chaque jour dignement pour gagner de quoi nourrir sa famille et bien servir sa clientèle, qui était forcé de vivre sous la menace permanente de cette bande de gangsters. Et mes voisins d'infortune, qui étaient, tout comme lui, d'estimables travailleurs rentrant après une longue absence pour revoir leur famille, qui devaient - parce qu'enfants de Jenine - se faire à l'idée qu'on leur tire éventuellement dessus, se faire à l'idée de la mort, ou s'ils étaient chanceux, à l'idée de s'en sortir blessés… Tout cela était inadmissible. Pourquoi le monde tarde-t-il à comprendre qu'il y a obligation morale à intervenir pour protéger ces populations désarmées contre les abus de ces escadrons de la mort…
Ils se sont comportés de manière obscène. Ils nous ont sommés de descendre du bus. Ils ont jeté tout nos effets sur la chaussée. Ils ont lancé des coups de pieds et battus les hommes à coups de crosse. Des hommes qui, pour éviter le pire, se laissaient maltraiter sans réagir et regardaient leurs tortionnaires sans rien dire, l'air de se demander jusqu'où seraient capables d'aller ces brutes, en la présence d'une étrangère ? A ce moment-là, j'ai compris que ces sauvages, conduits par la haine de la race qu'ils avaient pour mission " d'éradiquer ", dressés à brutaliser, n'avaient plus de gardes fous. Et que, rien que pour cela, ils étaient très dangereux. Tout a fini par se terminer sans trop de dégâts, puisque après nous avoir bien conditionnés, ils nous ont ordonné de débarrasser le plancher. Après quoi nous sommes devenus muets. La tension avait été grande. Elle avait absorbé toute notre énergie.
Au moment émouvant de la séparation, ils ont cru bon de dire, que je leur avais rendu un fier service. De les voir si démunis, si vulnérables, de me voir si protégée par le fait de n'être pas née Palestinienne, si protégée par ma race qui me donnait, aux yeux des Israéliens, des droits et des pouvoirs qu'eux n'avaient pas, m'a couverte de honte. Bouleversée par la gêne, je les ai regardés s'éloigner, disparaître dans leurs pauvres foyers troués par les tirs de mitrailleuse ou par des obus, avec un pincement de coeur. Leur vie est incertaine. Et demain nous ne sommes plus là. Voilà ce qui me déchirait la poitrine.
A peine avais-je mis pied à Jenine, pris la mesure de sa dévastation, que j'ai eu la mauvaise surprise de voir arriver des chars d'assaut et quantité d'autres véhicules, d'où des soldats invisibles se sont mis a tirer à balles réelles sur les femmes, enfants, hommes qui avaient le malheur de se trouver dans leur ligne de feu ; puis à jeter des grenades assourdissantes, des grenades asphyxiantes pour faire fuir ce qui pouvaient encore marcher… Les voilà jetés en pleine guerre alors qu'il n'y a pas l'ombre d'un combattant…
Pourquoi leurs font-ils cela ? Parce que leur chefs leurs ont ordonné de les massacrer à telle heure, de tirer dans le tas. Et eux ils obéissent. Tout va très vite. On n'a plus ni le temps de paniquer ni d'une prière. On regarde autour de soi. On est prêts à mourir.
Les ambulances hurlaient. Les gens hurlaient. Ensuite, par hauts parleurs, depuis leurs chars, les soldats depuis leurs chars ont hurlé que personne ne devait sortir. Devant leur cruauté, devant leur capacité de destruction, on ne peut que s'insurger, que se demander quand les hommes d'Israël cesseront de persécuter les Palestiniens ? Quand ?
Jenine, toute blanche, m'a d'abord fait l'effet d'une mariée battue. Une mariée que des hordes de barbares ont outragée. Une ville, donc, toute couverte d'un voile de poussière blanchâtre. L'air est irrespirable. Tout est encore plus sale et plus désolé et plus ruiné qu'en mai passé. Alors qu'il eu fallu que l'Occident vole a son secours, rien, tout est resté en l'état. Quel scandale ! Ici, plus de 4000 Palestiniens sont sans logis depuis avril 2002, alors que l'armée israélienne a bombardé puis balayé en cinq minutes, avec ses bulldozer militaires, 50 années de vies.
J'ai trouvé Tobias, un membre de l'International solidarity movement (ISM), attaché à Jenine depuis bientôt six mois, assez démoralisé. Arrivé en fin de visa, il ne se résigne pas à l'idée de devoir partir, de laisser derrière lui toute cette détresse... Surtout, il craint d'être fiché par le Shin Bet, de ne plus pouvoir revenir. Cette idée le paralyse. Il s'est fortement attaché a la population qui, elle, est forcée de mourir ici, dans cet enfer. Il est très préoccupé par l'aggravation de la situation. Ici on tue des gens en grands nombres. Il était à côté de Brian Avery, un Américain âgé de 24 ans, comme lui membre de l'ISM, quand les soldats lui ont fracassé le visage. Ils avaient voulu le tuer alors que Brian et ses camarades avaient les bras levés. Brian a subi, depuis lors, quantité d'opérations de reconstruction du visage, mais il a gardé un moral d'acier. Tobias n'a vu que cela : des actes sanguinaires qui l'ont à jamais marqué. Sur la violence croissante de l'armée, la dureté de la vie ici, Tobias répond doucement : "C'est horrible ce qui se passe ici. Les Palestiniens portent un lourd fardeau. Je ne fais que porter ma part du fardeau. Ma souffrance, après les mois passés ici, n'est rien au regard de ce que les Palestiniens ont subi au quotidien en 36 ans d'occupation. Pour eux cela représente des vies massacrées, des générations de souffrances continues. Je voudrais pouvoir rester ici, près d'eux. Je veux continuer d'être partie de ce grand mouvement qu'est l'ISM, qui a pour souci de protéger ce peuple même si, parfois, devant la gravité de la situation, des sentiments d'impuissance m'étouffent."
Tobias, est un garçon doux, réfléchi. Tout le monde sait à l'ISM, que l'on peut compter entièrement sur lui. Il est même un élément essentiel de la chaîne. Sur son pays la Suède, son avenir, il répond très posément : "Suédois ou Palestinien, cela ne fait pas de différence pour moi. D'où que l'on vienne, quand on croit en quelque chose, on peut tous contribuer, chacun à sa manière, à changer la vie" .
Sur la mort qui entoure le quotidien ici, Tobias dit gravement : "Je suis assez atteint en ce moment. J'ai besoin d'aller me reposer. Aussi, je vois l'heure de mon départ arriver avec angoisse. Les difficultés que nous rencontrons ici ne sont rien en comparaison de ce que les Palestiniens endurent. Oui, je pense que tous ces morts et ces blessés, m'ont durement marqué. Sur la mort qui frappe si lourdement ici, Tobias s'assombrit. " J'ai vu tuer de mes yeux 38 personnes. Je ne serais pas humain si je disais que cela ne m'a pas affecté. Certes c'est dur ici, mais j'aimerais que l'on sache que toute personne qui vient ici peut contribuer à améliorer le sort des gens, peut les soutenir dans leur résistance. J'apprécie et admire tous ces volontaires qui sont venus en Palestine, et qui, après s'être engagés ici, vont dire au monde ce qu'ils ont vu…"
Sur la générosite de la population Tobias s'exprime avec une émotion à peine contenue : "A Jenine les gens sont très pauvres. Ils manquent de tout. Or, quand ils ont vu leur frères irakiens en difficulté, ils ont fait des collectes dans les écoles pour envoyer des livres scolaires aux enfants. Et quand ils ont vu les américains les bombarder, leur faire subir le même sort qu'à eux, ils ont beaucoup souffert…"
Ici Tobias s'est levé sans se hâter de sa chaise. Ses gestes, ses mots, son silence étaient empreints d'une douleur incommensurable. Il s'est levé parce qu'il a entendu un bruit qui ne trompait pas : le bruit angoissant des chars. Il est allé voir à la fenêtre de quel côté ils venaient, comme chaque soir. Puis nous avons vu les hélicoptères et les avions survoler Jenine avec insistance. Et ces boules de feu aux infra rouges, suspendues en plein ciel, qui éclairaient la nuit de cette ville apeurée, comme si nous étions en plein jour. Et nous nous sommes senti très en peine pour les Palestiniens visés par ces engins de guerre...
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