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ISM France - Archives 2001-2021

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Liban -

Agression Sioniste au Liban : Bulletin d'information n°16

Par

L'Onust évacue ses positions à la frontière libano-israélienne.Le Hezbollah tire des roquettes de plus longue portée et touche pour la première fois Afoula, au sud de Haïfa.
Témoignages sur l'usage par Israël de munitions controversées.
La Chine offre une aide humanitaire d'urgence au Liban.
Une équipe chinoise se rend au Liban suite au décès d'un observateur chinois de l'ONU.
Le 17ème jour de l'agression israélienne contre le Liban.

Le Hezbollah tire des roquettes de plus longue portée et touche pour la première fois Afoula, au sud de Haïfa (L'orient le Jour 29 juillet 2006)

L'aviation israélienne a poursuivi ses raids hier, tuant dix civils, alors que des accrochages opposaient des unités israéliennes à des combattants du Hezbollah dans la région de Bint Jbeil. Dans le même temps, le Hezbollah a annoncé avoir tiré une salve de missiles contre la ville israélienne de Afoula, à une cinquantaine de km de la frontière libanaise.

Face à la recrudescence des frappes israéliennes, l'ONU a décidé de replier sur des positions de la Finul huit observateurs de l'Onust (Organisme de l'ONU chargé de la surveillance de la trêve, première mission de paix onusienne créée en 1948) qui se trouvaient dans deux postes proches de la frontière.

"Nous avons décidé de transférer provisoirement les observateurs vers d'autres positions de la Finul au Liban-Sud pour des raisons de sécurité", a déclaré Milos Strugar, porte-parole des Casques bleus au Liban.

"Il y avait quatre positions de l'Onust. L'une a été abandonnée il y a cinq jours après qu'un observateur a été blessé par un tir du Hezbollah et l'autre a été détruite par les bombardements israéliens qui ont tué quatre observateurs", a-t-il poursuivi.

"Les deux autres positions à Marwahine et Markaba ont été provisoirement évacuées. Elles étaient tenues par huit observateurs non armés", a-t-il ajouté.

Six personnes, membres d'une même famille, ont en outre été ensevelies sous les décombres d'une maison de deux étages bombardée, à Haddatha, au sud-est de Tyr.

Quatre personnes, membres de deux familles, ont par ailleurs été tuées et un civil blessé dans un raid mené à Deir Qanoun an-Nahr. Selon des voisins, trois habitants se trouveraient toujours sous les décombres.

Un couple a été retiré d'autre part des décombres de sa maison détruite à Kfar el-Joz, un village surplombant Nabatiyé. Un ressortissant jordanien a été tué dans ce même village. Trois membres de sa famille et quatre autres civils ont été blessés dans les sept raids aériens contre cette localité.

Un couple a en outre été tué dans le pilonnage de Deir Aamiss, au sud de Tyr, et une femme a été tuée dans un raid contre le village voisin de Bazouriyé.

La chasse israélienne a mené une quarantaine de raids sur des localités de l'est de Tyr, où sont également tombés plus de 300 obus lourds, tirés depuis le nord d'Israël, selon la police.

Vingt civils ont par ailleurs été blessés dans les raids aériens menés contre la Békaa. Ces raids ont notamment visé des villages situés sur la route menant de Masnaa à Rachaya.

Une caserne de l'armée libanaise à Aïtanit, qui donne accès à Machghara, bastion du Hezbollah dans cette région, a été touchée. Un pont reliant Machghara à Aïn el-Tiné, cible d'une dizaine de raids, a été détruit.

Un journaliste blessé

Au moins 74 civils, dont un grand nombre d'enfants, sont toujours ensevelis sous les décombres d'habitations bombardées autour de Tyr, selon un responsable des opérations de secours dans cette région.

L'armée israélienne a aussi ordonné aux habitants de villages du caza de Bint Jbeil, comme Aïn Ebel, de les abandonner en prévision d'une nouvelle tentative de réduire la résistance du Hezbollah.

Un journaliste jordanien travaillant pour une chaîne de télévision allemande et son chauffeur libanais ont été légèrement blessés à la frontière, à la hauteur de Yaroun. Le Jordanien Mohammad Nagaoui, cameraman de la chaîne N 24, et son chauffeur libanais, Mohammad Haddad, ont été blessés aux bras lors d'un échange de tirs entre des combattants du Hezbollah et des soldats israéliens.

Ils faisaient partie d'un convoi de la Croix-Rouge libanaise de 150 voitures qui évacuaient des habitants de Rmeich, isolé depuis deux semaines en raison des combats, vers Naqoura où se trouve le quartier général de la Finul.

Pour en revenir aux roquettes tirées vers Israël, la Résistance islamique en a lancé une centaine, utilisant, pour la première fois depuis deux semaines, un engin de plus longue portée contre la ville de Afula, au sud-est de Haïfa et à 50 km de la frontière libanaise.

Le Hezbollah a confirmé avoir tiré une roquette de type "Khaïbar 1" sur Afoula. Ce missile est inconnu des spécialistes sous cette désignation, mais le nom de Khaïbar fait référence à un bastion juif de l'Arabie conquis au VIIe siècle par les musulmans menés par Ali.

De source israélienne, on confirme seulement que des roquettes de plus longue portée ont atterri dans une zone non peuplée à la périphérie de la ville, qui devient ainsi la cible la plus éloignée visée par le Hezbollah.

Une des roquettes portait une charge de 100 kilos d'explosifs, croient savoir les médias israéliens, qui précisent que ses débris vont être analysés.

"Au moins un missile de type inconnu, porteur d'une tête d'environ 100 kgs d'explosifs, a touché la ville de Afoula", à 47 km de la frontière, a affirmé le porte-parole de la police israélienne, Mickey Rosenfeld.

"Les artificiers de la police qui ont analysé le missile ont affirmé qu'il ne s'agissait pas d'un missile iranien de type Zelzal, d'une portée d'une centaine de kilomètres", comme l'avait annoncé auparavant la chaîne de télévision privée 10.

Le porte-parole de la police israélienne n'a pas été en mesure de fournir d'autres détails, se bornant à affirmer que l'engin avait provoqué plus de dégâts que les roquettes Katioucha, tirées depuis le 12 juillet par le Hezbollah à partir du Liban.

Selon le Jane's Defense Weekly, une revue spécialisée dans la défense, le Hezbollah disposerait d'une centaine de missiles Zelzal 1 (tremblement de terre) d'un rayon d'action estimé à 150 km, assez puissant pour atteindre Tel-Aviv.

Six civils israéliens ont été blessés hier par les roquettes tirées par le Hezbollah sur les autres localités, dont Safed, Kiryat Shmona, Nahariya, Rosh Pina et Karmiel. Un hôpital de Nahariya a été touché par une roquette Katioucha, a annoncé l'armée israélienne.


Un drone s'écrase à Barouk

Concernant la bataille de Bint Jbeil, selon la police, les soldats israéliens ont fait mouvement de leurs positions à la sortie sud de la ville chef-lieu de caza vers le village frontalier de Maroun el-Ras qu'ils contrôlent depuis dimanche et ont été attaqués par des combattants du Hezbollah.

La police n'était pas en mesure de déterminer si le mouvement des unités israéliennes correspondait à un recul ou un repositionnement en prévision d'une nouvelle attaque.

La bataille de Bint Jbeil fait rage depuis maintenant quatre jours, mais personne ne sait avec précision comment elle évolue car aucun témoin ne peut s'approcher suffisamment près.

"L'armée israélienne a tué au moins douze activistes du Hezbollah au cours de combats livrés hier à Bint Jbeil, ce qui porte à plus de 200 le total de ceux qui ont péri dans le conflit", a dit une porte-parole militaire israélienne.

"Les forces (israéliennes) sont toujours là-bas en ce moment", a précisé le porte-parole. Un peu plus tôt, on signalait de source militaire israélienne des accrochages sporadiques entre soldats de l'État hébreu et combattants du Hezbollah.

Concernant les pertes israéliennes, selon al-Arabiya, six soldats israéliens ont été blessés lors de ces affrontements à Bint Jbeil.

Par ailleurs, un drone israélien s'est écrasé à Barouk. Sa chute a été suivie d'intenses frappes aériennes de l'armée israélienne dans le secteur. L'aviation de l'État hébreu a pilonné Barouk, où l'avion sans pilote s'est écrasé, ainsi que des zones plus à l'est et au sud, pour que l'appareil ne tombe pas aux mains du Hezbollah.

Selon la porte-parole de l'armée israélienne, un problème technique est à l'origine de la défaillance du drone.
"L'appareil n'a pas été atteint par un tir du Hezbollah, il s'est écrasé apparemment à la suite d'un incident technique", a-t-elle indiqué. Selon elle, le drone a été ensuite "entièrement détruit" par les forces israéliennes.



Témoignages sur l'usage par Israël de munitions controversées (L'orient le Jour 29 juillet 2006)
Des personnels de santé et des militaires libanais affirment avoir constaté des blessures qui leur font suspecter l'emploi par l'armée israélienne d'armes dont l'usage est strictement réglementé dans les zones urbaines et contre des civils, rapportent Jihad Siqlawi et Taher Abou Hamdan, de l'AFP.

"Pourquoi ma mère brûle-t-elle aussi ?" hurle le petit Hussein Mahdi, 9 ans, dont les médecins assurent qu'il souffre de graves brûlures causées par des bombes au phosphore supposées avoir été tirées par l'armée israélienne contre des civils au Liban-Sud.

Personne n'a osé dire à l'enfant que sa mère était morte, car sa douleur est déjà insupportable : il est brûlé à la poitrine, au visage, aux mains, aux jambes et sur le dos et ne cesse de pleurer en se retournant dans son lit tant les escarres le font souffrir.


Un raid aérien israélien a détruit sa maison à Naqoura, tuant sa mère et sa soeur de 11 ans, et il a été transporté par ambulance vers un hôpital de Beyrouth, après un voyage hasardeux sur la route côtière perforée par les obus.

Mohammad Salam, chef de l'équipe de secours de Tyr, a raconté avoir évacué une femme et sa fille "blessées et inconscientes après un raid aérien qui a détruit une maison près du village de Bazouriyé".

"Mais, dans les décombres, j'ai trouvé enveloppé dans une couverture un bébé de neuf mois. Lorsque je l'ai sorti et déshabillé pour le porter dans une ambulance, son corps a soudain noirci au contact de l'air", a ajouté Mohammad Salam, qui s'est déclaré convaincu que le nourrisson avait été blessé par une bombe au phosphore.

Ces témoignages n'ont pu être corroborés par des sources médicales indépendantes. De son côté, interrogée sur l'emploi de bombes à fragmentation et au phosphore, l'armée israélienne s'est bornée à indiquer qu'elle avait « recours uniquement à des armes autorisées par la loi internationale".

Un officier supérieur du génie de l'armée libanaise a fait état de l'utilisation dans la région du Aarqoub, dans le sud-est du Liban, de bombes à sous-munitions, d'obus d'artillerie à sous-munitions perforantes qui peuvent traverser plusieurs étages et d'obus d'artillerie "cargo" qui dispersent des sous-munitions ou des mines.

Un expert occidental en armement basé au Liban a également affirmé à l'AFP qu'"Israël utilise incontestablement des bombes à sous-munitions". "Elles servent normalement à attaquer des véhicules blindés et il est totalement incorrect d'en faire usage contre les civils", a estimé l'expert.

"En outre, nous avons des rapports sur l'utilisation de bombes au phosphore et d'obus d'artillerie à sous-munitions perforantes", a-t-il ajouté. "Ces armes ne sont pas interdites par la convention de Genève, mais leur usage n'est pas autorisé contre des civils et des centres urbains", a-t-il rappelé.

Le 24 juillet, l'organisation de défense des droits de l'homme Human Rights Watch (HRW) avait affirmé qu'Israël utilisait des munitions à fragmentation dans des tirs d'artillerie au Liban et elle avait appelé l'État hébreu à cesser immédiatement l'usage de telles armes.

Selon HRW, « des témoins et des survivants » au Liban ont rapporté qu'Israël avait conduit le 19 juillet une attaque à l'aide de munitions à fragmentation contre le village de Blida dans laquelle une femme de 60 ans avait trouvé la mort et 12 civils avaient été blessés, dont sept enfants.

Le 23 juillet, les enquêteurs de HRW ont photographié ce type de "munition à fragmentation au sein même de l'arsenal militaire d'une division d'artillerie israélienne stationnée à la frontière avec le Liban".

"Les munitions à fragmentation sont des armes intolérablement imprécises et peu fiables à utiliser à proximité de civils », s'est indigné Kenneth Roth, directeur exécutif de Human Rights Watch.
"Elles ne devraient jamais être utilisées dans des zones peuplées", a déploré M. Roth.



La Chine offre une aide humanitaire d'urgence au Liban (Agence Xinhua -RPChine 29 juillet 2006)

Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères Liu Jianchao a indiqué vendredi que la Chine avait décidé d'envoyer une aide humanitaire d'urgence au Liban.

Liu a fait ces remarques en réponse à la déclaration présidentielle publiée vendredi par le Conseil de sécurité des Nations unies sur le raid israélien mené contre un poste d'observation des Nations unies au sud du Liban et qui a tué quatre observateurs de l'ONU.

"Nous demandons à Israël de coopérer avec les Nations unies, d'enquêter et de communiquer les résultats de son enquête le plus tôt possible", a déclaré Liu.

Dans une déclaration émise jeudi, le Conseil de sécurité des Nations unies souligne qu'il attache une grande attention à la sécurité du personnel de l'ONU et rappelle qu'Israël et toutes les autres nations concernées doivent remplir leurs obligations conformément aux lois internationales en matière d'action humanitaire et s'assurer que le personnel de l'ONU ne soit pas pris pour cible.

"La Chine insiste aussi pour qu'Israël et les pays concernés remplissent leurs obligations internationales et prennent des mesures efficaces pour assurer la sécurité des forces de maintien de la paix de l'ONU", a déclaré le porte-parole.

La Chine a rappelé sa position, ferme, sur ce problème et a condamné cette attaque israélienne. La Chine est très preoccupée par la situation au Moyen Orient, a souligné Liu.

Elle a lancé un appel au cesser-le-feu immédiat, à des actions humanitaires et au retour à la table des négociations pour trouver une solution pacifique et restaurer la paix et la sécurité dans la région dès que possible.



Une équipe chinoise se rend au Liban suite au décès d'un observateur chinois de l'ONU (Agence Xinhua-RPChine 29 juillet 2006)

Une équipe chinoise s'est rendue jeudi au Liban pour s'occuper du cas d'un observateur chinois des Nations Unies décédé sur place, selon une source diplomatique.

La victime chinoise Du Zhaoyu a été tuée mercredi dans un bombardement aérien israélien sur un poste des Nations unies au sud du Liban.

L'équipe chinois comprend six personnes du ministère chinois des Affaires étrangères et du Bureau chargé des Affaires pour le Maintien de la Paix relevant du ministère chinois de la Défense nationale.

Elle s'occupera des affaires liées au décès et escortera le corps de Du. Li Lingling, l'épouse de Du, s'est rendue également au Liban avec l'équipe.

Du, lieutenant-colonel de l'Armée populaire de Libération (APL) de Chine avec un diplôme d'aspirant chercheur, était natif de la ville de Jinan, capitale de la province orientale du Shandong. Il a été dépêché en décembre dernier au Liban en tant qu'observateur des Nations unies.

Après le décès de Du, le Bureau chargé des Affaires pour le Maintien de la Paix du ministère chinois de la Défense nationale a fait part de sa position à différentes occasions à la partie israélienne et a démandé à la partie israélienne d'assurer convenablement les conséquences et de protéger le corps de Du.

Le président chinois Hu Jintao a exprimé mercredi ses condoléances profondes suite au décès de Du et a demandé aux départements compétents concernés de régler convenablement les conséquences liées à l'accident et de prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité des Chinois au Liban.

De son côté, Cao Gangchuan, ministre chinois de la Défense nationale, a demandé aux départements concernés d'intensifier les négociations avec les Nations unies, et avec les deux parties en conflit, le Liban et Israël. Il a aussi appelé à faire des efforts pour prévenir des accidents similaires.

Liang Guanglie, chef de l'Etat-major général de l'APL de Chine, a envoyé un message de condoléances à la famille de Du et a formulé des demandes spéciales pour assurer les conséquences liées à ce décès. Cao et Liang ont exprimé leurs condoléances profondes et leur sincère compassion à la famille Du.

En plus de Du, trois autres observateurs de Finlande, d'Autriche et du Canada ont été tués mercredi dans le bombardement aérien.


Le 17ème jour de l'agression israélienne contre le Liban (SANA-Agence de Presse Arabe Syrienne 29 juillet 2006)

L'ennemi israélien a poursuivi ses agressions ouvertes pour le 17ème journée consécutive contre le Liban.

Les avions de guerre israéliens ont exécuté aujourd'hui cinq raids près d'al-Nabatiyé ainsi que six raids sur des localités à Rachaya. L'Agence nationale libanaise d'informations a souligné que des chasseurs israéliens ont tiré sur des civils libanais à Talet al-Bayyada et Ramia et Ayta.

D'autre part, les avions israéliens ont bombardé une église à Safad al-Battikh et deux maisons dans la même localité située à Bint Jbeil.

L'Agence libanaise d'informations a indiqué qu'un avion israélien a bombardé un bus sur la route de Kamed al-Llaouz, le brûlant totalement, et que d'autres avions ont exécuté un raid sur un barrage de l'armée libanaise au Sud-Liban.

L'Agence a souligné qu'une artillerie des navires de combats israéliens a ratissé la localité d'al-Mansouri et de Majdal Zoun, ajoutant que plus de /20/ milles habitants de Tyr et de Bint Jbeil étaient expatriés à Tyr.

Par ailleurs, la résistance nationale libanaise a affirmé avoir attaqué des chars israéliens à Talet Mas'oud et à Maron al-Ras au Sud-Liban, les touchant directement.

La chaîne de télévision libanaise d'al-Manar a souligné que des dizaines de colons israéliens ont été blessés dans le bombardement aujourd'hui de la résistance libanaise contre la colonie de /Ma'alot/ au nord de Palestine occupée.





Soutien aux Palestiniens du Liban

Les Amis de la Fondation Culturelle Ghassan Kanafani (AFCGK) lancent une souscription exceptionnelle pour l'aide aux Palestiniens du Liban.

Dans la situation actuelle, le moindre soutien est le bienvenu. Nous organisons donc une collecte de fonds exceptionnelle. Si vous désirez nous aider rien de plus simple adressez un chèque à :
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Vous pouvez vous reporter à notre site actualisé sur http://fcgk44.free.fr

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Source : Les Amis de la Fondation Culturelle Ghassan Kanafani

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