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Liban - 24 juillet 2006
Par AFCGK
Situation des victimes le 24 juillet 2006 à 11h00: 370 civils libanais tués.
La crise humanitaire s'aggrave au Liban et à la frontière Syrienne.
Les déplacés affluent à Beyrouth, où la solidarité est mise à l'épreuve.
La colline stratégique de Maroun al-Rass aux mains des forces israéliennes.
La Syrie menace d'entrer dans le conflit si Israël envahit le Liban et se rapproche de ses frontières…
Voilà ce que font les barbares israéliens au Liban
La crise humanitaire s'aggrave au Liban et à la frontière Syrienne - Fuir sous les bombes (El Watan 24 juillet 2006)
Nous avons quitté notre maison depuis dix jours. Je ne sais pas si elle est encore debout. Je n'ai pas de nouvelles du reste de ma famille restée au sud du Liban", lâche Ahmed, Palestinien, 39 ans.
Avec sa femme enceinte, sa mère et ses cinq enfants, il a fui le Sud-Liban pour la banlieue sud de Beyrouth avant de se retrouver dans la bande frontalière après trois heures de trajet à haut risque.
"On ne veut pas entrer en Syrie, car on espère revenir dans notre pays et rejoindre les nôtres. D'ailleurs, on préfère revenir mourir dans notre pays", poursuit Ahmed.
"Plusieurs dizaines de Palestiniens qui ont fui le Liban, entre 600 et 800 réfugiés, sont coincés à la bande frontalière. Il semble que leur statut pose des problèmes administratifs. Mais globalement, les Syriens ont fait montre d'une grande souplesse", explique une source humanitaire à Damas.
"Ne pas aller à Damas, ne pas retourner au Liban, quel calvaire !", commente Haoua, volontaire du Croissant-Rouge palestinien de l'hôpital de Yarmouk, le camp de réfugiés non loin de Damas. Hana, Rami et les autres volontaires apportent l'assistances médicale à Jdida Yabous, tandis que le Croissant-Rouge arabe syrien s'occupe de l'aide alimentaire.
Des Enfants souffrant d'aveuglement ou devenus sourds, dysenterie, diabète, hypertension artérielle en plus des conditions de vie ici : dormir dehors, pas assez de sanitaires, etc.
"La situation est difficile", soupire Fouad Badr, médecin au Croissant-Rouge palestinien qui poursuit : "Mais les gens ont une volonté de fer et nous répètent qu'ils préfèrent mourir au Liban-Sud que de rester des réfugiés."
"Des Palestiniens ayant fui l'Irak durant les dernières violences se sont retrouvés coincés dans certains postes frontières. Ici au moins, les Syriens nous aident", raconte Rami. "Mais sur les frontières irakiennes, ces réfugiés représentent exactement les réfugiés de 1948", poursuit -il.
A Jdida Yabous, à une demi-heure de route de Damas, les réfugiés, palestiniens ou libanais, ne cessent d'affluer. "Que Dieu détruise Israël et qu'il rende victorieux Nasrallah !", crie en pleurs une jeune femme à bord d'un minibus.
Selon le Croissant-Rouge arabe syrien (CRAS), le seuil de 10 000 réfugiés venus du Liban est largement dépassé et on s'attend à recevoir une nouvelle vague de 4000 réfugiées dans les jours qui viennent.
"Si la situation perdure, il est probable d'installer des camps", nous dit-on au siège damasien du CRAS.
Les dons algériens, pilotés par l'ambassade d'Algérie et une mission du ministère de la Solidarité, du Croissant-Rouge algérien et de l'Union des médecins algériens, ont été bloqués aux abords du poste frontalier de Chtaura, régulièrement bombardé par les Israéliens.
Les déplacés affluent à Beyrouth, où la solidarité est mise à l'épreuve (L'orient le Jour 24 juillet 2006)
Au douzième jour de l'offensive israélienne, la capitale libanaise, relativement épargnée, se transforme en sanctuaire pour les déplacés fuyant les violences du Sud, mais la solidarité des habitants de Beyrouth est mise à rude épreuve.
Dans les premiers jours de la crise actuelle, les déplacés de la banlieue sud et du Liban-Sud se sont installés dans des écoles publiques, qui ont accueilli environ 60 000 personnes, théoriquement prises en charge par le Haut Comité de secours.
Mais avec la hantise croissante de voir l'État hébreu se lancer dans une nouvelle aventure pour en finir, comme il l'a promis, avec le Hezbollah, le flot des déplacés s'est intensifié. Entassés dans des voitures aux toits recouverts de draps blancs, pour se protéger contre les raids israéliens, et dans des autobus, ils ont continué d'affluer par dizaines de milliers.
"Nous avons tenu jusqu'à aujourd'hui, mais une bombe israélienne a éclaté à 200 mètres de notre maison, soufflant toutes les vitres. Nous avons décidé de partir avec tous les habitants du quartier", raconte à l'AFP Hussein, père de famille, originaire de Nabatiyé.
Selon un responsable d'un organisme de secours, Nizar Rammal, "le nombre de réfugiés augmente de jour en jour, à Beyrouth même, et les écoles publiques sont déjà saturées". Les plus nantis se sont installés dans des appartements meublés des quartiers résidentiels de Beyrouth ainsi que dans des hôtels, mais d'autres ne sont pas aussi bien lotis.
Environ 300 personnes campent ainsi à la belle étoile dans le jardin public des Arts et métiers, à Sanayeh, à 200 mètres du principal centre de la Croix-Rouge libanaise. Et d'autres lorgnent, sans complexe, les appartements de luxe.
Dans les quartiers cossus proches du centre-ville, le périmètre de Solidere, où des appartements sont proposés à 2 millions de dollars, des groupes de réfugiés errent à la recherche d'un toit pour la nuit.
Samedi soir, des dizaines de déplacés, en quête de logements vides, ont été refoulés par des policiers et des soldats. Issam, le propriétaire d'un immeuble de luxe, a recouru aux services d'une société de protection privée pour refouler une dizaine de réfugiés qui entendaient squatter un de ses appartements.
"J'ai téléphoné à un officier de la gendarmerie qui a envoyé une patrouille dissuader ces éventuels squatters. Mais il m'a dit qu'il ne pouvait pas assurer une protection permanente et m'a mis en contact avec une société privée", ajoute-t-il.
Mais le problème de l'hébergement n'est pas le seul qui se pose dans le contexte présent : le représentant au Liban du Fonds mondial pour l'enfance (Unicef), Roberto Laurenti, a exprimé son inquiétude face aux réserves de nourriture et de médicaments qui diminuent dangereusement.
Et selon Bassam Chouyait, responsable d'un centre de secours à Beyrouth, les déplacés installés dans les écoles manquent de l'essentiel : "On manque de matelas, de trousses de premiers secours, de pain, d'ustensiles de cuisine, de couches pour bébé, de boîtes de conserve, de bougies", affirme-t-il.
Une journaliste tuée au cours d'un bombardement à Tyr ; les relais de transmission, cible des raids aériens
La colline stratégique de Maroun al-Rass aux mains des forces israéliennes (L'orient le Jour 24 juillet 2006)
L'attaque meurtrière lancée par l'armée israélienne s'est poursuivie au cours du week-end, rasant sur son passage maisons, usines et centres de culte, tuant plusieurs citoyens et blessant au moins une trentaine d'autres.
Fait particulièrement marquant sur le terrain au cours de ce second week-end sanglant, la chute de la localité de Maroun al-Rass aux mains des forces israéliennes, après de violents combats qui se sont soldés par une quarantaine de morts des deux côtés.
Maroun al-Rass, une bourgade stratégique située à 900 mètres d'altitude, contrôle les abords des régions de Nabatiyé et Tyr ainsi que 25 villages et localités tenus par le Hezbollah. Même importance stratégique du côté israélien, puisque cette localité donne également sur de nombreux villages limitrophes.
Les deux journées de samedi et dimanche ont été également marquées par des frappes ponctuelles et ciblées contre un "complexe de télécommunications", et plusieurs relais de transmission, qui ont fait deux victimes parmi nos confrères. Après la guerre des ponts et les frappes contre les camions, voilà que commence une bataille d'un nouveau genre, ciblant désormais les journalistes et les installations de télécommunications.
Dans les faits, Israël a intensifié ses bombardements sur une grande partie du territoire, notamment au Liban-Sud, dans la Békaa et encore et toujours sur la banlieue sud, ou ce qui en reste.
Chute de Maroun al-Rass
Maroun al-Rass est tombée aux mains des soldats israéliens vers 14h30, hier, alors que les habitants de cette région limitrophe d'Israël vivaient dans la hantise d'une opération terrestre israélienne.
Selon le ministre israélien de la Justice, Haïm Ramon, l'objectif de cette opération est de repousser les miliciens du Hezbollah à 20 km au nord de la frontière israélienne pour les "déraciner" de cette région.
"Maroun al-Rass est sur une hauteur dominant la moitié du Liban, à 911 mètres d'altitude", a déclaré à la radio publique l'ancien commandant en second du corps d'armée déployé au Liban pendant l'occupation israélienne, Shaoul Kamissa.
"Tenir cette position donne à l'armée israélienne une capacité de contrôle et de dissuasion sur une zone très importante", a-t-il assuré. Des combats violents ont opposé ces derniers jours des unités d'infanterie d'élite de l'armée israélienne aux combattants du Hezbollah pour le contrôle de ce village.
Quatre militaires ont été tués dans ces combats au nord de la localité israélienne d'Avivim. L'armée israélienne a, par ailleurs, affirmé vendredi être en possession des corps de 13 combattants du Hezbollah également tués lors de ces affrontements.
Cette activité militaire fait craindre aux habitants une opération de grande envergure semblable à celle de l'été 1982, qui avait pour objectif de déloger du Liban les combattants palestiniens de Yasser Arafat.
Par ailleurs, deux civils ont été tués et 29 blessés dimanche dans des raids aériens et des tirs de l'artillerie israéliens au Liban, selon un bilan de la police.
Quatre ambulanciers, qui évacuaient un blessé, ont été blessés par un missile air-sol qui a visé leur véhicule se dirigeant vers Tyr.
Douze civils ont été en outre blessés hier matin dans des raids sur quatre villages de l'est de Tyr.
Par ailleurs, un civil a été tué et un autre blessé dans le bombardement d'une usine de tissage à Manara, au sud-est de Baalbeck.
Une usine de maisons préfabriquées et trois autres manufactures ont été détruites à Taanayel, à 40 km au sud de Baalbeck.
À Nabi Chît, à une vingtaine de km au sud de Baalbeck, la maison de Fayez Chakar, membre de la branche libanaise du parti Baas au pouvoir en Syrie, a été partiellement détruite. Le père du responsable "baassiste" a été grièvement blessé.
À Saïda, quatre civils ont été blessés par des éclats d'obus dans un raid aérien, le premier contre cette ville côtière depuis le début de l'offensive israélienne, le 12 juillet. Un bâtiment abritant un centre religieux du Hezbollah, vide lors du raid, a été détruit, selon la police. De nombreux raids avaient auparavant visé la périphérie de Saïda, détruisant notamment le pont sur la rivière Awali, voie d'accès à l'autoroute menant à Beyrouth.
Dans la Békaa, des bases relevant du FPLP-CG ont en outre été la cible de l'aviation israélienne ainsi que les localités de Kfarzabad et Faour. L'aviation israélienne a poursuivi dans la nuit le bombardement de routes au Liban-Sud, notamment dans la région de Tyr, et la route Jezzine-Kfarhouné, qui relie l'est du Liban à la montagne du Chouf.
Un membre de la Finul tué
Notons qu'un observateur des Nations unies, de nationalité italienne, est décédé des suites de ses blessures causées par des tirs du Hezbollah sur une position de l'ONU dans le village libanais de Maroun al-Rass.
"Selon les premières informations, le tir en provenance du Hezbollah a eu lieu lors d'un échange de tirs" avec l'armée israélienne a annoncé un porte-parole de l'ONU.
Les médias ont également été mis à rude épreuve. Hier, une photographe de presse libanaise indépendante, Layal Nagib, 23 ans, a été tuée dans un raid aérien dans la région de Tyr.
La jeune Libanaise a été tuée par l'explosion d'un missile qui s'est abattu à côté de sa voiture. Elle se trouvait sur la route entre Cana et Siddiqine, au sud-est de Tyr, a déclaré à l'AFP le chauffeur du taxi qui l'accompagnait.
Layal Nagib est la première journaliste en mission tuée au Liban depuis le déclenchement, le 12 juillet, de l'offensive israélienne.
Elle était membre de l'équipe d'un magazine libanais al-Jarass ("La cloche") et travaillait également de façon indépendante avec d'autres médias. Les forces israéliennes ont également détruit, samedi, des relais de transmission utilisés par la chaîne Télé Liban (officielle) et plusieurs autres chaînes de télévision, dont la LBCI, la Future TV, al-Manar et des radios.
Un employé de la LBCI a été tué et un autre blessé à Fatka, durant ce raid.
Les tirs ont aussi visé un relais de télécommunications à Terbol (Liban-Nord).
Signalons que l'organisation Reporters sans frontières s'est déclarée "indignée par la décision de l'armée israélienne de frapper des installations de télécommunications privant de fait des millions de Libanais d'informations".
Au total, onze personnes au moins ont été tuées hier et 56 blessées dans les tirs israéliens, portant à 361 le bilan partiel des victimes depuis le début de l'offensive.
La Syrie menace d'entrer dans le conflit si Israël envahit le Liban et se rapproche de ses frontières (L'orient le Jour 24 juillet 2006)
Dans un entretien au quotidien espagnol ABC paru hier, le ministre syrien de l'Information, Mohsen Bilal, a mis en garde Israël contre toute opération d'envergure au Liban, affirmant que "la Syrie entrera dans le conflit si Israël envahit le Liban par voie terrestre",.
"Si Israël entre au Liban par voie terrestre, ils peuvent arriver jusqu'à vingt kilomètres de Damas. Que ferons-nous ? Resterons-nous les bras croisés ? Absolument pas. Sans aucun doute, la Syrie interviendra dans le conflit", a déclaré le ministre syrien cité par ABC, ajoutant même : "Nos forces sont en état d'alerte".
M. Bilal souligne que la Syrie est avant tout favorable à un cessez-le-feu « au plus tôt », assorti d'un échange de prisonniers, et indique travailler en ce sens avec le ministre espagnol des Affaires étrangères Miguel Angel Moratinos, qu'il a rencontré cette semaine à Madrid.
Mais il souligne aussitôt : "Je le répète, si Israël envahit le Liban par voie terrestre et se rapproche de nous, la Syrie ne restera pas les bras croisés. Elle entrera dans le conflit. » Le ministre syrien a critiqué les États-Unis, jugeant "injustifiable" que "la superpuissance ne travaille pas pour un rapide cessez-le-feu". Alors que Washington accuse la Syrie d'armer le Hezbollah, Mohsen Bilal évoque le "soutien moral" de Damas pour la milice chiite, mais assure : "Nous ne finançons aucune résistance".
Damas prêt à parler avec Washington, Bolton hostile
De son côté, le chef de la diplomatie syrienne, Walid Mouallem, a déclaré hier que la solution à la crise entre le Liban et Israël passait par "un cessez-le-feu", et un "échange de prisonniers" entre le Liban et Israël, a rapporté l'agence officielle SANA.
Le ministre syrien a exposé, lors d'entretiens avec une délégation de diplomates allemands, le point de vue de la Syrie sur un règlement "basé sur un cessez-le-feu, qui donnerait la chance aux efforts diplomatiques pour un échange de prisonniers", a rapporté Sana. M. Mouallem a également exprimé "l'inquiétude" de son pays concernant "les développements dangereux dans la région".
"La communauté internationale déploierait des efforts pour élaborer une solution juste et globale au conflit israélo-arabe fondée sur les résolutions de l'ONU et sur le principe de l'échange de la terre contre la paix", a prôné M. Mouallem.
Samedi, le vice-ministre syrien des Affaires étrangères syrien, Fayçal Mokdad, avait indiqué sur la chaîne de télévision Sky News que Damas est prêt à ouvrir un dialogue avec les États-Unis pour résoudre la crise au Liban.
Damas est prêt à aider à résoudre la crise actuelle si Washington cherche à résoudre les autres problèmes de la région, notamment celui des territoires occupés par Israël, a-t-il dit dans un entretien avec la chaîne d'informations en continu.
"La position de la Syrie a toujours été que nous sommes prêts à avoir un dialogue avec les États-Unis. Les États-Unis, non seulement ne conduisent pas de dialogue avec la Syrie, mais aussi empêchent les autres d'avoir des conversations et un dialogue avec nous", a-t-il estimé.
L'ambassadeur américain à l'ONU, John Bolton, a cependant rejeté hier l'offre de Damas, affirmant que « la Syrie n'a pas besoin de dialogue pour savoir ce qu'elle doit faire ». Interrogé lors d'un programme dominical sur la chaine Fox, M. Bolton a déclaré que les Syriens "doivent faire pression sur le Hezbollah pour qu'ils libèrent les deux soldats israéliens faits prisonniers et mettent un terme aux tirs de roquettes contre des innocents".
Dernière heure
Israël annonce avoir capturé deux combattants du Hezbollah (L'orient le Jour 24 juillet 2006)
Deux combattants du Hezbollah ont été faits prisonniers par l'armée israélienne hier au Liban-Sud et ramenés en Israël, a annoncé la radio militaire israélienne tard dans la nuit. Les deux combattants ont été faits prisonniers dans le secteur de Maroun al-Rass, selon la même source.
Par ailleurs, six membres de la Croix-Rouge libanaise ont été blessés dans un bombardement de l'aviation israélienne à Tyr, alors qu'ils prenaient en charge des patients.
Les raids israéliens ont également fait six blessés, dont un bébé, dans le camp palestinien de Rachidiyé à Tyr.
Situation des victimes le 24 juillet 2006 à 11h00: 370 civils libanais tués
Soutien aux Palestiniens du Liban
Les Amis de la Fondation Culturelle Ghassan Kanafani (AFCGK) lancent une souscription exceptionnelle pour l'aide aux Palestiniens du Liban.
Dans la situation actuelle, le moindre soutien est le bienvenu. Nous organisons donc une collecte de fonds exceptionnelle. Si vous désirez nous aider rien de plus simple adressez un chèque à :
Association Les Amis de la Fondation Culturelle Ghassan Kanafani , 1 avenue Saint-Thomas 44100 Nantes.
Vous pouvez vous reporter à notre site actualisé sur http://fcgk44.free.fr
Merci d'avance pour votre soutien
Erwan KERIVEL pour l'AFCGK
contact : celwan@wanadoo.fr
Source : http://fcgk44.free.fr
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24 juillet 2006