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ISM France - Archives 2001-2021

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Liban -

Navire espion français au large du Liban

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La France a placé un navire espion français aux larges des côtes libanaises en vue de capter les communications militaires et politiques de la zone, rapporte l'hebdomadaire satirique "Le Canard EnchaÎné" dans sa dernière livraison datée de mercredi 30 Août 2006

Le bâtiment -le "Dupuy-de-Löme" a été doté d'équipements éléctroniques fournis par la firme française et travaille pour le compte des services français, la DGSE (le contre espionnage) et la DRM (Direction du renseignement militaire", ajoute l'hebdomadaire.

Successeur du "Bougainville, précédemment affecté à cette tâche, abrite "à son bord, des spécialistes de l'espionnage et des communications militaires, politiques et autres", ajoute la publication.

La présence de ce batiment "agace" les dirigeants Israéliens, poursuit le journal, assurant que le decryptage des communications va permettre au président Chirac" de savoir tout ce que disent les Israéliens, les Libanais, les chefs du Hezbollah, les Syriens".

"Le Canard Enchaîné" se pose toutefois la question de savoir si les appréciations désobligeantes à l'égard de M. Chirac seront portés à la connaissance du chef de l'état français.

"Chirac va donc savoir tout ce que disent les Israéliens, les Libanais, les Chefs du Hezbollah, les Syriens, etc, Même le mal qu'ils pensent de lui", se demande le journal par allusion aux réticences suscitées par le comportement du président français dans sa gestion du dossier libanais et sa proximité avec M. Saad Hariri, le fils de l'ancien premier ministre Rafic Hariri, ami du président Chirac, assassiné le 14 février 2005.


Chef de la coalition parlementaire majoritaire, Saad Hariri a été absent de la capitale libanaise dont il est le député tout au long des hostilités.

Il est revenu à Beyrouth à bord d'un hélicoptère militaire français après l'arrêt des combats, suscitant la colère d'un groupe d'intellectuels libanais, au point qu'un journal "Al-Akhbar"a assuré que "La France constituait une partie du problème et non de sa solution".




Source : http://renenaba.blog.fr

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