USA - 10 mars 2009

Les attentats du 11 septembre 2001 à New York : la Mossad Connexion

Par Press TV

De nouvelles informations impliquent le Mossad, agence du renseignement israélien, dans la mise en scène des attentats terroristes du 11 septembre 2001.
Les attentats de la matinée du 11 septembre 2001 à New York ont causé la mort d’au minimum 2 970 personnes, quasiment toutes des civils.

D’après un article publié récemment par l’hebdomadaire American Free Press, la révélation du fait que le cousin du prétendu détourneur d’avion du 11 septembre, Ziad al-Jarrah, travaillait en réalité depuis longtemps comme agent du Mossad apporte la preuve qu’Israël était effectivement impliqué dans les attentats terroristes perpétrés en territoire américain.

Le New York Times a écrit, récemment, que le citoyen libanais Ali al-Jarrah, que l’on supposait être un partisan sincère des Palestiniens, travaillait en réalité en qualité d’espion de haut niveau pour Israël, depuis deux décennies.

Al-Jarrah aurait reconnu avoir eu des activités d’espionnage visant des formations palestiniennes, ainsi que le Hezbollah (libanais), ce, depuis 1983.

«Cela n’était pas la première rencontre de cette famille avec la notoriété : un cousin de M. Jarrah, Ziad al-Jarrah figurait, en effet, au nombre des dix-neuf pirates de l’air qui ont perpétré les attentats terroristes du 11 septembre 2001», écrit The New York Times.

Ses connexions avec un des principaux cerveaux des attentats terroristes ont alimenté des spéculations au sujet du recrutement par Israël d’agents se proclamant musulmans, afin de les utiliser pour des opérations clandestines.

D’après le New York Times, la filière des connexions israéliennes avec les attentats du 11 septembre peuvent être remontées jusqu’aux (célèbres) «cinq Israéliens dansants», surpris en train de sauter de joie en poussant des cris «de joie et de moquerie» au spectacle des avions du vol 11, puis du vol 175, en train de s’incruster dans les tours du World Trade Center de New York.

Ces cinq Israéliens auraient été placés sous bonne garde durant soixante-et-onze jours, avant d’être tranquillement libérés, après qu’il se fut avéré qu’il s’agissait d’agents du Mossad.

Citant deux anciens agents de la CIA, l’hebdomadaire The Forward a par la suite rapporté qu’au moins des deux Israéliens arrêtés avaient été convaincu d’appartenance à une équipe de surveillance pour le compte du Mossad.

«C’était incontestable, mais il y a eu ça [cet ordre de fermeture du dossier], qui est venu directement de la Maison-Blanche. On a immédiatement supposé, au QG de la CIA, que l’on allait assister à une opération de diversion afin qu’à aucun prix des Israéliens ne soient impliqués dans les attentats du « 11/9 », a écrit le magazine.

Ce sont au minimum 2 790 personnes qui ont perdu la vie, en cette matinée du 11 septembre 2001, pratiquement exclusivement des civils.

Un ex-Premier ministre italien, Francesco Cossiga, a évoqué ce problème, suggérant que les événements du 11 septembre n’étaient rien d’autre qu’une opération intérieure mise au point conjointement par la CIA et le Mossad.

«Tous les services de renseignement d’Amérique et d’Europe… savent très bien, aujourd’hui, que cette attaque désastreuse a été planifiée par la CIA et le Mossad afin de pouvoir mettre les pays arabes en position d’accusés et d’inciter les gouvernements occidentaux à prendre part… (à la guerre américaine) en Irak et en Afghanistan», a ainsi déclaré l’ex-Premier ministre italien au quotidien Il Corriere della Sera.

Son argumentation a été encore confortée par des fuites selon lesquelles des employés de la firme israélienne de télécommunication Odigo – qui fournit des services de messagerie instantanée – ont reçu un avertissement, deux heures avant les attentats contre les Tours du Word Trade Center, recommandant à l’avance aux juifs de rester éloignés de leur lieu de travail, ce jour-là.

Le siège social d’Odigo est situé à deux blocs d’immeubles de l’ancien emplacement des gratte-ciels du Word Trade Center.

SBB/AA

Source : http://www.presstv.ir/

Traduction : Marcel Charbonnier