Fermer

S'inscrire à la mailing list ISM-France

Recevez par email les titres des derniers articles publiés sur ISM-France.

Votre adresse courriel

Fermer

Envoyer cet article

Votre adresse courriel
Envoyer l'article à
Votre message
Je profite de l'occasion pour m'abonner à la newsletter ISM France.
ISM France - Archives 2001-2021

Imprimer cet article Envoyer cet article
Article lu 3799 fois

Palestine -

Du piège financier aux négociations de liquidation de la cause palestinienne

Par

Article paru en anglais le 16 août 2013 sur le Bulletin Kana'an. Adel Samara est membre fondateur du FPLP en 1967, qu’il a quitté après les accords d’Oslo, en désaccord avec ses positions. Il anime la revue Kana’an où l'on peut trouver ses articles en anglais.

Pouvoir résumer en quelques pages l’histoire et l’évolution d’une lutte nationale aussi prolongée et globale que la lutte de la Palestine occupée, cela ne signifie pas que l’on est génial, mais bien que ce conflit est en train de s’achever parce que l’un des protagonistes a accepté sa défaite, sa propre défaite, et en conséquence, a participé aux négociations uniquement pour écouter et donner son accord. Tel est le sens du slogan du renoncement prononcé par le négociateur palestinien : « Les négociations, c’est la vie », abandonnant le slogan historique : « La Résistance, c’est la vie ».

Du piège financier aux négociations de liquidation de la cause palestinienne

Actuellement se déroulent de nouvelles négociations entre les Palestiniens et les Sionistes. Si l’on considère les deux décades de négociations et l’expansion continue des colonies sionistes en Cisjordanie , il faut en déduire que ce ne sont pas de réelles et sérieuses négociations qu’il s’agit. Il s’agit d’un plan, d’un complot entre les USA et l’Etat sioniste (1), plan que le négociateur palestinien doit avaliser tout en feignant de négocier. Ce qui se déroule est effectivement un plan général et un complot du point de vue de sa réalisation.

Dans ces négociations artificielles, l’équipe palestinienne doit accepter (ce qu’elle fait, effectivement) deux conditions principales établies à l'avance par les Etats-Unis et le régime sioniste ashkénaze (RSA) :

1) Aider, protéger, coopérer avec les intérêts US dans la région arabe en faisant de la sionisation et judaïsation de la Palestine la priorité des priorités. L’insistance américaine sur la réalisation de cet objectif est le reflet du besoin pour les USA de conforter leur présence dans la région, alors même que leur rôle est en déclin. Un des enjeux essentiels et le bénéfice attendu sont la garantie de la survie du RSA le plus longtemps possible. Le discours et l’agenda cachés ici sont que les Etats-Unis, l'ennemi principal des Arabes et des Palestiniens, sont en train de réaliser que la région ne restera jamais sous leur contrôle sans la stabilité et la sécurité du RSA.

2) Donner au RSA tout ce dont il a besoin en Palestine, et concéder en parallèle quelques fragments morcelés de leur patrie aux Palestiniens, de manière à justifier la conspiration et la signature de l'accord final par la direction de l'OLP.

En bref, le plan/complot consiste d’un côté à judaïser la Palestine, et de l’autre, à créer une modification artificielle de l’autonomie pour que cela ressemble à un Etat représentant les droits des Palestiniens.

Ce nouvel « Etat » est une nouvelle version de l’autonomie qui reconnaît que la Palestine, la terre du peuple palestinien, est devenue la terre des juifs. Ce nouvel « Etat » est limité à quelques parcelles morcelées de Cisjordanie , sans même quoique ce soit de clair quant au sort de la Bande de Gaza. Cet « Etat » est divisé par les colonies juives, en particulier celles qui ont été construites sur les frontières de 1967 pour effacer la ligne d'armistice de 1948. Ces villes-colonies sont Ariel, Mooda’im, Gilo, Maa’leh Adomim, en plus de toutes les petites colonies qui vont rester elles aussi. Les petites colonies comme les villes auront le 'droit' de se développer, selon ce qu'on appelle la « croissance naturel ».

En accord avec ce fameux plan/complot, une sorte de confédération sera créée entre la Jordanie et l’entité palestinienne semi-colonisée en matière policière, tandis que le RSA aura le monopole de la sécurité. Le Droit au retour des Réfugiés disparaîtra totalement au profit d’un programme de bienfaisance intitulé « regroupement familial », accordant à quelques Palestiniens le droit de revenir dans la minuscule entité palestinienne, mais pas dans leurs maisons en Palestine 1948. Les réfugiés palestiniens seront transférés et implantés dans les pays du Golfe qui financeront la réalisation de cette partie du plan, et financeront également les indemnisations pour les terres et les maisons des réfugiés perdues en Palestine occupée en 1948. Quelle générosité ! Les régimes arabes doivent reconnaître que le RSA est le propriétaire de la Palestine, et normaliser leurs relations avec lui.

Les principaux objectifs de ce rapide règlement est de gagner du temps, le plus rapidement possible, afin de faire obstruction :

- au renforcement du rôle de la Russie dans la région,
- aux nouvelles puissances émergents de résistance (Syrie, Iran, Hezbollah ) en tant que défi majeur contre la Contre-Révolution,
- et enfin, pour mettre fin à cette floraison et résurgence du nationalisme arabe et des transformations en cours.

Malheureusement, toute lecture attentive de ce plan/complot nous amène à conclure qu’il a toute chance de se réaliser sauf si la Syrie vainc l’agression d'un côté, et si la nouvelle Syrie est capable et croit au lancement d'une contre-attaque contre les autres régimes arabes, en particulier ceux qui ont participé à son agression en cours.

Mais, en admettant que ce complot est en train de marquer des points dans le contexte actuel, la question devient alors : comment cela est-il devenu possible ?

Cet article ne prétend pas effectuer une analyse historique courte ou approfondie du conflit, mais mettre brièvement en évidence les deux facteurs principaux qui répondent à ce « comment ».

1) Le piège pour les Palestiniens, et la création de l’Autorité Palestinienne

L'infléchissement vers l'abandon de la patrie palestinienne a commencé dès les débuts de l’OLP, en raison du financement réactionnaire et étranger suspect de sa direction. Dans ce contexte, nous devons différencier les combattants et les dirigeants. Ces derniers ont vite réalisé qu’ils ne parviendraient pas à libérer la Palestine en restant séparés du mouvement de libération et des masses arabes. Ces dirigeants de l’OLP étaient motivés par l'objectif de créer un nouveau régime Qutri ["nationalisme étroit", modèle politique dans lequel les Arabes vivent installés dans les limites de leurs propres petits ou grands Etats, ndlr] qui leur soit propre, en opposition à l’unité et au nationalisme arabes.

Entre ces deux alternatives, la direction a décidé de compromettre les intérêts du pays au profit de ses propres intérêts de classe et de la détention du pouvoir. C’est pourquoi l’OLP a accepté une autonomie en Cisjordanie et dans la bande de Gaza. Ce choix a été soutenu par les dirigeants des pays du Golfe arabe qui continuent de financer cette direction et qui partagent la haine et la crainte de ces dirigeants vis-à-vis du Nationalisme Arabe.

Le premier pas dans cette direction fut la décision des dirigeants de l’OLP de quitter Beyrouth après l’agression du RSA contre le Liban pendant l'été 1982 et leur fuite en Tunisie. Cette défaite auto-infligée a été camouflée derrière le prétexte que la résistance depuis le Liban était impossible.

Je me souviens qu’en 1982 un ami m’avait demandé mon opinion sur cette décision de l’OLP de quitter le Liban. J’avais répondu que c’était une erreur. « Les Palestiniens ne doivent pas quitter le Liban occupé. Ils doivent rester et se mettre aux côtés de la Résistance libanaise, même s’ils doivent subir le sort des dirigeants de la Commune de Paris en 1871 ». Le temps a prouvé que la résistance, et même la victoire, étaient possibles.

Quitter le Liban, ce fut décider de s'écarter de la lutte militaire. L’un des développements ultérieurs en a été le rôle joué par Edward Saïd qui a ouvert de négociations secrètes entre l’OLP et l’administration US lorsqu’il a été nommé par Arafat comme membre du Conseil national palestinien. Said a introduit Yaser Abd Rabbo aux Etats-Unis, une démarche qui a placé l'OLP sous influence des Etats-Unis. Le résultat ce ceci fut les Accords d’Oslo en 1993, et le Protocole de Paris en 1995.

Le régime sioniste ashkénaze (RSA) et les Etats-Unis n'avaient jamais rêvé que des dirigeants palestiniens acceptent ce type d'Accords. Afin de maintenir Oslo, ils ont décidé de financer l'autonomie (l’Autorité Palestinienne) de plusieurs manières : financement direct provenant des dénommés « pays donateurs » et financement direct provenant des ONG vers les organisations de gauche de l’OLP.

Le résultat, c'est la création d’une Autorité qui ne survit qu'en dépendant complètement de financements étrangers, comme « rente politique » accordée à l'OLP et de l'AP pour avoir accepté Oslo comme compromis politico-patriotique.

Une fois tombée dans ce piège, la direction de l’OLP est devenue une partie de la Contre-Révolution. Les sommes énormes du financement de la « rente politique » de l'AP ont attent 25 milliards de dollars jusqu'en 2011. Cette rente a été consacrée à recruter le plus possible d'employés, dans les services de l’AP, particulièrement ceux qui travaillaient dans des branches économiques du régime sioniste, et qui sont fidèles envers l’AP. Grâce à cette politique, ce sont environ 200.000 personnes qui ont été employées par cette Autorité. Eux-mêmes et leurs familles représentaient un million de personnes, c’est-à-dire un tiers de la population de la Cisjordanie et de Gaza. Leur nombre s’accroît encore si nous ajoutons tous ceux qui sont secrètement recrutés dans les appareils de sécurité et plusieurs secteurs privés, en particulier les compradores, une classe qu’affectionnent particulièrement les pays donateurs et la Banque Mondiale.

Cette partie de la population a sa propre hiérarchie sociale/de classe, comme si elle était une société spéciale, une société à l’intérieur de la société. Cela a commencé par les hauts fonctionnaires de la direction bureaucratique capitaliste de l’AP en harmonie avec le secteur privé qui bénéficie de l'essentiel du soutien des donateurs. D’autres classes sociales sont également en articulation avec le capitalisme bureaucratique et comprador, c'est-à-dire les autres employés de la classe moyenne jusqu’aux simples employés. Ces classes privilégiées et, en conséquence, fidèles à l’OLP et à l’AP, que j’ai appelées « le Oslostan », sont prêtes à se battre pour la survie et la continuité de ce régime.

Pour préciser, la plupart des membres du Fath sont absorbés par les services de la structure d'Etat de l’AP. Chaque membre de cette organisation, lorsqu’il/elle est en âge de travailler, se voit proposer un emploi ou plus, alors que l’AP ne fait rien pour le chômage du reste de la population. La seule exception a consisté en l’attribution de petits emplois concédés aux dirigeants d’autres organisations de l’OLP pour acheter leur loyauté.

Ainsi s’est développée la dépendance vis-à-vis de la rente provenant de l’étranger, l'essentiel du budget étant consacré aux salaires et à la sécurité, les responsables adoptant une politique libérale, puis néo-libérale, un marché et une économie de marché ouverte, tout ceci ayant des effets secondaires en profondeur dans l’économie du pays. Les secteurs de production du pays ont été négligés, en particulier parce que les marchés ont été inondés de produits importés. Ce qui a eu pour effet de contraindre nombre de personnes à abandonner leurs terres pour chercher un emploi auprès de l’AP.

Tous ceux qui ont bénéficié de la rente comme d’un revenu invisible se sont mis à consommer davantage, car leurs ressources ne provenaient pas d’un travail personnel direct, comme c'est le cas pour des producteurs indépendants. L’investissement productif est descendu à zéro, et le surplus s’est envolé vers l’étranger, quittant un lieu à risques pour aller vers des taux d’intérêt plus élevés.

Dans le même sens, plusieurs intellectuels et professeurs ont vendu le compromis d’Oslo comme un pas vers la paix. Ils ont soutenu l’appel d’Arafat à arrêter l’Intifada, à arrêter le boycott et à privilégier toute forme de normalisation des relations avec le régime sioniste ashkénaze. Ces intellectuels ont joué le rôle de la 6ème brigade.

L’ironie de l’histoire, c'est que beaucoup de ceux qui ont participé, soutenu et bénéficié des accords d’Oslo ont par la suite commencé à les critiquer comme s’ils y étaient opposés. Mais ils n’ont pas rompu avec les bénéfices qu’ils tiraient de ces accords. Ce comportement opportuniste a eu pour conséquence finale d’encourager la direction de l’OLP à se rendre aux négociations facilement, puisque l’opposition était si « polie » et opportuniste !

Cependant que l’argent des donateurs était transféré au régime, celui des ONG a servi à corrompre de nombreux dirigeants et cadres de gauche qui avaient refusé de soutenir le régime d'Oslo. Certains d’entre eux critiquèrent Oslo de l’intérieur, une attitude qui a donné à Oslo une chance de paraître suffisamment démocratique et souple pour contenir en son sein des gens qui en bénéficiaient tout en le critiquant. La plupart des ONG soi-disant de gauche ont critiqué Oslo et l’argent provenant de l’étranger, mais dépendent de cet argent et travaillent pour l'Oslostan ! L’une d’entre elles est l’ONG allemande Rosa-Luxembourg, à Ramallah.


La meilleure preuve de l’existence de cette conspiration est le fait que les donateurs aient coupé les vivres lorsque le Hamas a gagné la majorité au Conseil palestinien (à tort dénommé législatif) et a pris la direction du gouvernement. Avant les accords d’Oslo, de nombreux Palestiniens travaillaient dans des secteurs de l’économie du régime sioniste. Avec Oslo, la plupart d’entre eux ont été recrutés par l’AP. En conséquence, lorsque les donateurs ont coupé les fonds, ils se sont retrouvés piégés.

L’ironie est que ces mêmes élections ont été décidées, financées et supervisées par les mêmes pays donateurs !

Les pays donateurs n’ont pas respecté le résultat des élections qu’ils avaient sponsorisées mais aussi la direction du Hamas a trahi ses précédents engagements de ne pas participer aux premières élections sous le parapluie d’Oslo, quand le Hamas a participé aux secondes élections.

Une fois le Hamas tombé dans le piège des élections, sa direction a engagé un combat pour le pouvoir avec le Fath. La lutte pour le pouvoir a débouché sur un conflit armé entre les deux organisations qui s’est conclu par le contrôle du Hamas sur la bande de Gaza. Depuis lors, deux gouvernements palestiniens ont été établis. Tous deux se prétendent enthousiastes pour une réconciliation qui n’a jamais eu lieu. Ainsi le Hamas comme le Fatah ont abandonné la lutte armée au profit de la lutte pour le pouvoir.

Le Hamas a besoin de relations soutenues avec l’Iran, la Syrie et le Hezbollah pour les armes dans la Bande de Gaza, mais en même temps il a consolidé ses liens avec les régimes arabes anti-résistance et anti-nationalisme arabes, qui sont des Etats clients de la politique US dans la région, ce qui inclut la reconnaissance du régime sioniste.

La crise syrienne a mis fin à la marge de manœuvre du Hamas. En tant que branche des Frères musulmans, Hamas a soutenu les organisations terroristes en Syrie et sa direction s’est enfuie au Qatar qui a directement contribué à la guerre contre la Syrie.

La fuite de la direction du Hamas au Qatar est comparable à celle d’Arafat en Tunisie en 1982, car les deux démarches marquent la préparation à l’abandon de la lutte armée. En conséquence de quoi le Qatar a soutenu le gouvernement de Gaza afin de gagner sa loyauté et son abandon de la lutte militaire.

2) Le printemps arabe

En bref, ce qui se passe dans le monde arabe depuis ces trois dernières années, c’est le commencement d’affrontements révolutionnaires avec la contre-révolution. La contre-révolution est présente dans le monde arabe, et la bataille engagée est féroce et fatidique. La contre-révolution a ciblé les principales capitales arabes : Bagdad, Le Caire, Damas, et le camp arabe de la résistance. Mais le combat le plus féroce concerne la Syrie. Le régime sioniste est le plus grand bénéficiaire des destructions dans le monde arabe, en particulier tant que les armées les plus importantes du monde arabe sont engagées dans la guerre avec les terroristes qui sont soutenus, financés et entraînés par les Etats-Unis, l’Europe, les pays du Golfe et la Turquie.

Cette situation de chaos a permis que les Etats-Unis imposent un règlement de « paix » aux Palestiniens, à la faveur d’un moment où les trois grandes capitales arabes que sont Bagdad, Damas et Le Caire sont absentes du soutien aux Palestiniens.

Les derniers développements en Egypte, l’effondrement du régime des Frères musulmans, ont incité les Etats-Unis à accélérer les négociations entre le régime sioniste et les Palestiniens. Ce développement pourrait mettre fin à tout projet US d’alliance avec les forces de la Religion Politique dans la plupart de la nation arabe, du Maroc à la Syrie.

Cette situation instable et changeante encourage la contre-révolution menée par les Etats-Unis à finaliser un accord de « paix » sous la forme d'un plan/complot aussi rapidement que possible.

MAIS

Il ne fait aucun doute que ce plan/complot est une victoire contre le projet national arabe en tant que fin de la question palestinienne dans l'intérêt du régime sioniste ashkénaze. Mais l’Histoire nous a donné deux grandes leçons :
 en premier lieu, en cas de victoire syrienne, tous ces arrangements peuvent s’écrouler.
 ensuite, au long terme, il n’y a aucune chance que le régime sioniste perdure dans la région.

Les USA et les sionistes tentent de prolonger la vie du régime sioniste le plus longtemps possible.

Il est bien connu que les Palestiniens de Cisjordanie et de Gaza sont incapables d’affronter et de vaincre le projet des ennemis, mais au moins, notre devoir est de le refuser et de résister, ce qui constitue un pas sur le long chemin de la libération de notre patrie.


Photo


Traduction MR pour ISM réalisée à partir de celle mise en ligne sur Voie Prolétarienne le 16 août 2013, intitulée : "Les Palestiniens dans le piège : du piège financier aux négociations du renoncement".
- Lire également sur Voie Prolétarienne : "Rencontre avec Adel Samara, marxiste palestinien", Partisan n° 235, février 2010.
et
- "Entretien avec Adel Samara", par Julien Salingue & Amélie Boiteux, Le Philistin, 9 juillet 2010.


Source : Kana'an Online

Faire un don

Afin d'assurer sa mission d'information, ISM-France fait appel à votre soutien.

Oui ! Je soutiens ISM-France.


Contacter ISM France

contact@ism-france.org

Suivre ISM France

S'abonner à ISMFRANCE sur Twitter RSS

Avertissement

L'ISM a pour vocation la diffusion d'informations relatives aux événements du Proche Orient. Les auteurs du site travaillent à la plus grande objectivité et au respect des opinions de chacun, soucieux de corriger les erreurs qui leur seraient signalées.

Les opinions exprimées dans les articles n'engagent que la responsabilité de leur auteur et/ou de leur traducteur. En aucun cas l'ISM ne saurait être tenu responsable des propos tenus dans les analyses, témoignages et messages postés par des tierces personnes.

D'autre part, beaucoup d'informations émanant de sources externes, ou faisant lien vers des sites dont il n'a pas la gestion, l'ISM n'assume aucunement la responsabilité quant à l'information contenue dans ces sites.

A lire également...
Même lieu

Palestine

Même sujet

Initiatives de Paix

Même auteur

Adel Samara

Même date

4 octobre 2013