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Israël - 17 octobre 2018
Par Badia Benjelloun
Jamais depuis que l’institution de l’ONU existe, on n’avait vu des chefs d’Etat et de gouvernements s’esclaffer et rire à gorge déployée lors de l’intervention d’un Président de l’administration des Usa. Jamais non plus, un Premier ministre de Tel Aviv n’avait commis une telle bourde devant l’Assemblée Générale de l’ONU. Netanyahu s’est surpassé en arrogance ridicule en donnant les coordonnées avec photo à l’appui d’un site de stockage d’uranium enrichi en Iran au cours d’une énième démonstration, leur nombre ne se compte plus depuis 1995 où la construction d’une bombe nucléaire était déjà imminente.
Les Iraniens viennent depuis très loin à Torkuzabad pour prendre des selfies devant cet entrepôt fermé depuis longtemps par son propriétaire criblé de dettes et incapable de payer ses factures d’eau. Petite ironie de l’histoire (involontaire ou volontaire par des agents facétieux de contre-espionnage), le nom de ce village dans le Sud de Téhéran signifie la ‘Terre de Nulle Part’.
Le site mentionné au cours de l’allocation du Likudnik Netanyahu est connu par les fonctionnaires de l’AIEA et par le renseignement étasunien comme un centre d’archives.
Il n’y a là ni tubes ni centrifugeuses, que du papier.
La paranoïa ordinaire fait conclure celui qui en est atteint des propositions fausses à partir de faits justes et observables. Le « persécuté » est toujours difficile à convaincre car il est capable de créer des raisonnements délirants en produisant des liens de causalité étayés par des données fondées. L’Etat israélien n’hésite plus à inventer des réalités dont l’authenticité est facilement récusable pour soutenir sa position de victime non pas effective mais potentielle et même totalement virtuelle.
Qui de sérieux l’écoute encore d’une oreille compatissante ou même intéressée ? Les médias contrôlés par les néoconservateurs sionistes certes sont la chambre d’enregistrement puis d’écho à ses lamentations, poussant au delà de la limite raisonnable les accusations d’antisémitisme avec sa suite logique, le génocide des Juifs, à la moindre contrariété. Le renseignement américain, quand il effectue son travail sérieux de recueil d’information, ne fait plus confiance aux fiches que lui adresse son homologue israélien à la réputation de plus en plus usurpée. En effet, le Mossad avait largement contribué à la construction de la théorie de l’existence les armes de destruction massives détenues par le ‘dictateur Saddam Hussein’. Ainsi, on peut lui imputer pour une grande part la guerre de Bush arrêtée $ 3000 milliards de dollars en 2008, maintenant dépassant de loin les $ 7000 milliards.
Les cendres et le métal fondu des trois tours du WTC étaient encore chauds quand se discutaient au Pentagone les modalités de l’invasion de l’Irak. Ce n’était ni pour venger le 11 septembre ni pour le pétrole. Il revient à John Mearsheimer et à Stephen Walt le mérite d’avoir développé longuement une étude sur les influences non occultes –il ne s’agit nullement d’un complot dissimulé- des officines israéliennes qui conforment la politique étrangère des Usa et donc leurs guerres selon les intérêts de l’entité sioniste.
S’habiller comme l’hôte
Les sionistes ont utilisé l’effraction faite par la répartition entre la France et le Royaume-Uni des provinces arabes de l’empire ottoman pour s’installer en Palestine. Ils ont dans un premier temps épousé la cause des Britanniques. Weizmann a fourni une aide précieuse aux Britanniques pour la fabrication des gaz de combat et l’amélioration du tir des armes à feu par la synthèse chimique de l’acétone. Aaron Aaronsohn, agronome et explorateur roumain, a créé un groupe juif d’espionnage qui a travaillé pour le Foreign Office et établi une cartographie minutieuse de la Palestine et des positions des forces turques, ce qui a facilité sa prise par Allenby. Rothschild a délié sa bourse en faveur de la Couronne et a servi de bon prêteur à l’Etat. Les sionistes ont fourni des unités combattantes et surtout assuré Lord Balfour de détourner les Juifs de la tentation bolchevik en leur promettant une terre ‘sans occupant’ pour un ‘peuple sans terre’.
Appropriation de la culture palestinienne par l’entité occupante
Le ‘mandat’ britannique sur la Palestine a résulté d’un dernier coup de boutoir de la part de Weizmann et de ses amis. Elle aurait dû être une zone sous contrôle international.
L’Empire sur lequel le soleil ne se couchait jamais devait se contenter de neutraliser la région pour sécuriser l’Egypte, point de passage vers l’Inde. De plus, une mésentente existait entre le Vice-Roi des Indes et le Bureau britannique au Caire, soucieux d’étendre les possessions dans l’Orient arabe, quitte à absorber des ressources financières et militaires en cette fin de guerre très coûteuse. Pour avoir la Syrie et contenter ses coloniaux, Clémenceau a cédé à Lloyd George sur Mossoul et la Palestine. Dès la ratification du traité de San Remo en 1920, le premier Haut-Commissaire britannique en Palestine, Sir Herbert Samuel, juif sioniste convaincu, va élaborer les premiers éléments structurant du futur Etat juif, médicaux, éducatifs et militaires. A la conférence du Caire en 1921, il voulait intégrer la Transjordanie à la Palestine mandataire où pourraient s’installer les Juifs européens. Churchill, Secrétaire d’Etat aux colonies s’y est opposé, donnant la Transjordanie à l’un des fils du Chérif de la Mecque comme piètre compensation au grand royaume arabe qui devait échoir aux hachémites. Les Commissaires qui lui ont succédé ont œuvré dans le même sens que lui, donner la prééminence aux colons, réprimer les indigènes et préparer leur éviction.
Cette stratégie de l’emprunt des intérêts d’autrui au point de paraître se confondre avec lui est employée lors du mimétisme parasitaire. Pour échapper à la vigilance du système immunitaire qui reconnaît les éléments de surfaces, certains schistosomes arrivés au stade adulte renouvellent leur membrane superficielle et fixent des quantités croissantes des protéines de l’hôte. Ainsi habillé, le schistosome leurre les lymphocytes, gardiens chargés d’éliminer le non soi. Le schistosome est vulnérable car identifiable dans les premiers temps de sa vie où il est à nu.
Au contraire, le sionisme s’est confondu avec l’impérialisme anglais qu’il a utilisé comme véhicule au tout début de son installation sur la terre convoitée. Le trocart de la puissance armée britannique a percé une voie d’entrée dans le corps arabe pour laisser place au cathéter sioniste. Une fois le proto-Etat bien avancé dans son élaboration, les fondateurs d’Israël ont combattu le « colonialisme britannique » en Palestine, n’hésitant pas à perpétrer des attentats terroristes. Lord Moyne, représentant britannique en Egypte est assassiné au Caire en novembre 1944 par le groupe sioniste Lehi. Dont l’un des membres est Yitzhak Shamir, futur premier ministre. En 1942, il a proclamé publiquement que les migrants colons n’ont aucun titre à revendiquer leur droit sur une terre qui leur est étrangère, il en fut puni. En juillet 1946, l’Irgoun, avec à sa tête Menahim Begin, lui aussi futur premier ministre, commet un attentat à l’hôtel King David qui se solde par 92 morts, parmi eux vingt huit Britanniques. A partir de cette date, le gouvernement britannique procède à une réduction de sa présence en Palestine jusqu’à son retrait total à l’heure de la création d’Israël. Arrivé à maturité, le sionisme élimine le vecteur qui lui a permis la pénétration de l’hôte final.
La multitude d’organismes sionistes présents aux Usa avec en premier lieu l’AIPAC revêtent l’habillage d’un patriotisme étasunien. Détruire l’Iran est-il un objectif profitable au vecteur et au schistosome ?
Le greffon contre l’hôte
« Un soldat tireur d’élite :
- J’ai tiré sur deux personnes, aux genoux. L’idée est de leur briser les os, de les neutraliser et non de les tuer.
Le journaliste :
- Quel effet cela vous fait-il ?
Le soldat du bataillon Nahson, il est âgé de vingt ans :
- Je suis plutôt satisfait de moi. J’ai vu que j’étais capable de faire ce que l’on m’a appris à l’entraînement, et ça m’a donné grande confiance de penser que dans une vraie situation de guerre, je pourrais défendre mes camarades et moi-même. »
Cet échange provient d’une interview parue dans le Jerusalem Post du 27 octobre 2000.
Depuis longtemps déjà , parmi les armes de destruction de la société palestinienne, le gouvernement de Tel Aviv et son laboratoire sociocidaire ont développé cette politique délibérée d’estropier les Palestiniens, jeunes de préférence, afin qu’ils deviennent une charge pour leur famille. Les tireurs s’exercent aussi à viser les yeux avec des balles enrobées de plastique. L’exercice est plus difficile, la surface à atteindre étant plus réduite. Le nombre de blessés ayant besoin de soins dans les services ophtalmologiques s’est accru avec la formation de bataillons israéliens spécialisés dans la guérilla urbaine, bien avant les années 2000 et l’Intifada al-Aqsa. Cette dernière avait été déclenchée par la montée arrogante de Sharon sur l’Esplanade des Mosquées à Al-Qods le 28 septembre 2000 et la mort du jeune Mohammed Al Dura deux jours plus tard à Gaza, assassinat filmé en direct par un journaliste français de France 2, Charles Enderlin, qui a subi plus de dix ans de harcèlement de la part du lobby-qui-n’existe-pas avant que ne soit reconnues comme vraies les images produites.
Rien de nouveau sous le ciel, un ciel de Plomb Durci.
Le reportage sur les estropiés de Gaza a fini par être diffusé malgré les pressions de l’ambassade de Tel Aviv en France et des protestations de tout le gratin du groupe d’amitié France-Israël qui occupe nombre de siège au Parlement français, plus de quatre-vingt, au point que certaines mauvaises langues parlent de Knesset à Paris pour désigner l’Assemblée Nationale. Le documentaire a été largement édulcoré, en ont été éliminées les images les plus violentes et les plus révoltantes, mais la direction a tenu à ne pas désavouer ses journalistes et sa programmation a été maintenue.
Comme à chaque fois qu’une information sur les exactions d’Israël, largement documentées par ailleurs et dénoncées par le corps politique comme en Suède et en Irlande, affleure en France, des affaires dans l’affaire peuvent se multiplier à l’infini, exactement comme pour l’enfant al Dourra. Le meurtre de cet enfant de 12 ans le 29 septembre 2000 que son père auprès duquel il était réfugié, tous deux dos au mur, essayant d’échapper aux tirs des snipers israéliens, n’avait pu protéger, avait ému le monde entier. La Cour d’Appel de Paris avait tranché le 26 juin 2013 en faveur de l’authenticité du reportage de Charles Enderlin, Netanyahu avalise peu après ce jugement un rapport frauduleux qui nie la mort de l’enfant !
Nous sommes encore dans la séquence de l’autodérision volontiers développée par les Juifs eux-mêmes. « ‘Mohamed al Dourra n’est pas mort » « D’ailleurs ce n’était pas Mohamed al Dourra » « De toutes les façons, ce sont les Palestiniens qui l’ont tué ».*
Ici, les estropiés de Gaza le sont vraiment. Le ravitaillement en prothèses commence à poser un réel problème mais ces exercices de l’armée la plus (im)morale du monde peuvent être d’un certain secours pour l’augmentation du PIB mondial. La mise au point de commandes électroniques implantées permettra le développement de technologies en faveur d’un homme ‘augmenté’ doté d’exosquelettes sophistiqués.
Avec une certaine innocence, le lobby-qui-n’existe-pas pointe sous la plume du Causeur la demande des Palestiniens encagés dans la prison inhumaine de Gaza. Ils veulent retourner chez eux dans les villages et les maisons dont ils ont été chassés depuis 1948 pour certains, 1967 pour d’autres, et en 1948 et en 1967 dans certains cas. Est-ce un crime ? Pour ceux qui défendent la nature juive de l’Etat fomenté depuis 1897 par l’organisation sioniste, l’exigence que s’applique le droit élémentaire de se voir restituer sa terre et sa maison est à la fois irrationnel, terroriste et antisémite.
Ces batailles médiatiques où la vérité est à tous les coups perdante car c’est la version du puissant de l’heure qui prévaut, n’auraient jamais vu le jour en France si n’existait pas un système de « schistomisation » du pouvoir. Cependant, des syndicats de journalistes se sont indignés de l’ingérence grossière de l’ambassadeur d’Israël dans des programmes d’une chaîne publique, qui ne vise qu’à cacher les crimes de l’entité occupante, plus de deux cents morts tirés comme des lapins à Gaza en quelques mois et des milliers de blessés. Cette année, le prix Bayeux de photographie des correspondants de guerre a été remis au journaliste de l’AFP Mahmoud Hams qui montre un handicapé des deux jambes sur un fauteuil roulant à la frontière de Gaza faire tournoyer une fronde en réplique aux tirs des soldats.
Aïcha Ben Mohamed Tal Arab, 47 ans, (photo ci-dessous) était à bord du véhicule familial avec deux de ses filles et son mari dans la région de Naplouse ce 12 octobre 2018. Elle s’apprêtait à marier son fils aîné dans deux semaines. Près d’un checkpoint, un groupe de colons caillassent la voiture. Atteinte à la tête, Aïcha décède peu après. Voilà un des aspects du menu ordinaire en Palestine occupée.
Pourquoi la France couvrirait-elle les crimes d’une situation coloniale qui est le fait d’un Etat-Nation artificiel ? Artefact né de la volonté de quelques Européens, implanté dans une zone orientale, arabe, qui ne peut être qu’hostile à cette greffe tardive alors que partout dans le monde l’heure était à la décolonisation ?
Quelle convergence d’intérêts ? Pourquoi lui avoir donné l’arme nucléaire ?
Pourquoi accepter une telle dissonance cognitive et tordre le sens des mots pour dire le droit à se défendre quand l’oppresseur, mille fois plus puissant en armes que la victime, agresse ? Une France, devenue l’ombre d’elle-même, rabougrie davantage depuis la disparition de sa monnaie nationale sous la haute autorité de Laurent Fabius, vote pour Hollande qui n’est qu’un paravent pour les menées de ce même Fabius en Syrie et au Mali sans perspective stratégique bénéfique pour elle. Le Sahel est désormais américain et Bashar Al Assad a plus de légitimité qu’aucun des locataires du palais élyséen qui doivent désormais se faire adouber par leCRIFpréalablement. A quand un Measheirmer et un Walt français pour disséquer les raisons d’une politique aberrante qui ne sert même pas cyniquement un impérialisme subalterne ?
Inconduite mimétique
Au moment où était attendu le découplage USA-Séoud, le meurtre du journaliste Jamal Kashoggi éloigne cette issue. Le prix du pétrole, légèrement soutenu par la disparition de l’opposant séoudien, accusera une baisse en raison d’une croissance mondiale ralentie par la politique commerciale de Trump. Les Bédouins du Nedjd n’ont qu’à bien se tenir, sans quoi ils mériteront un élégant regime change qui les dépouillera de leurs avoirs, Aramco y compris. On leur a fait savoir urbi et orbi qu’ils ne doivent leur survie qu’à la protection tarifée du parrain.
Leur longue amitié récemment affichée avec le greffon sioniste les a leurrés sur leur possibilité de mimer Israël. Le blocus sur le Yémen et le Qatar est resté sans réponse de la part de la communauté des Puissants, comme l’est celui sur Gaza. Ils prétendent dépasser leur référent, 22 millions de Yéménites en état de détresse alimentaire versus deux millions de Gazaouis enfermés et manquant de tout depuis 2007. Enhardis dans leur imitation servile de l’autre Etat théocratique de la région, et sans doute conseillés habilement, ils se sont permis, en territoire ennemi, un assassinat ciblé d’un de leur ressortissant. Un bon motif pour faire monter le prix de la protection.
Alexandre Adler s’était opposé au bombardement de l’Iran mais a préconisé depuis longtemps la politique des sanctions, les jugeant plus opportunes pour infléchir un pays qui s’est posé comme le Défenseur de la Cause palestinienne quand les Bédouins propageaient une variété d’Islam sectaire qui serait resté insignifiante sans l’aventure du pétrole. Ils ont payé les moujahidines en Afghanistan pour chasser le communisme et faire chuter l’URSS. Les Chinois et les Pakistanais s’étaient chargés de les armer et les former. Devant l’impossibilité technique de bombarder Téhéran sans réduire instantanément en poussière Israël, l’option Adler a prévalu. Mais cette insistance à vouloir détruire l’Iran a un coût.
Les alliances se sont renversées, Pakistan, Chine et Iran sont dans le même camp contre les Usa (et Israël) mais de plus, le blocus tenté contre Téhéran a disjoint l’Union européenne des Usa tout en constituant un élément synergique de la baisse de croissance mondiale. Il serait temps que le monde renonce au modèle de business Israélien, créer l’insécurité pour vendre Sa sécurité. Et que soit appliquée la demande de dénucléarisation du Proche-Orient. Déjà en 2003, les Européens interrogés lors d’un sondage voyaient Israël comme la première menace de la paix dans le monde. Il est des perceptions qui rendent compte d’une réalité que toutes les propagandes ne peuvent effacer.
60% des étudiants israéliens veulent quitter l’entité dirigée par un système corrompu qui ne leur assure ni un bon avenir professionnel, ni sécurité ni démocratie. 25% des jeunes gens et 45% des jeunes filles tentent d’esquiver leur service militaire. La jeunesse de l’Etat militaro-ethnico-théocratique n’adhère pas à ses valeurs et est prête à émigrer. La solution des deux Etats incluse dans les accords d’Oslo ne verra pas le jour. Il n’y en a qu’un seul, à terme il sera celui de ses citoyens et pas des seuls Juifs, essentiellement venus d’ailleurs.
Badia Benjelloun
* Blague juive : « Tu me demandes de te rendre ton chaudron, tu crains que je ne le dérobe ? De toutes les façons, il était ébréché. D’ailleurs, tu ne l’as jamais prêté. »
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17 octobre 2018