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Liban -

Une seule solution pour tous les réfugiés: la fin du sionisme ! Commémoration des massacres de Sabra et Chatila

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28.9.2019 - L’histoire de l’entité coloniale nommée Israël n’a été qu’une longue et sombre histoire de guerres, de massacres et de spoliation. Du 15 au 18 septembre 1982, les habitants palestiniens et libanais des camps de réfugiés de Sabra et Chatila, dans la partie occidentale de Beyrouth, sont encerclés et méthodiquement massacrés par l’armée israélienne sous commandement d’Ariel Sharon et les milices chrétiennes libanaises. On parle alors de 3.000 victimes mais les chiffres, faute d’enquête indépendante, apparaissent très en deçà de la réalité.

Une seule solution pour tous les réfugiés: la fin du sionisme ! Commémoration des massacres de Sabra et Chatila

Beyrouth, commémoration des massacres de Sabra et Chatila, le 19 septembre 2019 (Photo Comité Action Palestine)
Comme à leur habitude, les sionistes couvrent l’histoire de leur voile de mensonges. L’intervention dans les camps de Sabra et Chatila aurait eu pour objectif de démanteler les structures opérationnelles de l’OLP. Mais dès le 1er septembre 1982, les 11.000 combattants de l’OLP avaient quitté Beyrouth. L’objectif inavoué, avéré, du bain de sang prémédité et perpétré par les sionistes et les phalangistes était de terroriser les réfugiés palestiniens pour les éloigner davantage de la terre de Palestine et faire du droit au retour un droit totalement illusoire. Il fallait avant tout briser toute capacité et velléité de résistance des réfugiés palestiniens contre l’occupant sioniste.

Sabra et Chatila n’est malheureusement qu’un épisode dans le plan sioniste d’annexion et de judaïsation de toute la Palestine. L’ère des massacres commence dès la création de l’Etat d’Israël. Pour ne citer que les plus importants, il y eut celui de Deir Yassine (1948), de Qibia (1954), de Jenine (2002) ou de Gaza (2009 et 2014). L’Etat d’Israël a été édifié sur la Nakba, cette « grande catastrophe » pour les Palestiniens : 500 villages furent rasés de la carte, les terres expropriées et 800.000 Palestiniens forcés à l’exil. Des années d’errance, des décennies dans des camps, niés de tous et privés de tous les droits, ils sont et restent le symbole de la politique d’épuration ethnique conduite par le colonialisme juif en Palestine. Les réfugiés palestiniens sont actuellement plus de 7 millions et constituent plus d’un tiers de l’ensemble des réfugiés dans le Monde. Depuis plus de 70 ans, ils attendent toujours l’application de leur droit au retour dans leurs foyers, reconnu par l’ONU en 1948 ! Qui mieux qu’eux symbolise l’exil et l’errance des peuples ? Pourtant qui parle d’eux ? Qui exige que justice soit rendue ?

(…)

Lire l’article dans son intégralité sur le site du Comité Action Palestine.

Source : Comité Action Palestine

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