Fermer

S'inscrire à la mailing list ISM-France

Recevez par email les titres des derniers articles publiés sur ISM-France.

Votre adresse courriel

Fermer

Envoyer cet article

Votre adresse courriel
Envoyer l'article à
Votre message
Je profite de l'occasion pour m'abonner à la newsletter ISM France.
ISM France - Archives 2001-2021

Imprimer cet article Envoyer cet article
Article lu 2776 fois

Jérusalem -

Le forum d'Istanbul pour Al-Quds : protéger la civilisation face à la barbarie sioniste

Par

> cirepal2005@yahoo.fr

CIREPAL (Centre d'Information sur la Résistance en Palestine)

Près de 6000 personnes, venues principalement du monde arabe et musulman, ont assisté au forum d'al-Quds, qui s'est tenu à Istanbul du 17 au 19 novembre 2007, à l'appel de la Fondation d'al-Quds et des associations civiles arabes et musulmanes pour al-Quds, pour soutenir et se mobiliser pour défendre le patrimoine civilisationnel de la ville sainte, occupée par les autorités sionistes à partir de 1948.

Malgré les multiples pressions exercées sur le gouvernement turc afin de l'empêcher, et notamment par M. Mahmoud Abbas, lors de sa visite à Ankara, quelques jours plus tôt, le forum a été un réel succès et a constitué une étape importante dans la mobilisation des forces populaires dans le monde arabo-musulman, face aux projets de règlement inique proposés par l'axe américano-sioniste, soutenu par des régimes arabes et quelques membres de l'Autorité palestinienne.

Les personnalités politiques ayant participé au forum d'Istanbul furent nombreuses : des résistants comme sheikh Raed Salah, l'archimandrite Atallah Hanna, plusieurs membres du Rassemblement national démocratique (parti de Palestine 48, dirigé par Azmi Bishara), des responsables politiques et religieux palestiniens comme sheikh Tamimi, juge suprême de Palestine, Usama Hamdan (représentant du Hamas au Liban), une délégation du Fateh venue de Ramallah, Maher Taher du FPLP, mais aussi arabes et musulmans : des anciens ministres, des parlementaires, des journalistes, des avocats, des ingénieurs, venus d'Algérie, du Maroc, de Tunisie, d'Egypte, du Soudan, d'Arabie Saoudite, du Bahrayn, du Yémen, du Liban, de Syrie, de Jordanie, d'Iran, de Malaisie, d'Inde, et de nombreuses personnalités politiques turques ainsi qu'un public turque impressionnant par sa détermination et son attachement à la ville d'al-Quds et la cause palestinienne.

Il ne faut pas oublier les délégations palestiniennes venues d'Europe (Hollande, Norvège, Grande-Bretagne notamment) ni les délégations d'associations de solidarité venues de France, comme le Collectif des Musulmans de France et Palestine en marche.

Georges Galloway, le célèbre député britannique, a tenu a être présent aussi pour affirmer sa solidarité et déclarer : « la victoire du Hizbullah au Liban en 2006 nous a donné fierté et dignité ».

Même absent, mentionnons cependant la présence symbolique du président de la république libanaise, Emile Lahoud, qui a tenu à envoyer au forum un message de solidarité sous la forme d'un magnifique parterre de fleurs.

Emile Lahoud est le seul chef d'Etat arabe dont le pays a remporté deux victoires contre l'Etat sioniste, au cours de son mandat.

Aimé par la résistance et les résistants, encerclé par les grandes puissances, et surtout la France de Chirac, le président Emile Lahoud n'a jamais manqué une occasion pour affirmer son attachement à la Palestine et à la résistance palestinienne et libanaise contre Israël.


Expositions et ateliers

Une salle immense fut réservée aux expositions et aux stands associatifs, puisque les associations civiles agissant pour la ville d'al-Quds et la Palestine étaient organisatrices : les ingénieurs jordaniens avaient construit une grande maquette de l'ancienne ville d'al-Quds (intra-muros), l'union des médecins égyptiens présentait ses programmes d'action dans les camps palestiniens et au Liban après l'agression israélienne de 2006, les multiples stands iraniens diffusaient des films et des documentaires sur l'Intifada et la résistance armée, les stands des associations libanaises présentaient leurs actions en faveur des résistants en Palestine, les stands des associations et centres d'études palestiniens proposaient leurs publications, leurs expositions de photos ou autres productions, plusieurs stands des associations turques et palestiniennes en Turquie proposaient des brochures, cassettes et produits palestiniens, et la Fondation Internationale d'al-Quds proposait ses multiples livrets explicatifs et détaillés sur al-Quds, en arabe, en anglais et en turc.

Plusieurs photographes et journalistes de la ville d'al-Quds exposaient leurs photos, sur les prisonniers ou tout simplement des scènes de la vie et de la résistance quotidiennes des Maqdisi (habitants d'al-Quds).

Plusieurs ateliers ont réuni près d'une centaine de participants, à chaque fois, ateliers spécialisés (dont nous parlerons plus longuement dans un prochain article) sur les médias et la ville d'al-Quds, le front islamo-chrétien récemment constitué dans la ville sainte, les femmes et l'action pour al-Quds, l'action des organisations professionnelles pour al-Quds, entre autres.

Sheikh Raed Salah a exposé, photos à l'appui, les dangers qui menacent la mosquée al-Aqsa, au cours d'une conférence de presse (nous y reviendrons dans un prochain article).

La caravane algérienne venue de Ghardaïa, qui était passée par plusieurs pays arabes avant d'arriver à Istanbul, a été accueillie avec chaleur et enthousiasme, d'autant plus que l'idée d'une caravane circulant à travers le monde arabe et musulman, consacrée à la ville d'al-Quds et à la question palestinienne, fait depuis son chemin chez nombre d'associations.

La chorale de la caravane a animé, avec des troupes palestiniennes, la soirée du vendredi, clôturée par Abu Arab et sa troupe, qui ont fait pleurer le public en leur rappelant la Palestine, ses villes et ses villages, détruits ou encore debout, mais en tout cas résistants.


Forum d'Istanbul contre la rencontre d'Annapolis

L'enjeu du forum a été important et a suscité nombre de discussions entre les participants. D'abord le lieu, Istanbul, la ville aux mille minarets, qui rappelle à tous ses visiteurs son appartenance musulmane.

Le maire d'Istanbul a d'ailleurs été à la tribune pour déclarer son attachement indéfectible à la cause palestinienne, rappelant que le peuple turc est entièrement hostile au sionisme et l'Etat sioniste.

Le changement politique récent en Turquie suscite de nombreuses interrogations : l'arrivée de Gol à la présidence va-t-elle changer la politique turque vis-à-vis de la question palestinienne et des questions arabes en général ?

Comment la Turquie va-t-elle se situer face aux pressions américano-sionistes en faveur d'une guerre contre l'Iran ?

Tout en sachant que quelques jours plus tôt, le parlement turc accueillait à Ankara le président sioniste Shimon Pérès, responsable du premier massacre de Qana (Liban), en 1996 et responsable du dossier de la judaïsation de la Galilée et du Naqab en Palestine occupée en 48, et Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne, pour mettre au point un plan de collaboration économique entre l'Autorité palestinienne et l'occupant.

Mais il faut dire aussi que le gouvernement turc, qui a accueilli ce forum, a résisté aux pressions pour le faire annuler, tout en accordant une aide logistique à sa tenue.


Le moment : ce forum, prévu depuis un certain temps, se tient en pleine période de débats sur la tenue de la conférence, ou rencontre, d'Annapolis, qui devrait rassembler l'Etat sioniste, l'Autorité palestinienne et des parties arabes sous la houlette des Etats-Unis et des pays européens.

La rencontre d'Annapolis semble vouloir finir en queue de poisson, à cause des obstacles mis par les sionistes et parce qu'il devient de plus en plus clair que le but de cette rencontre n'a plus d'objectifs que de soutenir Bush face à sa défaite en Irak, soutenir Olmert face à ses difficultés internes et soutenir Abbas et surtout Salam Fayyad face au peuple et à la résistance palestinienne. Malgré cela, le forum d'Istanbul a constitué l'alternative populaire à la voie de la compromission officielle.

C'est d'ailleurs pourquoi le président de l'Autorité palestinienne a voulu le faire annuler, mais en vain, mais pour ne pas gêner le gouvernement turc, il a fallu affirmer qu'il ne s'agit pas d'une alternative à Annapolis et le restreindre au soutien à la ville et à la résistance de la ville d'al-Quds contre sa judaïsation et colonisation.


Une étape importante dans la mobilisation des énergies

Le forum d'Istanbul ne représente qu'une étape dans la mobilisation des peuples arabes et musulmans en faveur de la question palestinienne.

D'une part, ce forum ne peut être vu comme une nième conférence pour la Palestine, car les multiples liens tissés avec les associations civiles maqdisi qui étaient nombreuses ainsi que les associations civiles des Palestiniens de 48, et surtout la déclaration d'Istanbul (que nous enverrons prochainement) montrent que l'effervescence des peuples arabo-musulmans et de leurs associations et partis politiques a atteint un degré pouvant se traduire en travail effectif si les organisations présentes poursuivent leurs actions, à partir de la déclaration d'Istanbul.

D'autre part, plusieurs délégations ont souhaité que les prochaines rencontres soient plus "professionnelles", dans le sens où les programmes d'action et de mobilisation soient plutôt coordonnés dans les forums, à partir du constat que le potentiel existe dans les pays même où le véritable travail se mène, les rencontres, importantes, devant servir à mobiliser et à élargir l'audience des actions sur le terrain.


Actuellement, il s'agit de dessérer l'étau qui encercle la ville d'al-Quds et les Maqdisis.
Cette tâche peut être menée sur plusieurs fronts, à travers les médias, pour faire connaître la situation exacte de la situation sur le terrain, à travers les actions politiques, où il faut parvenir à faire pression sur les gouvernements arabes, puis dans le monde, pour obliger Israël à stopper ses plans de judaïsation et de colonisation, et à travers les aides financières qui doivent permettre à la population de résister, et ce volet a plusieurs facettes : aider les plus démunis grâce aux dons accordés aux institutions sur place, aider à développer les projets économiques et sociaux que les institutions maqdisis souhaitent mettre en place et offrir des aides logistiques à ces institutions.

Ce vaste programme nécessite une mobilisation multiple à laquelle il est nécessaire de s'atteler, à partir du fait que la ville d'al-Quds et la Palestine dans son ensemble sont la clé capable d'unir les énergies des peuples arabes et musulmans et leurs amis dans le monde.


Le point faible, si l'on peut le définir ainsi, reste la faible mobilisation en direction des autres parties du monde et notamment occidental. Mobiliser l'opinion internationale en faveur de la ville d'al-Quds est une tâche importante dont l'importance a été soulignée par de nombreux participants.

De nombreuses propositions sont encore à l'étude et peuvent voir le jour à partir de 2008, année de la commémoration du 60ème anniversaire de la Nakba.


Déclaration d’Istanbul pour le soutien à la ville d’al-Quds
Traduction CIREPAL (Centre d’Information sur la Résistance en Palestine)

Au Nom de Dieu, Le Clément, Le Miséricordieux

Nous, les participants au Forum International d’Istanbul pour al-Quds, intitulé "Protégeons la face de la civilisation", tenu entre le 5 et 7 Dhul Qi’da 1428 H. soit entre le 15 et 17 novembre 2007, en présence de plus de 5000 participants représentants ulémas et hommes de religion chrétiens, dirigeants politiques, intellectuels et penseurs, représentants des syndicats et organisations de la société civile, écrivains, artistes et professionnels des médias,

Après avoir constaté la situation vécue par le peuple palestinien sous occupation, qui tient tête aux tentatives de judaïsation et de déracinement, qui lutte pour récupérer ses droits humains et politiques, qui fait face à un blocus inique et continu dans la bande de Gaza et en Cisjordanie ,

Après avoir discuté des graves agressions contre les lieux saints, chrétiens et musulmans, et notamment des excavations successives menées sous la mosquée bénie d’al-Aqsa qui la menacent d’effondrement, ce qui fut d’ailleurs confirmé par le rapport de la délégation technique turque,

Après avoir discuté des différentes situations de la nation, de la région et du monde, et notamment la situation prévalant dans les Etats arabes et musulmans soumis à l’occupation, en Irak, en Afghanistan et en Somalie,

Et en application des principes généraux se rapportant

à la question d’al-Quds et de la Palestine, dans le passé et dans le présent, aux droits humains et politiques du peuple palestinien, et à la nature du colonialisme de peuplement sioniste,

Nous énonçons la déclaration suivante :

Déclaration d’Istanbul pour le soutien à al-Quds

Samedi 17 novembre 2007 soit le 7 Dhul Qi’da 1428 h.

1 – Al-Quds est une ville de paix et de rencontre des civilisations. Terre sacrée et bénie dont la paix tranquillise l’humanité, toute agression qui la vise embrase les conflits et les guerres : il faut qu’elle demeure un exemple de la liaison entre civilisations, un symbole pour les significations les plus nobles de tolérance, justice et coexistence entre les humains.

2 – La ville d’al-Quds est une ville historique érigée par les Yabusites il y a plus de 5000 ans, qui l’avaient dénommée "Ursalim" (ville de paix). Elle fut protégée par sa population issue de la péninsule arabe, et bien qu’elle fut le lieu de séjour de nombreux peuples qui s’y sont succédés, les Cananéens arabes et les Palestiniens, ainsi que les différentes tribus arabes qui les ont suivis, ont continué à y vivre sans interruption, accordant à la ville d’al-Quds son identité arabe. Leurs droits sur cette ville demeurent incontestables.

3 – L’occupation sioniste de la ville d’al-Quds, partie occidentale en 1948 et partie orientale en 1967, est une occupation raciste, coloniale, éradicatrice et terroriste, incompatible avec le mouvement de l’histoire. Elle illustre le résidu du phénomène colonial basé sur l’injustice, l’oppression et la violation des droits. Cette occupation doit cesser, que ce soit dans al-Quds, en Palestine, au Golan et dans les fermes de Shebaa, tout comme doivent disparaître tous les résidus de colonialisme et d’occupation dans le monde. C’est pourquoi les forces anticoloniales opposées à l’injustice et à l’occupation doivent soutenir la ténacité et la résistance du peuple palestinien pour la libération de sa patrie.

4 – Le sionisme est un mouvement raciste et terroriste. L’Assemblée générale des Nations-Unies avait déjà déclaré, dans sa célèbre résolution, que le sionisme est une forme de racisme et de discrimination raciale, confirmé également par la conférence de Durban en 2001.

5 – Les pratiques coloniales racistes visant à effacer le caractère d’al-Quds, la violation des droits nationaux et religieux de son peuple résistant, en l’encerclant par des ceintures de colonies et l’étouffant par le mur raciste, en vue d’expulser sa population et de l’isoler de son environnement palestinien, sont des tentatives rejetées qui doivent être dénoncées.

6 – Les graves attaques contre les lieux saints musulmans et chrétiens, et notamment contre la mosquée bénie d’al-Aqsa, victime des excavations qui la menacent d’effondrement, en vue d’ériger le temple sur ses ruines, constituent des menaces à la paix et à la stabilité dans la région et dans le monde. Il s’agit d’attaques contre le patrimoine historique de la civilisation humaine, mais aussi une menace contre al-Quds et la Palestine. Les peuples du monde doivent s’y opposer et les faire immédiatement cesser.

7 – La poursuite de l’occupation sioniste de la ville d’al-Quds et de la Palestine, qui détient des armes nucléaires et dont les intentions restent agressives et expansionnistes, est un facteur de tension et de trouble, une source d’inquiétude pour tous ceux qui aiment la paix et soutiennent les droits de l’homme dans le monde. Cette occupation constitue en permanence le principal facteur qui plonge la région dans les guerres et menace la paix mondiale et le progrès humain.

8 – Le forum confirme le droit au retour des réfugiés, déplacés et exilés à la ville d’al-Quds ainsi qu’à toute la terre palestinienne, considérant qu’il s’agit d’un droit individuel et collectif qui n’admet ni polémique ni concession, et confirme le droit du peuple palestinien à exercer tous ses droits nationaux sur sa terre historique, y compris ses droits politiques, à l’instar des autres peuples.

9 – Il s’adresse aux Etats arabes et islamiques, à tous les Etats désirant la paix et aux institutions internationales, leur réclamant de consacrer leurs efforts pour mettre fin à l’occupation sioniste d’al-Quds, de protéger son identité arabe et ses lieux saints musulmans et chrétiens, de mettre en place différents projets économiques, sociaux, médiatiques, culturels et éducatifs pour aider la population à résister sur sa terre, l’aider à se libérer de l’occupation, et de cesser toutes formes de normalisation avec les sionistes.

Les expériences des peuples en général et l’expérience du conflit avec l’ennemi sioniste, en particulier, ont confirmé que la résistance, quels que soient sa forme et son niveau, basée sur une unité nationale qui rassemble et une participation populaire libre, est la voie la plus réussie pour s’opposer à l’occupation et libérer la terre d’al-Quds et la Palestine, ainsi que toutes les régions occupées dans nos pays arabes et musulmans, et dans tous les pays du monde.
Elles confirment également la futilité des conférences internationales réunies sous la direction des Etats-Unis, toujours engagés dans le soutien à l’occupation et la justification de ses crimes, dans la liquidation de la question palestinienne et dans les projets de divisions internes pour démanteler la cohésion arabe et islamique.

10 – Les Nations-Unies, dont la majeure partie des résolutions a contribué à la Nakba subie par le peuple palestinien, ont le devoir de consacrer tous leurs efforts à supprimer l’occupation et le blocus instauré contre ce peuple, tout comme elles ont le devoir d’activer le rôle du comité de la protection d’Al-Quds, fondé en 1947. Les pays arabes et musulmans ainsi que les pays souhaitant la paix ont également le devoir de lever le blocus, d’aider notre peuple et de répondre à ses besoins.

11 – Ce forum international illustre de manière vivante l’unité de l’humanité en faveur du soutien à al-Quds et à la Palestine. Il s’adresse aux hommes et aux femmes libres dans le monde, à tous les peuples, et les appelle au plus large rassemblement humain pour constituer un mouvement international en vue de sauver le peuple palestinien, d’affirmer la justice et la paix sur terre, tout comme il s’adresse aux frères encerclés en Palestine, leur demandant de s’unir pour faire face à l’occupation, leur rappelant la parole divine : "Ne vous livrez pas entre vous à des disputes qui entameraient votre union et compromettraient vos chances de succès !" tout en espérant que ce forum, dont la vocation a été de rassembler, incitera à reprendre le dialogue et l’entente entre les fils de la cause commune.

Tous, agissons pour al-Quds,
Main dans la main, épaule contre épaule,
Dirigeons-nous ensemble vers al-Quds,
Tenaces malgré la durée et les sacrifices élevés
Aujourd’hui, une rencontre pour al-Quds, et demain,

La rencontre dans al-Quds, si Dieu le veut.

Les participants à l’appel, aux côtés des quatre organisations ayant appelé au forum international d’al-Quds :

1 – Réseau international des institutions agissant pour al-Quds
2 – Union mondiale des ulémas musulmans
3 – Congrès nationaliste arabe
4 – Congrès nationaliste-islamique
5 – Congrès général des partis arabes
6 – Union des organisations islamiques en Europe
7 – Union des médecins arabes
8 – Union des ingénieurs arabes
9 – Union mondiale des syndicats des travailleurs arabes
10 – Union des enseignants arabes
11- Union de la jeunesse arabe
12 – Conseil des Eglises du Moyen-Orient
13 – Union des ingénieurs agronomes arabes
14 – Alliance internationale des parlementaires défendant la cause palestinienne
15 – Forum international des parlementaires musulmans
16 – Campagne internationale de résistance à l’agression
17 – Union générale des étudiants arabes
18 – Organisation de solidarité des peuples afro-asiatiques
19 – Congrès mondial pour le soutien à l’Intifada
20 – Caisse de soutien juridique aux Palestiniens
21 – Conseil supérieur islamique dans al-Quds
22 – Union générale féminine arabe
23 – Groupe de dialogue islamo-chrétien
24 – Union des avocats arabes
25 – Rassemblement de la jeunesse arabe.


Article paru sur la liste de diffusion "Assawra"
Liste dédiée à l'Intifada ...
S'inscrire en envoyant un message à :
assawra-subscribe@yahoogroupes.fr


Faire un don

Afin d'assurer sa mission d'information, ISM-France fait appel à votre soutien.

Oui ! Je soutiens ISM-France.


Contacter ISM France

contact@ism-france.org

Suivre ISM France

S'abonner à ISMFRANCE sur Twitter RSS

Avertissement

L'ISM a pour vocation la diffusion d'informations relatives aux événements du Proche Orient. Les auteurs du site travaillent à la plus grande objectivité et au respect des opinions de chacun, soucieux de corriger les erreurs qui leur seraient signalées.

Les opinions exprimées dans les articles n'engagent que la responsabilité de leur auteur et/ou de leur traducteur. En aucun cas l'ISM ne saurait être tenu responsable des propos tenus dans les analyses, témoignages et messages postés par des tierces personnes.

D'autre part, beaucoup d'informations émanant de sources externes, ou faisant lien vers des sites dont il n'a pas la gestion, l'ISM n'assume aucunement la responsabilité quant à l'information contenue dans ces sites.

A lire également...
Même lieu

Jérusalem

Même sujet

Monuments historiques

Même auteur

CIREPAL

Même date

19 novembre 2007