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Palestine -

L'Apartheid israélien ne doit pas être récompensé par l'OCDE

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Le 16 mai 2007, l'Organisation de Coopération et de Développement Economiques (OCDE) a officiellement invité Israel à devenir l'un de ses membres.
Cependant, en tant que Palestiniens, nous remettons en cause cette invitation pendant qu'Israel agit clairement en violation de certains des principes de base de l'OCDE.

L'Apartheid israélien ne doit pas être récompensé par l'OCDE


Schéma ci-dessus : Accords bilatéraux d'Israël [6] - Données d'après les chiffres du gouvernement israélien, comparés à des sources secondaires. Analyse : Stop the Wall


Suite aux Accords d'Oslo de 1994, une partie des bénéfices pour Israël a été un accroissement des accords bilatéraux internationaux, une meilleure intégration dans l'Union Européenne (UE) et dans l'OTAN en particulier, et le début d'une participation aux activités de l'OCDE.

Les institutions internationales ont tiré profit du climat post-Oslo pour former des alliances économiques et stratégiques avec Israël qui s'est retranché dans l'occupation, aliénant les Palestiniens de leur terre et de leurs droits.

Depuis 1994, l'attitude de plus en plus amicale envers Israël est en contraste absolu avec l'escalade de la colonisation israélienne de la Palestine, sous laquelle les Palestiniens sont éclatés dans 5 Bantustans murés et soumis à des abus quotidiens des droits de l'homme et à des confiscations de terre.

L'OCDE proclame être basée sur le "respect des droits de l'homme", sur l'observation des objectifs de l'ONU et "les valeurs de base du [...] pluralisme démocratique", pourtant l'invitation dans ses rangs faite à Israël démontre la détermination des institutions internationales à ignorer les violations israéliennes des règles internationales au profit de la poursuite d'intérêts coloniaux.

Si les Etats Membres de l'OCDE étaient sérieux au sujet du respect de leurs engagements déclarés sur le pluralisme démocratique et les droits de l'homme, ils devraient modifier cette tendance et refuser l'entrée d'Apartheid Israël dans l'organisation.


Le chemin de la normalisation

La création d'Israël a nécessité la destruction de 513 villes et villages palestiniens et l'exode forcé de plus de 750.000 Palestiniens de leurs terres.

Depuis ses débuts, l'occupation a fait face à une critique mondiale. Depuis 1948, une grande partie des Etats du Sud étaient peu disposés à entrer en relation avec Israël, soit pour protester contre l'injustice imposée aux Palestiniens par l'établissement d'un nouvel état colonial sur leur terre, soit parce qu'ils ont eu peur du boycott efficace de la Ligue Arabe.

Israël a également eu des difficultés à conclure des accords multilatéraux. Son admission à l'ONU a été fortement contestée et conditionnée à sa reconnaissance du droit au retour des réfugiés palestiniens.

Non seulement les réfugiés ne peuvent toujours pas rentrer dans leurs maisons, mais Israël n'a pas cessé d'ajouter plus de crimes par son expansionisme implacable et l'occupation de la Cisjordanie , de Gaza et des Hauteurs du Golan syriens en 1967.

La base idéologique raciste de l'Etat juif a fait face à une permanente condamnation internationale :

En 1975, l'Assemblée générale de l'ONU a voté la résolution 3379 déclarant que le Sionisme était une forme de racisme. [1]

Le processus d'Oslo a vu un effondrement dans la pression internationale sur Israël au profit de la Palestine. À la suite de la conférence de Madrid en 1991, l'ONU a retiré la résolution 3379, sans publier aucune explication officielle. [2]

En 1993, l'Organisation de Libération de la Palestine a accepté de reporter des questions comprenant "Jérusalem, les réfugiés (et) les colonies" à des négociations de statut final [3] tandis que l'établissement de l'ANP liait inextricablement une grande partie de la direction politique palestinienne aux autorités de l'occupation.

Ces initiatives ont donné à de nombreux pays le feu vert pour mettre de côté leurs engagements à faire respecter les droits des Palestiniens en faveur des bénéfices récoltés par l'établissement de relations avec Israël.


La poussée d'Oslo vers des accords bilatéraux

Oslo a ouvert la voie de la normalisation d'Israël au niveau mondial, au moment où Israël avait désespérément besoin de lui pour la restructuration de son économie.

Le résultat de la normalisation a été une multiplication par six de l'investissement étranger direct, soit un bond de 686 millions de dollars à environ 3.6 milliards de dollars . [4]

En 1994, le PIB d'Israël a augmenté de 6.8% et ses exportations de 12.6%. [5]

On peut observer la récompense d'Israël pour le faux processus d'Oslo dans l'accélération soudaine de l'activité diplomatique réussie autour de la période des Accords d'Oslo en 1994.

En particulier, la période d'Oslo a également vu pour la première fois une coopération bilatérale sérieuse avec l'Union Européenne. En 1995, Israël est devenu un membre de la nouvelle Association Euro-Méditerranéenne. [7]

Il a signé l'Accord d'Association avec l'Union Européenne à Bruxelles le 20 novembre 1995, avec une entrée en vigueur des aspects commerciaux en 1996. [8]

Cet accord forme la base juridique des relations entre l'UE et Israël, et inclut des dispositions pour le dialogue et la coopération entre Israël et l'Union Européenne. [9]
Il a été suivi d'un accord qui est entré en vigueur en janvier 2004, autorisant la majeure partie du commerce agricole entre Israël et l'Union Européenne. [10]
Israël est maintenant un acteur principal dans la "politique de voisinage" de l'UE, en dépit des larges campagnes de la société civile pour mettre fin aux accords entre l'UE et Israël et des preuves accablantes démontrant qu'Israël est en violation de ses engagements concernant les droits de l'homme aux termes de ces accords, et que plus de coopération risque en fait d'empirer la situation, ébranlant "l'élément essentiel" déclaré des relations extérieures de l'UE. [11]

La période d'Oslo a également vu l'instauration de relations officielles avec l'OTAN.

En décembre 1994, l'OTAN a lancé son Dialogue Méditerranéen, conçu pour mettre l'organisation en contact plus étroit avec les "sept partenaires méditerranéens", dont Israël, et pour renforcer leur capacité à dominer et à contrôler le monde arabe sous le prétexte de la "guerre contre le terrorisme" qui sera provoquée quelques années plus tard.

L'OTAN a accepté un "partage efficace des renseignements", "une coopération maritime" et une "sécurité des frontières" [12] et en avril 2001, alors qu'Israël engageait sa répression brutale du deuxième Intifada, Israël est devenu le premier pays du Dialogue Méditerranéen à signer un programme individuel de coopération avec l'OTAN, pour la protection d'informations secrètes pour "des besoins de sécurité". [13]

La relation entre Israël et l'OTAN a continué à se renforcer avec des exercices militaires communs, une augmentation du partage des informations et des manifestations très publiques de soutien, y compris l'invitation d'Amir Peretz, responsable de l'attaque israélienne contre le Liban, à l'OTAN en janvier 2007. [14]

L'OTAN apprécie clairement l'expertise israélienne dans l'occupation et la répression du mouvement de résistance populaire palestinien. [15]

De plus, comme c'est un accord bilatéral, Israël tire bénéfice de son association avec la puissance militaire prépondérante sans les contraintes du multilatéralisme.

Israël a également commencé à participer aux activités de l'OCDE en 1996. Il est maintenant membre ou observateur dans plus de cinquante comités, groupes de travail, réseaux et commissions de l'OCDE.

La contribution stratégique d'Israël à l'OCDE rend aveugle les pays membres non seulement en ce qui concerne les droits de l'homme et le droit international, mais également au sujet de leurs propres déclarations sur "l'éthique économique".

Bien que l'on puisse douter de la contribution "au bien-être général de la population" des économies d'autres pays membres et demandeurs, quelques pays se moquent vraiment ouvertement de ce précepte comme Israël, qui scinde les avantages économiques strictement sur des bases religieuses et racistes : au profit seulement des juifs.

Les Palestiniens avec la citoyenneté israélienne sont le secteur le plus pauvre de la société et le plus mal équipé en services sociaux ; Les Palestiniens en Cisjordanie et le Gaza sont systématiquement affamés et privés de leurs droits fondamentaux ; Les réfugiés palestiniens sont dépouillés de tout ce qu'ils possédaient.

Le principe de l'OCDE qu'une "coopération plus large constituera une contribution essentielle à des relations pacifiques et harmonieuses entre les peuples" est en totale opposition à la guerre économique de l'Apartheid d'Israël.

L'occupation illégale israélienne et le système résultant du bouclage, du siège et de la ghettoisation ont rendu impossibles le déplacement des marchandises et ruiné l'économie palestinienne : sa politique est clairement incompatible avec l'affirmation de l'OCDE que ses membres devraient "contribuer à une saine expansion économique dans les pays Membres, ainsi que non membres, en voie de développement économique" ; et "poursuivre leurs efforts en vue de réduire ou de supprimer les obstacles aux échanges de biens et de services, ainsi qu'aux paiements courants."


L'augmentation des accords internationaux et l'amélioration des relations pendant ou au lendemain immédiat des Accords d'Oslo n'est pas une coïncidence.

Pour les gouvernements et les institutions internationales, le "processus de paix" a agi comme outil pour justifier une augmentation des engagements avec Israël, malgré l'escalade des attaques contre les vies, les maisons et la terre des Palestiniens, a peint l'encre sèche sur les Accords d'Oslo, ce qui démontrait le véritable agenda du régime pour la Palestine.

Ni le début du deuxième Intifada ni l'avis consultatif de la Cour International de Justice prononcé en 2004 n'ont arrêté cette dynamique.

La cour a déclaré illégaux le Mur et la politique de colonisation d'Israël, elle a déconseillé à la communauté internationale de soutenir le mur et le régime illégal qu'il crée et a réclamé des mesures appropriées pour arrêter la violation de la IV Convention de Genève par Israël.

Cependant, le cynisme des institutions internationales persiste à ce jour, comme l'incarne la décision de l'OCDE d'inviter Apartheid Israël à faire une demande d'adhésion. Ignorer les crimes et les abus afin de maintenir une alliance stratégique et économique devient de plus en plus important pour le maintien de l'approche néo-coloniale.

Le processus d'Oslo est maintenant largement présenté comme une farce, ce qui rend nécessaire de nouvelles approches pour maintenir l'illusion d'un "processus de paix" ; en particulier la Feuille de Route, une augmentation des réunions bilatérales entre Olmert et Abbas ; l'Initiative de Paix Arabe et plus récemment la Conférence Internationale de Paix réclamée par George Bush.

Les résultats ont été le maintien d'Israël dans les rangs de la communauté internationale, et un camouflage pour une augmentation de la coopération avec Israël.

L'Autorité Palestinienne, le soi-disant "partenaire pour la paix", est un participant volontaire dans cette parodie tandis que les confiscations de terre et les abus des droits de l'homme s'intensifient en Palestine.


Implications de l'invitation d'Israël à entrer dans l'OCDE

Inviter Israël à rejoindre l'OCDE marquera un nouveau chapitre dans l'engagement israélien avec les institutions internationales : un nouvel accord multilatéral important cimentant les accords bilatéraux déjà en place avec l'UE et différentes nations.

Israël voit son accession à l'OCDE comme une étape importante dans son intégration à l'économie globale. Plus d'intégration augmentera l'influence d'Israël dans les processus décisionnels mondiaux et perpétuera le mythe qu'Israël est une économie internationale légitime et respectable établie selon des principes de respect envers la démocratie, les droits de l'homme et le droit international.

Certains diront que l'entrée d'Israël dans l'OCDE pourrait provoquer une amélioration de son approche en Palestine. C'est un rêve.

Israël est membre de l'ONU depuis 1949, et cela n'a mené à aucune amélioration dans sa collaboration avec les 69 résolutions ou principes de l'ONU, ni à aucune réduction de sa politique d'occupation et d'Apartheid envers les Palestiniens.

Son engagement avec l'Union Européenne n'a pas eu non plus de répercussions dans les relations entre l'Union Européenne et Israël, malgré les campagnes incessantes de la société civile européenne contre l'accord de libre-échange entre Israël et l'Union Européenne, répétées dans les rapports fortement critiques du Bilan Annuel sur les droits de l'homme.

Dans d'autres cas, Israël explique que la situation en Cisjordanie et dans la Bande de Gaza n'a pas à être soumise à l'institution internationale sur les droits de l'homme ou sur d'autres questions. [16]

Son approche à l'OCDE ne devrait pas être différente : nulle part dans son document "Israël : Prêt pour l'OCDE", il mentionne la Palestine. [17]

Quand toute autre forme d'engagement a tellement visiblement échoué comme dans le cas d'Apartheid Israël, la société civile mondiale doit souscrire à l'appel pour le boycott, le désinvestissement et les sanctions contre Israël.

Tandis que la société civile en Occident a l'occasion de commencer une nouvelle ère de pression internationale pour les droits des Palestiniens, celles du Sud doivent regarder seulement deux décennies en arrière pour trouver encore les principes et les outils d'une solidarité efficace avec la Palestine.

L'OCDE doit être tenue pour responsable. Il n'est pas suffisant de proclamer une conviction dans la démocratie plurielle et les droits de l'homme tout en faisant une invitation à Israël qui piétine les vies des Palestiniens, marche sur les drois démocratiques et se moque des accords internationaux.

L'accession d'Israël à l'OCDE doit être empêchée.


Participer à la Campagne : "NON à l'entrée d'Israël dans l'OCDE"



NOTES

[1] Résolution 3379 de l'Assemblée Générale des Nations-Unies; 10 Novembre 1975

[2] Assemblée Générale des Nations-Unies, 74ème reunion plénière, Elimination du racisme et de la discrimination raciale, 16 Decembre 1991

[3] Déclaration de Principes sur des Accords intérimaires d'auto-gouvernement (13 Septembre 1993)
Accord Intérimaire sur la Cisjordanie et la bande de Gaza (28 Septembre 1995)

[4] G. Feiler, From boycott to economic cooperation: The Political Economy of the Arab Boycott of Israël (London: Frank Cass, London), p. 287. (D'un Boycott à une Coopération Economique : L'Economie Politique du Boycott Arabe d'Israël)

[5] Op cit. Feiler, p. 255.

[6] Gouvernement d'Israël, Accord bilatéraux d'Israël, disponible sur www.israel-mfa.gov.il/MFA/Treaties/ (accessible le 13 Août 2008).
Notez que ces données sont sous forme globale et qu'elles ne font pas la différence entre les accords bilatéraux relativement mineurs (par exemple les transmissions de radio-amateur) et les accords significatifs sur la coopération militaire ou commerciale.
Cela donne cependant une forte illustration de l'accélération dans l'activité diplomatique au cours de la période 1993-1999

[7] UE, Feuille de Travail de l'Equipe de la Commission : Politique Européenne de voisinage : Rapport par pays - Israël (12 mai 2004)

[8] Délégation de la Commission Européenne en Israël, L'Union Européenne et Israël: Une Histoire d'Interdépendance et de Coopération, (droits d'accès le 13 Août 2008)

[9] Op cit. UE, Feuille de Travail de l'Equipe de la Commission


[10] Op cit. UE, Feuille de Travail de l'Equipe de la Commission


[11] Le Troisième Bilan Annuel des droits de l'homme dans les relations entre l'Union Européenne et Israël constate que : "Le Bilan envisage la possibilité que la pratique de l’UE consistant à tolérer l’application, illégale au regard du droit international, par Israël de ses obligations contractuelles privilégiées se poursuive dans le cadre de la PEV."
“Aborder l’application de ce principe de conditionnalité de manière trop accommodante aurait pour conséquence une socialisation négative..
Le Bilan affirme que lorsque les obligations internationales en cause sont tenues pour essentielles à la protection et la réalisation des droits de l’Homme fondamentaux, on peut raisonnablement s’attendre à ce qu’une telle socialisation négative contribue à accroître la probabilité, la fréquence et la gravité des atteintes aux droits de l’Homme.
Ce faisant, l’UE faillirait à son obligation de se conformer elle-même à l’"élément essentiel" de ses relations extérieures, qui doivent "reposer sur le respect des droits de l’Homme" et doivent aussi promouvoir leur respect dans les pays tiers.

Troisième Bilan Annuel des Droits de l’Homme dans les Relations UE-Israël. Les accommodements au cas "spécial" d’Israël 2005-2006



Le soutien à cette opinion a émané de certains milieux étonnants, y compris de la Commission d'enquête parlementaire sur le développement international au Royaume-Uni, une institution parlementaire influente qui, en février 2007, a recommandé que le gouvernement britannique demande la suspension de l'Accord d'Association commercial entre l'Union Européenne et Israël jusqu'à ce qu'il agisse en conformité avec ses engagements aux termes du traité.
La Commission a déclaré : Il y a une incohérence dans le fait de permettre à Israël de continuer à tirer bénéfice d'un type d'accord alors qu'Israël empêche les Palestiniens d'en bénéficier. Le dialogue permanent avec Israël est certainement nécessaire mais l'Accord d'Association apparaît comme un consentement tacite aux restrictions aux déplacements et à l'accès qu'Israël impose aux Palestiniens.
Le Royaume-Uni devrait inviter l'Union Européenne à utiliser l'Accord d'Association avec Israël comme un levier pour le changement et envisager de suspendre l'accord jusqu'à ce qu'il y ait d'autres améliorations dans les dispositions pour les droits de passage
."
Comité au Développement International de la Chambre des Communes, Aide au Développement et les Territoires palestiniens Occupés : Réponse du gouvernement au 4ème rapport du Comité de la Session 2006–07 (27 Mars 2007),


[12] OTAN, “L'OTAN célèbre de 10ème anniversaire du Dialogue Méditerranéen” (12 Decembre 2004)



[13] OTAN, “Israël signe un accord sur la sécurité avec l'OTAN” (24 Avril 2001),

[14] BBC, “Partenariat OTAN-Israël renforcé" (24 Février 2005),

OTAN, “Des bateaux de l'OTAN se rendent à Elat, Israël” (21 Mars 2005),

Jerusalem Post, "Des soldats de l'IDF s'entrainent pour la première fois avec l'OTAN" (22 juillet 2005)

OTAN, “Visite à l'OTAN du Ministre israélien de la Défense” (31 Janvier 2007),


[15] Selon l'OTAN, la contribution israélienne"... couvre de nombreux domaines d'intérêt commun, tels que la lutte contre le terrorisme et des exercices militaires communs, où l'expertise israélienne est très appréciée." - OTAN, Conférence publique de diplomatie de l'OTAN en Israël (23 octobre 2006)

[16] En 2007, dans leurs soumissions au Comité de l'ONU sur l'élimination de la discrimination raciale, ils ont refusé de faire référence à ces territoires, bien qu'ils aient été invités à le faire par le Comité des Nations Unies sur l'Elimination de la Discrimination Raciale, du 19 février au 9 mars 2007, CERD/C/ISR/CO/13


[17] Demande d'Israël à l'OCDE, Israël : Prêt pour l'OCDE
www.oecd.gov.il/Oecd_docs/book1_all.pdf

Source : http://stopthewall.org/

Traduction : MG pour ISM

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