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Liban -

Agression Sioniste au Liban : Bilan d'Information n°18

Par

> celwan@wanadoo.fr

Situation des victimes le 31 juillet 2006 à 16h00: 715 civils libanais tués.
Bilan provisoire du bombardement de Cana: 60 morts au moins dont 15 enfants handicapés.
Malgré la trève, Raid aérien israélien au Liban sud aujourd'hui.
Les sauveteurs de la Défense civile craquent aussi.
Cinq membres d'une même famille, dont deux enfants, tués à Yaroun.

Agression Sioniste au Liban : Bilan d'Information n°18


A Qana, hier matin ........ (voir les autres photos)


À Cana, des femmes ont enlacé leurs enfants pour les protéger de la mort (L'orient le Jour 31 juillet 2006)

Dix ans après l'opération "Les Raisins de la colère", la fatalité s'abat à nouveau sur le village biblique de Cana. Hier, la localité a encore subi la foudre de l'État hébreu qui semble s'acharner sur les habitants de ce petit village, leur infligeant une malédiction inéluctable.

Une journée effroyable pour les résidents de cette bourgade, qui ont été réveillés par la mort lors d'une attaque matinale déclenchée par l'aviation israélienne. Bilan provisoire : plus de 60 civils libanais, dont une majorité de femmes et une trentaine d'enfants, ont péri dans le pilonnage par les forces israéliennes du village. Quinze enfants, parmi la trentaine, étaient handicapés physiques ou mentaux.

Cana a été totalement dévasté par les frappes israéliennes, qui ont commencé avant l'aube, le pilonnage par air, mer et terre ayant duré deux heures, selon la police. Les cibles se trouvaient dans trois zones, à l'entrée, au centre et sur un flanc du village.
Des dizaines de bâtiments se sont effondrés, et ont été éventrés ou détruits, selon un journaliste de l'AFP.

Il s'agit de la frappe la plus meurtrière depuis le début de l'offensive israélienne au Liban. Cana avait déjà été frappé par une tragédie similaire il y a plus de dix ans, le 18 avril 1996, lorsque 105 civils avaient été tués dans un bombardement israélien lors de l'opération "Raisins de la colère", qui visait déjà le Hezbollah.

Les premiers journalistes dépêchés sur les lieux ont eu droit à un spectacle d'autant plus ahurissant, qu'ils n'avaient pas eu le temps de gommer les images du massacre de 1996.

Des femmes avaient enlacé leurs enfants pour les protéger de la mort. Mais ce rempart ultime et dérisoire n'a pas suffi dans l'abri de Cana.
Les mères, dans leurs pantalons fleuris, gisaient sur le sol, les yeux épouvantés, serrant jusqu'à les étouffer leurs enfants pour les protéger, a constaté Béatrice Khadige, de l'AFP.

De l'immeuble à flanc de colline qui venait d'être achevé, il ne restait qu'un troisième étage qui tient dans un équilibre précaire.

Le propriétaire, un planteur de tabac, Abbas Hachem, avait construit une cave sous l'immeuble. Là, s'étaient réfugiés des voisins et une dizaine de handicapés, mentaux et physiques. Au total, 63 personnes, dont 34 enfants, a affirmé à l'AFP Farès Attiyah, chargé de l'approvisionnement de l'abri.

"J'ai vu des femmes, en position fotale, collées contre le mur, pensant que la cloison les protègerait, mais c'est le contraire qui s'est produit. Leur choix leur a été fatal, les cloisons se sont effondrées sur elles", raconte, entre deux sanglots, Naïm Rakka, responsable de l'équipe de la Défense civile dépêchée sur les lieux.

"Le pilonnage était tellement intense que personne ne pouvait bouger. Les secours n'ont commencé que ce matin (hier)", ajoute cet homme, l'un des cinq survivants de l'abri.

"J'ai sorti mon fils et mon mari, cheikh Mohammad Chalhoub, un paraplégique de 35 ans, je l'ai déposé dans un immeuble car je ne pouvais plus le porter. Mais quand je suis venue pour sortir ma fille restée dans l'abri, il était trop tard, l'immeuble s'était effondré", raconte, éplorée, Rabab.



Des manifestants en colère attaquent la Maison des Nations unies, place Riad el-Solh (L'orient le Jour 31 juillet 2006)

Des manifestants, en colère et en pleurs, ont attaqué hier la Maison des Nations unies, place Riad el-Solh, après le bombardement israélien du village de Cana, au Liban-Sud, où au moins 60 civils ont été tués. Ils ont jeté des pierres sur la façade en verre et brisé les portes de l'entrée centrale du bâtiment, qui abrite toutes les agences de l'ONU, en fustigeant la politique des États-Unis et la "barbarie" d'Israël.

Ulcérés par l'impuissace de la communuté internationale face à l'offensive israélienne au Liban, les premiers manifestants ont envahi le rez-de-chaussée de l'immeuble, saccageant les bureaux, arrachant les portes et brisant les vitres. Ils ont brûlé l'emblème de l'ONU.

"Feltman, dehors immédiatement", criaient les manifestants, réclamant le départ de l'ambassadeur des États-Unis, Jeffrey Feltman.

"Mort à l'Amérique", ont-ils également hurlé. "Merci à l'Amérique pour les bombes intelligentes qui tuent nos enfants", pouvait-on lire sur une bannière brandie au-dessus de la foule. Des drapeaux jaunes du Hezbollah flottaient au-dessus des têtes, et les manifestants entonnaient des slogans de soutien au secrétaire général du parti, Hassan Nasrallah.

"Cher Nasrallah, frappe Tel-Aviv", hurlaient certains.
"Dieu, garde-nous Nasrallah", scandaient-ils également. Des drapeaux du mouvement Amal et du Parti syrien national social (PSNS) étaient également visibles dans la foule.


Un porte-parole de l'ONU, Khaled Mansour, a indiqué à l'AFP qu'une centaine d'employés de l'ONU s'étaient réfugiés dans les sous-sols du bâtiment. Des gardes de sécurité ont éteint des débuts d'incendie. "Nous sommes, nous aussi, furieux devant les bombardements qui visent des civils", a-t-il assuré, et "nous ne devrions pas être pris pour cible".

Plus tard dans la journée, Kofi Annan, secrétaire général de l'ONU, a annoncé que les attaques contre le bâtiment avaient fait trois blessés légers.

L'armée a pris position à proximité du bâtiment pour contenir la manifestation. C'est finalement après l'intervention d'un cadre du Hezbollah que les plus déterminés des protestataires, souvent en pleurs, ont quitté l'immeuble de l'ONU et après que le président du Parlement Nabih Berry eut lancé un appel au calme.

"J'appelle le peuple et mes frères, et les jeunes qui manifestent devant le bâtiment de l'ONU à se retirer et à ne pas attaquer les bâtiments", a déclaré M. Berry sur les ondes de la chaîne al-Jazira. Il leur a demandé de rentrer chez eux et "de donner au monde entier la possiblité de soutenir le Liban sans que notre image ne soit ternie".

Peu à peu, les manifestants se sont dispersés à la fin de la journée. Un rassemblement, pacifique cette fois, s'est cependant reformé en fin d'après-midi.

Par ailleurs, l'armée a également bouclé le secteur de Awkar (Metn), où se trouve l'ambassade des États-Unis et où devait avoir lieu une manifestation géante qui a finalement été annulée.


Cinq membres d'une même famille, dont deux enfants, tués à Yaroun

Violents accrochages entre le Hezbollah et l'armée israélienne à Taïbé et Deir Mimas (L'orient le Jour 31 juillet 2006)

Parallèlement à l'horrible massacre de Cana qui a mobilisé l'attention de l'opinion internationale, Israël n'a pas pour autant ménagé le reste du territoire où elle a poursuivi son offensive aérienne, terrestre et maritime au cours du week-end dernier.

Sur le terrain, de violents combats ont éclaté à Taïbé, non loin de la frontière entre le Hezbollah et l'armée israélienne qui a effectué une incursion en territoire libanais, dans la région dite du Doigt de la Galilée.

Le Hezbollah a annoncé dans un communiqué que "de violents accrochages opposent les héros de la Résistance islamique à des groupes de la division Golani (unité d'élite de l'armée israélienne, NDLR) qui se sont infiltrés dans le secteur de Taïbé". Ces combats ont débuté dans la nuit de samedi à dimanche.
Tard dans la nuit d'hier, l'aviation israélienne a lancé des raids à Masnaa et près de Baalbeck.

La Force intérimaire de l'ONU au Liban (Finul) a indiqué, dans un communiqué, que l'armée israélienne était entrée durant la nuit de samedi dans la région de Kfar Kila, et se trouvait toujours dans ce secteur qui englobe les villages de Taïbé et Deir Mimas, où d'intenses combats ont été signalés.

Selon la Finul, "les forces israéliennes étaient également présentes en territoire libanais dans le secteur frontalier de Maroun al-Ras-Bint Jbeil", plus à l'ouest, d'où elles s'étaient retirées vendredi. L'armée israélienne a indiqué que huit soldats israéliens ont été blessés dans les combats.

Le Hezbollah a annoncé la mort de trois de ses combattants, ce qui porte à 36 le chiffre annoncé des pertes dans ses rangs depuis le début de l'offensive. Le mouvement Amal a fait état de six tués.

Le bombardement de Cana est intervenu par ailleurs alors qu'une dizaine de villages de la région de Tyr, essentiellement au sud de la ville portuaire, étaient soumis à des raids aériens.

Pratiquement toutes les localités frontalières étaient pilonnées par intermittence, par air, terre et mer. Du fait de ces bombardements, cinq membres d'une même famille, dont deux enfants, ont été tués dans leur maison dans le village de Yaroun.

Deux civils ont en outre été blessés dans le bombardement d'axes routiers dans l'Iqlim at-Touffah, où une position de l'armée libanaise, à Sarba, a été touchée. Des témoins ont affirmé avoir vu des blindés en feu, mais la police n'a pas fait état de victime.

Dans la vallée de la Békaa, un civil a été blessé lors du bombardement de sa camionnette, l'aviation israélienne ayant poursuivi le pilonnage des routes.

Une soixantaine de roquettes sur Israël

Pour sa part, le parti chiite a de nouveau tiré hier matin une soixantaine de roquettes sur le nord d'Israël, selon l'armée israélienne. Quatorze Israéliens ont été blessés dans ces bombardements à la roquette, selon un nouveau bilan des services de secours israéliens.

"Quatorze personnes ont été blessées et 45 sont en état de choc", a indiqué à l'AFP, Zaki Heller, porte-parole du Magen David Adom, équivalent de la Croix-Rouge.

"Des roquettes se sont abattues sur la ville portuaire de Haïfa et les localités de Nahariya, Kiryat Chmona et Saint-Jean d'Acre où un bâtiment public a été sérieusement endommagé et un habitant légèrement blessé", a indiqué à l'AFP un porte-parole de la police israélienne.

Samedi, 90 roquettes s'étaient abattues sur le nord d'Israël faisant une dizaine de blessés légers et des dommages matériels.
Depuis le début du conflit, quelque 1 800 roquettes du Hezbollah se sont abattues sur le nord d'Israël.

À ce jour, l'offensive israélienne contre le Liban aura fait au total 515 morts au moins, dont 441 civils, 29 militaires et gendarmes libanais, selon un bilan partiel établi par l'AFP de sources hospitalières et policière.

Notons que dans la soirée d'hier, l'armée libanaise a ouvert le feu sur des hélicoptères israéliens qui tentaient d'atterrir près de la localité de Yammouné, dans la Békaa, les empêchant de se poser, a-t-on appris auprès de témoins et de responsables libanais de la sécurité. Les quatre hélicoptères tentaient apparemment de débarquer des soldats près de la ville.

Les hélicoptères sont repartis avant que des avions israéliens lancent des raids sur la région.


La route Beyrouth-Damas coupée

Relativement épargnée ces derniers jours, la route internationale Beyrouth-Damas a été soumise, dans la nuit de samedi à dimanche, à un pilonnage israélien intensif fermant de facto la frontière entre le Liban et la Syrie.

Dans la région de Masnaa, le poste-frontière entre le Liban et la Syrie, des bombes de forte puissance ont creusé d'énormes cratères, de six mètres de profondeur sur la route, à 600 mètres du poste de contrôle de la police et de la douane.

L'aviation israélienne a mené quatre raids sur cet axe, la plus importante voie de passage entre les deux pays. Plus aucun véhicule ne circule sur cette route, selon les journalistes, qui est fermée "de facto".

L'armée israélienne a précisé que le but de ces raids était d'empêcher toute livraison d'armes au Hezbollah à partir de la Syrie.



Les sauveteurs de la Défense civile craquent aussi (L'orient le Jour 31 juillet 2006)

Naïm Rakka, 50 ans, chef de l'équipe de la Défense civile dépêchée à Cana, s'enfonce dans la cavité pour ressortir à trois reprises en serrant chaque fois contre son cour un enfant sans vie. Puis, brusquement, ses nerfs lâchent et il ne peut plus retenir ses larmes, rapporte Béatrice Khadige de l'AFP.

"Cessez de me poser des questions, cessez de me demander les chiffres. Vous ne voyez pas par vous-mêmes l'horreur autour de vous?" lance aux journalistes cet homme carré, aux cheveux gris et au regard direct, avant de se reprendre et de se remettre à la tâche.

Si cela fait plus de 20 ans qu'il est employé de la Défense civile et que l'horreur n'a plus vraiment de secret pour lui, ce qu'il a vu hier à Cana l'a profondément remué.

Les 25 membres de la Défense civile et les 55 volontaires de la Croix-Rouge libanaise de la région de Tyr au Liban-Sud, qui sont intrépides au feu, ont eu au total, depuis le déclenchement, le 12 juillet, de l'offensive israélienne contre le Liban, 15 blessés, en sus de deux ambulances et une pelleteuse détruites.

"Ma pire expérience a été de retirer les corps calcinés d'une camionnette à Marwahine. J'ai vu des enfants brûlés, j'ai dû retirer des bras ou des jambes. C'était insupportable. J'en fais encore des cauchemars", confie Ismaïl Chahine, 22 ans, qui, sans travail, s'est porté volontaire il y a deux ans.

Dix-huit personnes, dont onze enfants, ont été brûlées vives le 15 juillet, dans le bombardement de la camionnette à bord de laquelle elles fuyaient leur village frontalier, sur ordre de l'armée israélienne.
Tous les sauveteurs reconnaissent que le plus dur est de porter secours aux enfants.

"Mon coeur est noir de tristesse comme la chemise que je porte, et je n'ai plus de larmes car je sais que chaque fois que je trouve un enfant mort, je trouverai pire la prochaine fois », confie Abou Ali, 42 ans. Les membres de la Défense civile sont vêtus d'un pantalon et d'une chemise noirs avec des bandes jaunes.

Cet homme, qui, en 23 ans de service, a vu tous les drames de la vie, confie que le plus dur est de porter secours à des enfants blessés.

"Je vois des souffrances horribles, mais le pire ce sont les enfants, car ils ne comprennent pas ce qui se passe", assure-t-il.
"Chaque fois que j'essaie de retirer un enfant des décombres, mon coeur se brise quand il crie en se débattant : "Je veux rester avec ma mère", et,
souvent, elle a déjà rendu l'âme. C'est bouleversant", ajoute-t-il.
Alors que les dépouilles, enveloppées dans des couvertures, sont alignées dans un terrain vague à Cana et que les avions israéliens continuent à bombarder les collines environnantes, Khaled Yazbeck, 42 ans, actif au sein de la Défense civile depuis 1986, considère que cette "guerre est la pire, car la plus meurtrière".

En 19 jours, il y a eu au moins 750 tués et plus de 2 000 blessés, la grande majorité des civils, soit 40 victimes par jour, selon les estimations officielles.

"Je n'ai secouru pour le moment que des civils et pas de combattants. La souffrance des survivants est terrible et me retourne plus encore que la vision des cadavres", dit-il.



MALGRÉ LA TRÊVE

Raid aérien israélien au Liban sud (AFP 31 juillet 2006)

L'aviation israélienne a lancé lundi après-midi des attaques contre des positions du Hezbollah dans le secteur du village de Taybeh au Liban sud en "appui aux forces terrestres", a annoncé un porte-parole militaire.

"Nos appareils opèrent dans le secteur pour appuyer nos forces au sol", a déclaré à l'AFP le porte-parole.

Il a affirmé que les appareils «tiraient uniquement sur des zones inhabitées en vue de prévenir des attaques contre les forces terrestres".
Ces tirs interviennent en dépit de l'acceptation par Israël d'une suspension des frappes aériennes au Liban sud pendant 48h00, tout en se réservant le droit d'agir en cas d'attaques ou de préparatifs d'attaque.

"Le raid aérien à Taybeh ne contredit pas cette annonce car nous ne nous sommes pas engagés à suspendre toutes les frappes", a affirmé le porte-parole.

"Israël a accepté une suspension de 48 heures de son activité aérienne au Liban sud pendant qu'il mène une enquête sur le tragique incident de Cana d'aujourd'hui", a annoncé dans la nuit de dimanche à lundi le porte-parole du Département d'État Adam Ereli.

L'État hébreu "se réserve le droit, évidemment, d'agir contre des cibles préparant des attaques contre lui", a poursuivi M. Ereli.
Les dirigeants israéliens ont prévenu lundi qu'en dépit d'une suspension de ses frappes aériennes contre le Liban, ils n'étaient pas prêts à accepter un cessez-le-feu dans l'immédiat.

La suspension des attaques aériennes israéliennes a été décidée quelques heures après le bombardement aérien israélien dans la localité à Cana au Liban sud, où plus de 50 civils, dont une trentaine d'enfants, ont été tués.

L'arrêt de ces raids a été proclamé au moment où la secrétaire d'État américaine Condollezza Rice se trouvait à Jérusalem.
Contrairement aux usages diplomatiques, cette mesure n'a d'ailleurs pas été été annoncée par le bureau du premier ministre, mais par un porte-parole du Département d'État américain.

L'armée israélienne a ensuite confirmé cette suspension qui n'est pas totale.

Situation des victimes le 31 juillet 2006 à 16h00: 715 civils libanais tués






Soutien aux Palestiniens du Liban

Les Amis de la Fondation Culturelle Ghassan Kanafani (AFCGK) lancent une souscription exceptionnelle pour l'aide aux Palestiniens du Liban.

Dans la situation actuelle, le moindre soutien est le bienvenu. Nous organisons donc une collecte de fonds exceptionnelle. Si vous désirez nous aider rien de plus simple adressez un chèque à :
Association Les Amis de la Fondation Culturelle Ghassan Kanafani , 1 avenue Saint-Thomas 44100 Nantes.

Vous pouvez vous reporter à notre site actualisé sur http://fcgk44.free.fr

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Source : Les Amis de la Fondation Culturelle Ghassan Kanafani

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