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Etats-Unis - 9 octobre 2010
Par Mark Glenn
Même si nombreux sont ceux – malades, ce qui est fort compréhensible, de voir de puissants intérêts juifs creuser leurs tunnels de leurs dents voraces jusqu’aux plus hautes instances du pouvoir tant en Amérique que dans le monde entier – qui se réjouissent, n’en doutons pas un instant, de la nouvelle du départ annoncé de Rahm Emmanuel (qui quitte son poste de chef du personnel de la Maison Blanche), il y a sans doute de fortes raisons de prendre en considération ce développement de la dernière heure avec plus d’appréhension que de soulagement.
Rahm Emmanuel et Barack Obama
Installé à son poste de chef de la Maison Blanche de Barak Obama immédiatement après que celui-ci fut élu, Emmanuel (qui est le fils d’un terroriste de l’Irgoun dont la seule participation à nos forces armées fut entièrement consacrée au service d’un pays étranger, Israël) est effectivement devenu les yeux et les oreilles d’une puissance étrangère hostile acharnée à détruire l’Amérique en l’impliquant dans une série de guerres dévastatrices et économiquement ruineuses. En tant que tel, son installation à un poste aussi sensible représente l’opération la plus efficiente de surveillance et de flicage d’un président américain en exercice de toute l’histoire, Emmanuel jouant en quelque sorte le rôle d’une éponge informationnelle suivant pas à pas le Président américain à chaque instant de sa vie éveillée. L’on peut être certain qu’avec lui à un tel poste, il n’y a pas eu un seul bâillement, une seule quinte de toux ni un seul éclaircissement de gorge présidentiels qui n’aient trouvé finalement leur chemin jusqu’au QG du Mossad à la fin de chaque journée. La dernière fois où Israël avait eu quelqu’un d’aussi « intimement » impliqué que Rahm Emmanuel dans la surveillance des moindres faits et gestes à l’intérieur du Bureau Ovale fut lorsqu’une gente demoiselle juive nommée Monica Lewinski jouait le rôle d’ « assistante personnelle » de William Jefferson Clinton…
Aussi le simple fait qu’Israël puisse être enclin à passer par pertes et profits une source aussi inestimable de renseignement de première main qu’Emmanuel ne peut signifier autre chose que le fait que de grandioses plans sont sur le bureau et que, comme l’Amérique ne l’a que trop bien appris en raison de son demi-siècle de relations indiscutablement toxiques avec la Compagnie du Crime, aucun de ces grandioses plans ne saurait être de bon augure.
Ce qui rend ce dernier développement particulièrement inquiétant, c’est le fait qu’Emmanuel n’est pas le seul VIP [Very Important Person] au sein des intérêts sionistes organisés à partir ainsi. Peu après l’annonce d’Emmanuel, le monde politique a été secoué d’entendre coup sur coup – littéralement à moins de deux jours d’intervalle – que deux collègues d’Emmanuel, à savoir David Axelrod (principal conseiller politique d’Obama) et Larry Summers (premier conseiller en matière économique) annoncer qu’ils quittaient eux aussi l’exécutif. Le fait que ces annonces soient intervenues à un tel rythme indique non seulement une coordination entre tous les acteurs concernés, mais aussi la forme de coordination la plus détestable qui soit, à savoir la collusion. Il faut aussi ajouter que tant Axelrod que Summers, bien que se trouvant assurément à des positions ne leur assurant certainement pas une « vue d’aigle » aussi avantageuse pour Israël que celle d’Emmanuel, étaient à des postes d’écoute importants vis-à-vis des travaux internes de la Maison Blanche d’Obama et que, partant, leur absence doit représenter, elle aussi, une grande perte pour l’Etat juif en termes de renseignement humain.
A cela, il faut ajouter l’absence remarquée d’Israël dans le discours prononcé par Obama à l’Assemblée générale de l’Onu au cours de la troisième semaine de septembre – un événement sans précédent en tant que tel – ainsi que le message, envoyé à Obama, si fortement que même un sourd, dans un concert de Led Zeppelin, aurait pu l’entendre se faire reprocher que « Nous, peuple juif, nous vous tournons le dos, M. le Président, et nous nous en allons ».
Sauf qu’étant donné le harcèlement qu’Obama a dû endurer ces deux dernières années en ce qui concerne Israël et ses partisans de tous poils en matière de colonies et de ses cris de guerre incessants contre l’Iran, il n’est pas douteux que le Président américain accueillerait avec satisfaction un tel développement promettant la grande paix intérieure qu’un tel abandon représente, ou plus exactement aurait représenté s’il s’était agi d’un événement de one-man-show dénué de répercussions.
Toutefois, comme tous ceux qui ont étudié cette question ne le savent que trop bien, dès lors qu’il est question d’Israël, des intérêts juifs et de la politique du pouvoir, les « non-répercussions » sont inconnues au bataillon. S’agissant d’un peuple dont le leitmotiv est « n’oublie jamais » et qui insiste toujours pour avoir le dernier mot dans n’importe quel discussion, nous pouvons supposer que cette « rebuffade » et ce « traitement silencieux » en train d’être dirigé directement vers la présidence Obama valent déclaration de guerre. Enoncée dans un dialecte particulier du gangstérien visant à éviter la clarté là où la clarté représente une gêne, ce à quoi visent les parties intéressées dans cet exode, c’est cette forme de subtilité qui en dit des tonnes instantanément, comme une tête de cheval placée sous les couvertures du lit ou un poisson mort emballé dans un gilet pare-balles.
Au mieux, cet « exode » à partir de la Maison Blanche d’Obama indique que les mêmes intérêts juifs qui voient en Obama « leur homme » sont en train de planifier d’ouvrir les portes du placard laissées jusqu’ici stratégiquement closes et d’ouvrir les vannes du flot bien préparé de squelettes embarrassants (voire potentiellement accusateurs) devant les yeux du monde entier, quelques semaines seulement avant les élections de mi-mandat au Congrès. De la même manière que Bill Clinton avait dû faire face à un tsunami de bruit médiatique embarrassant au sujet de sa gaudriole avec l’agent israélienne déjà citée Monica Lewinsky (un bruit médiatique conçu afin de le contraindre à céder aux exigences israéliennes), Obama risque lui aussi d’avoir à faire face à ses propres problèmes dès lors qu’Israël lui mettrait la pression afin de tenter de l’amener à dire « OK » au sujet d’une guerre contre l’Iran.
Au pire, toutefois, et nous ne saurions écarter cette hypothèse ne serait-ce qu’une minute, étant donné la propension d’Israël à la violence sous toutes ses formes – réelles ou théoriques – ce que tout cela pourrait indiquer serait le fait que les mêmes intérêts juifs qui ont été responsables depuis un demi-siècle d’une myriade d’attentats attribués à d’autres, d’assassinats et d’actes de terrorisme contre les Etats-Unis pourraient être en train de planifier quelque chose d’encore plus dramatique. En tête de liste figurerait la démolition contrôlée de l’économie américaine en des temps où le pays des hommes libres et la patrie des hommes courageux respire à-peine et se trouve sous perfusion financière à la suite de l’effondrement financier de septembre 2008, une démolition dont les hommes bien placés dans le District of Columbia et à New York connaissent les détails, mais dont ils ne parlent jamais. Pire encore, toutefois, pourrait être le fait qu’un nouvel attentat terroriste contre l’Amérique, voire un assassinat présidentiel, risque d’être déjà dans les tuyaux.
Les observateurs quelque peu curieux de ce film de gangsters contemporain mettant en scène Israël se souviendront que dans les derniers jours de la présidence de Bush, celui-ci avait été reçu très froidement lors d’une visite en Israël par des rabbins étroitement liés à des éléments ultraviolents de la droite israélienne, qui lui avaient soumis une liste d’exigences. Ces dix commandements d’un genre nouveau baptisés du nom hébreu de « Megillat Bush » avaient été rédigés sur un parchemin spécial conçu de manière à le faire apparaître écrit personnellement par quelque prophète tout feu et cendres tout droit sorti de l’Ancien Testament. Aussi typique du ton exigeant, menaçant, obséquieux et condescendant universellement connu pour être aussi intrinsèque à l’Etat juif que les pâtes et la sauce tomate le sont à la cuisine italienne, ce décret commençait ainsi :
« A George Bush… venu à Jérusalem, capitale éternelle de notre pays, joie de la Terre entière…
(…) Si vous désirez sincèrement la paix et si vous souhaitez être compté au nombre des authentiques Justes, nous vous exhortons à déclarer au monde entier ce qui suit :
« Moi, George Bush, je déclare que la Terre d’Israël a été promise à la nation d’Israël par le Créateur du monde, c’est Lui qui a donné cette terre à Son peuple, Israël, le peuple éternel. C’est pourquoi j’appelle toutes les nations à se sauver d’une perdition certaine et à reconnaître que cette terre est l’héritage légitime exclusif du peuple d’Israël. Quiconque nie cette vérité met en danger toute vie sur terre.»
Cette proclamation, qui n’est pas sans évoquer d’identiques menaces de damnation et de destruction proférées par Moïse mettant la pression sur Pharaon il y a de cela pas mal d’années, continuait ainsi :
« Sinon, ce qu’à Dieu ne plaise, vous pouvez choisir la deuxième possibilité… c’est-à-dire contribuer de votre plein gré à votre destruction… Vous savez certainement ce que le Dieu d’Israël fit à l’Egypte et à tous les ennemis d’Israël, depuis des temps immémoriaux. Pensez-vous que vous pourrez échapperez à des guerres en cours en Iran, au Pakistan, en Arabie saoudite, en Syrie, en Egypte et au Liban simplement en sacrifiant les juifs qui sont quotidiennement massacrés par leurs ennemis ? Rappelez-vous notre aïeul Abraham, qui poursuivit les quatre plus grands souverains du monde afin de sauver son neveu de l’esclavage. Nous ne pouvons oublier les hauts-faits de nos patriarches, dont l’exemple nous guide génération après génération…
... Il faut que vous compreniez bien ceci : Dieu a stipulé que le rôle de toutes les nations du monde consiste à renforcer la nation d’Israël. Par conséquent, il vous incombe de déclarer : « Moi, George Bush, commandant en chef des armées des Etats-Unis d’Amérique, je donne l’ordre à toutes mes armées de protéger les droits divins de la nation d’Israël, et d’en écarter toute menace ». Vous avez le choix : soit vous méritez la vie éternelle, soit vous êtes marqué pour la disgrâce éternelle. Votre destin et celui de tous ceux qui sont avec vous est lié au destin de notre terre… »
Quelques mois seulement après que cette liste d’exigences eut été remise à Bush, à la mi-septembre 2008, en seulement deux heures quelque 550 milliards de dollars s’évaporaient des marchés monétaires américains. D’après une déposition faite par le Secrétaire de la Réserve Fédérale Ben Bernanke et le secrétaire du Trésor d’alors Paulson devant le Congrès, n’eussent les Etats-Unis pris l’initiative de fermer les marchés monétaires, ils auraient été totalement ruinés à deux heures de l’après-midi du même jour.
Qu’il se soit agi d’une attaque financière coordonnée contre l’économie américaine (dont le résultat planifié était vraisemblablement d’en rejeter entièrement la responsabilité sur les terroristes islamiques – l’Iran, à n’en pas douter – afin de ‘justifier’ des agressions militaires contre ces pays) ne relève en rien d’une quelconque théorie du complot échevelée et spéculative. Une répétition de cet événement reste une possibilité logistique, étant donné la prédominance de l’influence sioniste au sein du secteur économique américain, n’est en rien une pure hypothèse théorique.
Toutefois, dans la traînée de scandales financiers impliquant des gens tels que Bernie Madoff, Lloyd Blankfein et les autres membres du gang, à laquelle s’ajoutent les nombreux sondages d’opinion montrant que le spectre ancestral associant les juifs à la rapacité et à l’argent émerge puis plonge alternativement à l’instar d’un cadavre dont on se serait débarrassé en hâte en le balançant dans les eaux de la pensée américaine. Ce que cela indique, c’est que les intérêts sionistes n’ont peut-être pas besoin, en réalité, d’ « y aller ».
Il est par conséquent plus plausible que les mêmes intérêts juifs salivant sur une nouvelle guerre au Moyen-Orient impliquant l’Iran risquent de recourir à des mesures plus désespérées en obtenant que la grosse boule de la roulette continue à tourner, quelque chose plus dans la ligne de ce qui était arrivé, à Dallas, en 1963, au président américain d’alors, JF Kennedy.
Qu’il y ait eu des ruminations allant dans ce sens est hors de doute. Des informations consensuelles émanant d’Israël, des Etats-Unis et d’Europe véhiculent le relent non équivoque de menaces contre la vie du Président en raison de sa prise de position vis-à-vis de la question des colonies israéliennes et de sa réticence à élargir l’implication américaine dans une guerre d’ores et déjà désastreuse dans la région [du Moyen-Orient]. En Israël, des protestations puissantes et coléreuses, parfois devant la résidence de Netanyahu, ont lieu, des foules brûlant des effigies d’Obama, qu’elles qualifient de « Pharaon noir ». D’autres récits, citant des ministres israéliens de haut rang, font référence à Obama en tant que « descendant d’esclaves » qui ne sait pas se tenir à sa place et mérite une bonne correction. Il ne se passe guère de semaine où Netanyahu ne prédise un futur apocalyptique au cas où l’Amérique ne s’affairerait pas incontinent à envoyer des GIs sur le terrain.
La question qui est posée est de savoir si Israël irait jusqu’à assassiner un président américain à seule fin de gagner certains avantages politiques ? D’après l’ex-agent du Mossad Victor Ostrovsky, la réponse à une telle question est connue d’avance, car, comme il l’explique dans son ouvrage « The Other Side of Deception » (L’autre face de la tromperie), Israël avait planifié d’assassiner le Président George H.W. Bush lors de la conférence de paix de Madrid, en octobre 1991, afin de pouvoir faire retomber la responsabilité de son assassinat sur des « extrémistes arabes ».
« Dès lors que le Mossad avait en main toutes les dispositions en matière de sécurité, amener les assassins aussi près qu’ils le désiraient du Président Bush, puis mettre en scène l’assassinat de ce dernier aurait été pour lui du gâteau ; les Israéliens auraient engrangé une victoire de plus, voilà tout. Grâce à la complicité des assassins, il aurait été difficile de découvrir où la 'faille sécuritaire' aurait bien pu se trouver, d’autant que plusieurs pays impliqués dans cette conférence, comme (au hasard…) la Syrie, étaient considérés comme des pays apportant leur assistance aux terroristes ».
D’autres indices de la manière dont une telle opération aurait pu être ourdie sont donnés pour partie dans un article paru dans le New York Times sous le titre « President Apostate », sous la plume de l’ultra-sioniste patenté Edward Lutwak, dont voici un extrait :
« En tant que fils de son père musulman, le Sénateur Obama est né musulman d’après la loi musulmane telle qu’on la comprend dans le monde entier. Le fait que, comme le Sénateur Obama a pu l’écrire, son père ait dit qu’il avait renoncé à sa religion, n’y change rien. De la même manière, selon la loi musulmane fondée sur le Coran, l’éducation chrétienne de sa mère n’a aucune importance. Bien entendu, comme la plupart des Américains le pensent, le Sénateur Obama n’est pas musulman ; il a choisi de devenir chrétien et il a, de fait, écrit de manière convaincante une explication de la manière dont il en est venu à faire ce choix et à quel point sa foi chrétienne est importante pour lui. Sa conversion, toutefois, était un crime, aux yeux des musulmans ; il s’agit d’un ’irtidâd ou de riddah, un terme arabe signifiant « apostasie », mais avec certaines connotations de rébellion et de trahison. De fait, c’est le pire de tous les crimes qu’un musulman puisse commettre ; l’apostasie est considérée pire qu’un crime.
A de rares exceptions près, les juristes de toutes les écoles musulmanes tant sunnites que chiites prescrivent l’exécution de tous les adultes qui abandonnent la foi (musulmane) sans y être contraints par la torture ; le châtiment recommandé est la décapitation effectuée par un clerc religieux. Etant donné qu’aucun gouvernement n’est prêt à autoriser la persécution du Président Obama, une autre prescription de la loi musulmane est sans doute plus pertinente : elle interdit que soit châtié un musulman ayant tué un apostat et elle prohibe, de fait, toute interférence avec tout assassinat de cette nature. A tout le moins, cela risquerait de compliquer les disposition sécuritaires lors de visites d’Etat du Président Obama dans des pays musulmans, car le simple fait pour les gardes de sécurité musulmans [d’assurer la sécurité de cet apostat] pourrait être considéré comme peccamineux ».
Autrement dit, l’idée qu’Israël est en train de communiquer à El Presidente est celle-ci : s’il sort du rang, il sera assassiné et son assassinat sera mis sur le dos d’un « extrémiste musulman » en colère conter l’ « apostasie » d’Obama.
Histoire de faire comprendre à Obama qu’Israël parle sérieusement et qu’il n’est que trop capable de franchir tous les barrages de sécurité et toutes les mesures défensives mises sur pied afin d’assurer la protection de l’homme le plus puissant du monde en amenant quelqu’un dans la proximité immédiate tant de sa personne que des membres de sa famille, le 24 novembre 2009, dans un événement qui fit les gros titres des journaux et occupa la nation des semaines durant, Tareq Salahi (présenté comme un Palestinien né en Israël) s’est introduit dans un dîner officiel organisé à la Maison Blanche en l’honneur du Premier ministre indien et s’est suffisamment approché du Président pour pouvoir être pris en photo à son côté, les photos étant affichées par la suite sur Facebook. A cette fin, Salahi avait dû franchir deux checkpoints de sécurité des services secrets, dont tous les deux auraient dû vérifier que son nom figurait bien sur la liste des invités (ce que ni l’un ni l’autre ne fit) et lui demander une photo d’identité. La brèche sécuritaire était tellement grave qu’elle entraîna des enquêtes criminelles tant du Congrès que du parquet, qui impliquèrent tous les services fédéraux chargés d’assurer la protection personnelle du Président.
Qu’il puisse ou non être démontré qu’il s’agissait là d’une opération ourdie par Israël, le fait est que les médias consensuels américains détenus et/ou gérés par les juifs en tirèrent un profit maximal en faisant passer à Obama le message selon lequel « personne n’est intouchable, M. le Président ! » Les similarités impossibles à ne pas déceler entre cet événement et l’assassinat de Robert F. Kennedy par le Palestinien né en Israël Sirhan Sirhan, le 5 juin 1968 en relation avec la situation politique au Moyen-Orient furent aussi subtiles que cette tête de cheval dissimulée sous les couvertures du lit, dans le film Le Parrain.
Toute la dramaturgie de l’exode du pouvoir juif de la Maison Blanche sous Obama rappelle point pour point ces informations infâmantes parues immédiatement après les attentats du 11 septembre (2001) où l’on apprenait que très peu d’Israéliens figuraient parmi les morts ce jour-là. Dans le cas du 11 septembre, le monde a découvert après coup que les Israéliens avaient été avertis de se tenir à l’écart via le centre du système de messagerie instantanée Odigo sis en Israël, alors que, dans le cas présent, le monde découvre la vérité avant la date de l’événement planifié. Israël et ses partisans ne veulent manifestement pas que leurs hommes de main soient « là-bas » au moment où une quelconque bombe à retardement explosera.
S’il est une chose dont on puisse être sûr, c’est que pour des individus de l’acabit des Emmanul, Axelrod et autre Summers, quitter des postes aussi prestigieux et importants non seulement pour eux, personnellement, mais aussi pour la continuation du bien-être de leur home sweet home Israël est comparable à quelqu’un qui s’éloignerait d’un sac de fric qu’il aurait trouvé par hasard, de six pieds de haut et six de large, en renonçant, ce faisant, à tout le pouvoir, aux privilèges et au prestige qu’une telle trouvaille laisse présager. En sus de la perte personnelle, il faut prendre en considération aussi le « poids de l’histoire ». En ce moment-même, Israël a besoin d’autant d’yeux et d’oreilles que possible à la Maison Blanche, car il en va de sa propre survie. Avec des modèles bibliques tels que ceux de Joseph et d’Esther, qui se rongèrent leur galerie jusqu’aux plus hautes places du pouvoir à leur époque respective et dans leur pays respectif, le fait que trois rats de taille XXL quittent le navire de l’Etat américain en ce moment particulièrement critique de l’histoire ne peut signifier qu’une seule chose, à savoir qu’à travers certains moyens extraordinaires, ils savent qu’une torpille est en train de foncer sur le navire et que celui-ci ne va pas tarder à couler.
Source : RebelNews.org
Traduction : Marcel Charbonnier
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