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Israël - 15 août 2006
Par ISM-France
Afin de mieux comprendre pourquoi Israel s'est lancé aussi rapidement et violemment dans une guerre contre le Liban, un rappel des principales déclarations des dirigeants Sionistes depuis avant même la création de l'Etat d'Israel peut éclairer.
En 1948, Ben Gourion disait : "Un Etat Chrétien devrait être établi (au Liban), avec sa frontière Sud sur le fleuve Litani. Nous ferons une alliance avec lui. Quand nous écraserons les forces de Légion Arabe et que nous bombarderons Amman, nous éliminerons aussi la Transjordanie, et puis la Syrie tombera."
"Le gouvernement de Sa Majesté envisage favorablement l'établissement en Palestine d'un Foyer national pour le peuple Juif, et emploiera tous ses efforts pour faciliter la réalisation de cet objectif, étant clairement entendu que rien ne sera fait qui puisse porter atteinte ni aux droits civils et religieux des collectivités non Juives existant en Palestine, ni aux droits et au statut politique dont les Juifs jouissent dans tout autre pays."
Déclaration de Balfour au Baron Rothchild, le 2 novembre 1917
"Les anciens dirigeants de notre mouvement nous ont laissé un message clair : donner à Eretz Israël la terre qui va de la mer au Jourdain, et ce pour les générations futures, pour une "Aliya" (immigration) massive et pour les Juifs, tous ceux qui seront rassemblés dans ce pays"
Déclaration de l'ancien Premier Ministre Yitzhak Shamir, lors d'un service mémorial des anciens partisans du Likoud à Tel Aviv, en novembre 90. Jerusalem
"Nous devons expulser les Arabes et prendre leur place... et si nous devons employer la force -- pas pour déposséder les Arabes du Néguev et de Transjordanie, mais pour garantir notre droit de coloniser ces lieux -- nous avons des forces à notre disposition"
David Ben Gurion, futur Premier Ministre d'Israël, 1937, Ben Gourion et les Arabes de Palestine, Oxford University Press, 1985.
"Chassez la population pauvre au-delà de la frontière en lui refusant du travail. Le processus d'expropriation et de déplacement des pauvres doit être mené discrètement et avec circonspection."
Théodore Herzl, fondateur de l'Organisation Sioniste Mondiale, parlant des Arabes de Palestine, "Complete Diaries", note du 12 juin 1895.
"Les réfugiés trouveront leur place dans la diaspora.
Grâce à la sélection naturelle, certains résisteront, d'autres non (...).
La majorité deviendra un rebut du genre humain et se fondra dans les couches les plus pauvres du monde arabe."
Moshe Sharett, président israélien "modéré". (Archives ministère des Affaires Etrangères, dossiers des réfugiés, n° 2444/19)
"Nous sommes sortis, accompagnés par Ben Gourion.
Allon a répété sa question : "Que devons-nous faire avec la population palestinienne?"
Ben Gourion a levé sa main dans un geste qui voulait dire : Chassez-les"
Yitzhak Rabin, version censurée des mémoires de Rabin, publiée dans le New York Times, 23 octobre 1979.
"Nous devons utiliser la terreur, les assassinats, l'intimidation, la confiscation des terres et l'arrêt de tous les services sociaux afin de débarrasser la Galilée de sa population Arabe ."
Ben Gourion, s'adressant à l'Etat Major en mai 1948 . Ben-Gurion, A Biography, de Michael Ben-Zohar, Delacorte, New York 1978
Description de Rabin au sujet de la conquête de Lydda après l'achèvement du plan Dalet.
"Nous réduirons la population Arabe à une communauté de coupeurs de bois et de serveurs."
Uri Lubrani, conseiller spécial de Ben-Gourion aux Affaires Arabes, 1960. Tiré de "The Arabs in Israël" de Sabri Jiryas.
"La colonisation sioniste doit être exécutée contre la volonté de la population autochtone.
C'est pourquoi cette colonisation doit continuer seulement sous la protection d'une puissance indépendante de la population locale, tel un Mur de Fer capable de résister à la pression de la population locale. Ceci est notre politique à l'égard des Arabes..."
Vladimir Jabotinsky, Le Mur de Fer, 1923.
"Une réconciliation volontaire avec les Arabes est hors de question, que ce soit maintenant ou dans le futur.
Si vous souhaitez coloniser un pays dans lequel une population vit déjà, vous devez fournir une armée pour le pays ou trouver quelque riche personne ou bienfaiteur qui vous en fournirait.
Sinon, abandonnez la colonisation, parce que sans une force armée, qui rendrait physiquement impossible toute tentative de détruire ou d'empêcher cette colonisation, la colonisation sera impossible, pas difficile, pas dangereuse, mais IMPOSSIBLE.
Le Sionisme est une aventure coloniale et c'est pour cela qu'elle est dépendante d'une force armée. Il est important... de parler Hébreu, mais, malheureusesement, il est encore plus important d'être capable de tirer - ou bien je termine le jeu de la colonisation."
Vladimir Jabotinsky, Fondateur du Sionisme Révisionniste (précurseur du Likoud), The Iron Wall, 1923
"Il y en a qui croient que la population non-Juive, même dans un pourcentage élevé, à l'intérieur de nos frontières sera plus efficacement sous notre surveillance ; et il y en a qui croient le contraire, c.-à-d., qu'il est plus facile de surveiller les actions d'un voisin que celles d'un locataire.
J'ai tendance à soutenir la dernière opinion et j'ai un argument complémentaire : … la nécessité de soutenir le caractère de l'Etat qui sera dorénavant Juif… avec une minorité non-Juive limitée à 15%.
J'étais déjà arrivé à cette position fondamentale dès 1940 (et) c'est écrit dans mon journal."
Joseph Weitz, chef du Département de la colonisation de l'Agence Juive. Tiré de Israël : an Apartheid State - Uri Davis, p.5.
"Des villages Juifs ont été construits à la place des villages Arabes. Vous ne connaissez même pas le nom de ces villages et je ne vous le reproche pas, car les livres de géographie n 'existent plus.
Et non seulement les livres, mais les villages n 'existent plus.
Nahahal a remplacé Mahahul, le Kibbutz Gevat a remplacé Jibta, le Kibbutz Sarid a remplacé le Kibbutz de Hanifas et Kafr Yehoushua le Kibbutz de Tel Shamam.
Il n'y a pas un seul endroit contruit dans ce pays qui n'a pas une ancienne population Arabe."
Moshe Dayan, Discours à Technion, Haifa, repris dans Haaretz, 4 Avril 1969.
En 1899, Davis Triestsch écrivait à Herzl : "Je vous suggère d'en arriver au programme de la "Grande Palestine" avant qu'il ne soit trop tard.
Le "Programme de Bâle" doit contenir le mot "Grande Palestine" ou "Palestine et ses pays voisins" autrement cela n'a pas de sens.
Vous ne pouvez pas faire venir 10 millions de Juifs dans un pays de 25'000 km2".
"La carte actuelle de la Palestine a été dessinée sous le Mandat britannique.
Le peuple Juif possède une autre carte que les jeunes et les adultes doivent s'efforcer de mener à bien : celle du Nil à l'Euphrate."
Ben Gurion
"La population doit se préparer à la guerre, mais il revient à l'armée israélienne de poursuivre le combat avec l'objectif ultime qui est la création de l'Empire Israélien."
Moshe Dayan (Ministre israélien de la Défense et des Affaires Etrangères), le 12 février 1952. Radio "Israël."
"La seule solution est Eretz Israël (Grand Israël) ou au moins Eretz Israël Ouest (toutes les terres à l'ouest du Jourdain), sans les Arabes.
Il n'y a pas de place pour un compromis sur ce point.
Nous ne devons pas laisser un seul village, une seule tribu."
Joseph Weitz, Directeur du Fond National Juif, l'agence Sioniste chargée d'acquérir les terres de Palestine, Circa 194. Machover Israca, 5 janvier 1973 p. 2.
"Entre nous soit dit, il doit être clair qu'il n'y a pas de place pour deux peuples dans ce pays. Nous n'atteindrons pas notre but si les Arabes sont dans ce petit pays.
Il n'y a pas d'autre possibilité que de transférer les Arabes d'ici vers les pays voisins - tous.
Pas un seul village, pas une seule tribu ne doit rester."
Joseph Weitz, chef du Département Colonisation de l'Agence Juive en 1940. Tiré de "A Solution to the Refugee Problem"
"Nous devons tout faire pour nous assurer qu'ils (les Palestiniens) ne reviendront pas."
En rassurant ses copains Sionistes que les Palestiniens ne reviendraient jamais dans leurs maisons, il disait : "Les vieux mourront et les jeunes oublieront."
David Ben-Gourion, dans son journal, 18 Juillet 1948, cité dans le livre de Michael Bar Zohar : "Ben-Gourion : le Prophète Armé", Prentice-Hall, 1967, p. 157.
L'un des slogans les plus persistants et trompeurs du Sionisme a été inventé par Israël Zangwill, il y a près de 100 ans :
La Palestine était "une terre sans peuple avec un peuple sans terre."
Après avoir visité la Palestine en 1891, l'essayiste Hébreu Achad Ha-Am a commenté :
"A l'étranger, nous sommes habitués à croire qu'Israël est presque vide; que rien n'y pousse et celui qui veut acheter de la terre peut aller là-bas et acheter les terres qu'il désire. En réalité, la situation n'est pas ainsi. Dans tout le pays, il est difficile de trouver une terre cultivable qui ne soit pas déjà cultivée."
"Comment pourrions-nous rendre les territoires occupés ? Il n'y a personne à qui les rendre."
Golda Meir, 8 Mars 1969.
"Il n'y a jamais rien eu de tel puisque les Palestiniens n'ont jamais existé."
Golda Meir, Premier Ministre Israélien, 15 juin 1969
"...si les gens s'habituent à cette donnée et que nous soyons réellement obligés d'accepter le retour des réfugiés, il pourrait être difficile pour nous, quand nous serons confrontés à des hordes de plaignants, de convaincre le monde qu'ils ne vivaient pas tous sur le territoire israélien.
Quoi qu'il arrive, il serait souhaitable de réduire au minimum leur nombre… sinon."
Arthur Lourie, responsable israélien, dans une lettre à Walter Eytan, directeur général du Ministère des Affaires Etrangères israélien (ISA FM 2564/22). D'après Benny Morris, "La Naissance du Problème des Réfugiés Palestiniens 1947-49", p. 297.
"C'est le devoir des leaders israéliens d'expliquer à l'opinion publique, clairement et courageusement, un certain nombre de faits qui ont été oubliés avec le temps.
Le premier de ces faits est qu'il n'y a pas de Sionisme, de colonisation ou d'Etat Juif sans l'éviction des Arabes et l'expropriation de leurs terres."
Yoram Bar Porath, Yediot Ahronot, 14 Juillet 1972.
"Nous devons nous préparer à l'offensive. Notre but est d'écraser le Liban, la Transjordanie et la Syrie.
Le point faible est le Liban, parce que le régime Musulman est artificiel et facile pour nous à destabiliser.
Nous devons y établir un Etat Chrétien, puis nous écraserons la Légion Arabe, nous éliminerons la Transjordanie et la Syrie tombera. Ensuite nous bombarderons et prendrons Port Saïd, Alexandrie et le Sinaï."
David Ben-Gurion, Mai 1948, à l'Etat major général. Tiré de "Ben-Gurion, A Biography", par Michael Ben-Zohar, Delacorte, New York, 1978.
"Un Etat Chrétien devrait être établi (au Liban), avec sa frontière Sud sur le fleuve Litani. Nous ferons une alliance avec lui. Quand nous écraserons les forces de Légion Arabe et que nous bombarderons Amman, nous éliminerons aussi la Transjordanie, et puis la Syrie tombera.
Si l'Egypte ose toujours continuer à se battre, nous bombarderons Port Said, Alexandrie et Le Caire…
Et de cette façon, nous mettrons fin à la guerre et nous règlerons les comptes de nos ancêtres avec l'Egypte, l'Assyrie et Aram."
David Ben-Gurion, un des pères fondateurs d'Israël, a décrit les objectifs Sionistes en 1948
"Israël aurait dû exploiter la répression des manifestations en Chine, lorsque l'attention du monde s'est focalisée sur ce pays, pour mettre à exécution des expulsions massives parmi les Arabes des Territoires."
Benyamin Netanyahu, alors Député israélien au Ministère des Affaires étrangères, ancien Premier ministre d'Israël, s'exprimant devant des étudiants à l'Université de Bar Ilan, Tiré du journal Israélien "Hotam", 24 novembre 1989
"Chacun doit bouger, courir et s'emparer d'autant de collines qu'il est possible pour agrandir les colonies, parce que tout ce que l'on prendra maintenant restera à nous… Tout ce que nous ne prendrons pas leur restera."
Ariel Sharon, Ministre israélien des Affaires étrangères, s'exprimant lors d'un meeting des militants du parti d'extrême-droite Tsomet, Agence France Presse, 15 novembre 1998.
"A-t-on vu un seul peuple abandonner son territoire de sa propre volonté ?
De la même façon, les Arabes de Palestine n'abandonneront pas leur souveraineté sans l'usage de la violence."
Vladimir Jabotinsky (fondateur et partisan des organizations terrorists Sionistes), cité par Maxime Rodinson dans "Peuple Juif ou Problème Juif" (Jewish People or Jewish Problem).
"Si j'étais un leader Arabe, je ne signerais jamais un accord avec Israël. C'est normal, nous avons pris leur pays.
C'est vrai que Dieu nous l'a promis, mais en quoi cela les concerne ? Notre dieu n'est pas le leur.
Il y a eu l'antisémitisme, les Nazis, Hitler, Auschwitz, mais était-ce de leur faute ?
Ils ne voient qu'une seule chose : nous sommes venus et avons volé leur pays.
Pourquoi devraient-ils l'accepter ?"
David Ben Gourion, le premier "Premier ministre israélien", cité par Nahum Goldmann dans Le Paradoxe Juif, p. 121.
"On peut mentir, dans l'intérêt de la Terre d'Israël"
Avishai Margalit, "The Violent Life of Yitzhak Shamir", The New York Review of Books, 5/14/92
"Lorsque nous aurons colonisé le pays, il ne restera plus aux Arabes que de tourner en rond comme des cafards drogués dans une bouteille."
Raphael Eitan, Chef d'Etat-Marjor des Forces de la Défense Israélienne, New York Times, 14 Avril 1983.
"Si nous avions pensé qu'au lieu de 200 morts palestiniens, 2.000 morts auraient mis fin au combat, nous aurions utilisé beaucoup plus de force…."
Premier Ministre Israélien, Ehud Barak, cité par Associated Press, 16 Novembre 2000.
"La thèse du danger d'un génocide qui nous menaçait en juin 67 et qu'Israël se battait pour son existence physique était seulement du bluff, créé et développé après la guerre."
Général israélien Matityahu Peled, Ha'aretz, 19 Mars 1972
"Nous déclarons ouvertement que les Arabes n'ont aucun droit de s'établir sur ne serait-ce un seul centimètre du Grand Israël… La force est l'unique chose qu'ils comprennent. Nous devons utiliser la force absolue jusqu'à ce que les Palestiniens viennent ramper devant nous."
Rafael Eitan, Chef d'Etat-Major des Forces de la Défense Israélienne - Gad Becker, Yediot Ahronot 13 Avril 1983, New York Times 14 Avril 1983.
"Il y a une énorme différence entre nous (Juifs) et nos ennemis. Pas seulement dans la capacité, mais dans la morale, la culture, le caractère sacré de la vie et la conscience.
Ils sont nos voisins ici, mais c'est comme si, à une distance de quelques centaines de mètres, il y avait un peuple qui n'appartenait pas à notre continent, à notre monde, mais qui appartenait véritablement à une autre galaxie
Président israélien, Moshe Katsav. Jerusalem Post, 10 Mai 2001
"Les Palestiniens sont comme les crocodiles, plus vous leur donnez de viande, plus ils en veulent"
Ehud Barak, alors Premier Ministre israélien, 28 août 2000. Repris dans le Jerusalem Post le 30 août 2000
"(Les Palestiniens) sont des bêtes qui marchent sur deux jambes."
Menahem Begin, discours à la Knesset, cité dans Amnon Kapeliouk, "Begin and the Beasts". New Statesman, 25 juin 1982.
"Puisse le Nom Divin répandre le châtiment sur les têtes arabes, et faire égarer leur semence et les annihiler.
Il est interdit d'avoir pitié d'eux.
Nous devons leur lancer des missiles avec joie et les annihiler. Ils sont malfaisants et damnés."
Ovadia Yosef, grand rabbin sépharade, à l'occasion de la commémoration de le destruction du premier temple en 2001, cité par Ha'aretz, 12 Avril 2001
"Si l'Assemblée Générale devait voter par 121 voix contre une le retour aux frontières de l'armistice (frontières d'avant juin 1967), "Israël refuserait de se plier à cette décision."
Aba Eban, Ministre israélien des Affaires Etrangères. Tiré du New York Times, 19 juin 1967.
"Israël peut avoir le droit de mettre d'autres en jugement, mais certainement personne n'a le droit de mettre le peuple juif et l'Etat d'Israël en jugement"
Le Premier Ministre israélien, Ariel Sharon, 24 mars 2001, cité par BBC News Online.
"Parmi les phénomènes politiques les plus inquiétants de notre temps, il y a l'émergence, dans l'état nouvellement créé d'Israël, d'un Parti de la Liberté (Herut), un parti politique très proche, dans son organisation, sa méthode, sa philosophie politique et son appel social, des nazis et partis fascistes."
(Begin et Yitzhak Shamir qui étaient membres de ce parti sont devenus Premiers Ministres). Albert Einstein, Hanna Arendt et d'autres Juifs Américains célèbres, ont écrit dans le New York Times, pour protester contre la visite en Amérique de Begin, en décembre 1948.
"Nous devrons affronter la réalité qu'Israël n'est ni innocent, ni rédempteur. Et que lors de sa création et de son expansion; nous les Juifs, avons créé ce dont nous avons souffert historiquement; une population de réfugiés dans une Diaspora."
Martin Buber, Philosophe Juif, s'adressant au Premier Ministre Ben Gurion sur le caractère moral de l'Etat d'Israël en faisant référence aux réfugiés Arabes en Mars 1949
"Quand nous (disciples du Judaïsme prophétique) sommes retournés en Palestine… la majorité des Juifs ont préféré apprendre d'Hitler plutôt que de nous."
Martin Buber, à un public de New York, Jewish Newsletter, 2 Juin 1958.
"Le pouvoir légal d'Hitler était basé sur le "Décret de Loi", qui était voté tout à fait légalement par le Reichstag et qui permettait au Fuhrer et à ses représentants, en langage simple, de faire ce qu'ils voulaient, ou en langage juridique, de publier des arrêtés ayant pouvoir de Loi.
Exactement le même type de loi votée par la Knesset (le Parlement Israélien) juste après la conquête de 1967, accordant au gouverneur israélien et à ses représentants le pouvoir d'Hitler, qu'ils utilisent d'une façon Hitlérienne."
Dr. Israël Shahak, Président de la Ligue israélienne pour les Droits de l'Homme et civiques, et survivant du camp de concentration de Bergen Belsen, commentant les règles d'urgence de l'armée israélienne suite à la Guerre de 1967. Palestine, vol. 12, Decembre 1983.
"Si nous devions admettre des réclamations suite aux conquêtes de milliers d'années, le monde entier serait sens dessus dessous."
Lord Sydenham, Hansard, Chambre des Lords, 21 Juin 1922.
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15 août 2006