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Palestine - 24 mars 2010
Par Mounir Shafiq
Interviewé par Wahid Tajan, Mounir Chafiq explique son évolution religieuse et intellectuelle.
Nous considérons que l’expérience du penseur et chercheur palestinien Mounir Chafiq, et la manière dont il s’est converti à l’islam, est assez passionnante pour nous y intéresser et nous y arrêter un moment. Le chercheur Chafiq était chrétien sur le plan confessionnel et marxiste sur le plan intellectuel. Lorsqu’il était marxiste, ses livres étaient considérés, par la majorité des partis communistes arabes, comme un champ d’étude théorique de base. Lorsqu’il se tourna vers l’orientation nationaliste, son livre De la division à l’union (min al-tajzi’at ila al-wahda) devint une des références principales des partis nationalistes arabes.
Lorsqu’il se convertit à l’islam, il fut considéré comme un penseur islamique éminent. Il avait déjà été actif dans les rangs de la résistance palestinienne. Il a été directeur du centre des recherches palestiniennes et un des plus importants théoriciens politiques de la résistance palestinienne. Il occupe actuellement le poste de coordonnateur général du Congrès nationaliste islamique.
« IslamOnline » l’a rencontré et l’a interrogé sur son expérience et sa conversion à l’islam. La discussion a abordé les concepts de discours islamique et d’islam politique.
Il se rapproche de l’Islam
- IslamOnline : Nous savons que vous étiez chrétien sur le plan confessionnel et marxiste sur le plan intellectuel, puis que vous vous êtes tournés vers la ligne nationaliste, et de là vous vous êtes convertis à l’islam. Notre question est la suivante : qu’est ce qui vous a guidé vers l’Islam et comment s’est réalisé ce changement ?
- Mounir Chafiq : Lorsque je me suis converti à l’islam, je n’étais pas communiste d’un point de vue organisationnel. J’avais quitté le parti communiste depuis de nombreuses années. Cependant, dans mon parcours marxiste, j’ai toujours cherché à examiner, d’une manière originale et non doctrinaire, les questions auxquelles était confrontée la nation ; sujets indiscutés par le marxisme. Nous espérions nous rapprocher encore et encore de la vie du peuple dans une tentative de trouver les vrais traits qui caractérisent notre pays et qui permettent le changement dans cette partie du monde.
Dés la fin de l’année 1976, une vraie critique du marxisme et de ses fondements débuta, c'est-à-dire de sa philosophie matérialiste, de sa méthode dialectique et de sa compréhension de l’économie politique. A tel point que la critique toucha aussi sa vision et son analyse de l’Europe et non pas seulement des pays du Machreq.
- IslamOnline : Vous parlez à la première personne du pluriel. Cela signifie t’il que vous étiez une partie d’un groupe ou d’un courant qui a pris la même direction vers l’Islam ?
- Mounir Chafiq : C’est vrai… Ma transition ne fut pas un processus individuel. Je ne me suis pas tourné vers l’Islam pour des circonstances particulières ou pour des croyances personnelles. Je faisais partie d’un vaste courant qui comprenait un nombre important de jeunes gens cultivés et pleins de ressources.
Ils avaient des connaissances profondes du marxisme, de l’histoire et de l’économie. Bien que nous ne fussions pas une organisation, nous nous rencontrions souvent et nous discutions, en profondeur et pendant des mois, de diverses questions. Il y avait, bien sûr, des désaccords et des divergences. Nous ne donnions pas une opinion sans avoir fait des recherches et sans l’avoir discutée profondément.
Ainsi, le processus de transition était un pas vers l’approfondissement de cette pensée. C’est moi qui l’aie créé de manière distincte. Vers la fin de l’année 1977, nous sommes presque tous parvenus à l’idée de la nécessité du commencement de la formation d’une théorie philosophique. Elle devait dépendre de la vision du monde, de l’analyse des sociétés, et de la vision de l’histoire. De telle sorte que cette théorie provienne de la nature profonde de notre réalité. Dans le même temps, nous annoncions notre abandon total du marxisme. En réalité, nombre des écrits de cette période sont encore en ma possession et il se peut que je les réécrive en montrant comment s’est passée la discussion et comment elle a évolué.
L’Islam est notre révolution
- IslamOnline : Combien de temps a duré cette période et quels sont les sujets qui vous ont valu le plus de recherches ?
- Mounir Chafiq : La discussion concernant l’Islam a duré environ deux ans. Nous avons discuté de l’Islam d’un point de vue civilisationnel, culturel, et le plus important, politique. Le courant, dans sa presque majorité, a compris qu’il ne pourrait y avoir de révolution, de changement, et de développement dans notre pays, d’indépendance, d’unité et de libération de la Palestine sans l’Islam, l’adoption des devises islamiques par les masses et le redressement sur les bases de l’Islam.
Nous voyions dans ce sujet une question de fond. Soit nous croyions en l’Islam soit nous ni croyions pas. Cette question n’avait rien à voir avec les intentions ni avec les circonstances, en tous les cas à cette époque. Nous en avons conclu que le changement, dans notre pays, devait se fonder sur les bases de l’Islam à moins que quelqu’un ne veuille l’imposer par la force et la violence. Ce changement par la force et la violence ne pouvait pas réaliser le but souhaité. Nous serions alors dans une situation d’occidentalisation. Nous avons commencé à revoir notre lecture de l’histoire. Elle n’était plus, pour nous, ce qu’en disait le marxisme.
En réalité, nous en étions fiers. C’était l’histoire du Machreq qui n’avait aucun rapport avec les siècles obscurs comme le pensaient les occidentaux.
- IslamOnline : Doit-on comprendre que votre relation avec l’Islam n’allait pas au-delà de sa qualité de facteur favorable à la révolution et aux masses ? Quel était votre regard sur la foi (iman) et la doctrine (aqida) qui sont les principaux piliers dans les rapports avec l’Islam ?
- Mounir Chafiq : Après avoir approfondi l’étude de l’Islam nous lui avons trouvé ces caractéristiques qui le différencient d’un point de vue civilisationnel, culturel et politique, mais aussi sa qualité de facteur favorable aux masses qui placent en lui leur confiance. Nous en avons conclu que ces caractéristiques n’avaient aucune valeur sans l’axe principal sur lequel elles reposent : la aqida. C’est elle qui engendre toutes ces caractéristiques et ces données. Enfin, nous avions conclu que si nous avions été sérieux dans la compréhension de l’Islam en tant que projet politique, de développement et de libération pour le pays nous n’aurions pu comprendre l’Islam, en tant que forme pacifique, qu’en nous fondant sur son axe moteur la aqida. Si nous ne comprenions pas très bien la doctrine de l’unicité (tawhid) nous ne pouvions réaliser cette construction.
C’est ainsi que nous avons commencé à faire des recherches sur cette question qui était en relation avec la aqida. Je ne vous cache pas que certains d’entre nous ne pensaient pas à faire des recherches sur la question de la création, certains même ne croyaient pas au Créateur, Dieu m’en garde. D’autres cachaient leur foi en Dieu sous des couches d’indifférence. C’est ainsi que recommencèrent des discussions approfondies. Comment a eu lieu la création ? Y a-t-il un Créateur ? Toutes les théories matérialistes, spéculatives et athéistes ont été évoquées en contrepoids des théories de la foi et de l’attestation de l’existence d’un Créateur Tout Puissant. Les preuves qui ont été présentées par les partisans de la foi étaient beaucoup plus fortes que les autres. Beaucoup d’entre nous en ont conclu que c’est Dieu le Très Haut qui créa l’Univers et qui le gouverne. De même, ils conclurent que la grandeur du Coran et de l’Islam n’aurait pas cette ampleur d’action si le Coran n’était pas descendu de Dieu le Très Haut, et si le Prophète Mohammad, le sceau des Prophètes, n’était pas le messager et l’envoyé de Dieu. C’est ainsi que nous sommes entrés dans une nouvelle bataille avec nous même au sein de ce courant de pensée. Certains se sont convertis et ont amélioré leur pratique de l’islam, d’autres ont continué à débattre. Le plus important est que ce courant intellectuel, culturel et politique a commencé à se diriger sur la bonne voie et le droit chemin.
La connaissance de Dieu est une méthode
- IslamOnline : Pouvez-vous nous parler des questions que vous avez abordées durant cette période ?
- Mounir Chafiq : La question la plus importante qu’ont abordée ceux qui croyaient entièrement à cette idée est comment allons-nous aborder cette question inhérente à la foi : la peur et la crainte révérencielle de Dieu, l’amour et le désir pour Lui Le Tout Puissant. Toutes ces questions affectives nécessitaient un genre de transparence qui était absent dans la pensée matérialiste précédente ainsi que dans la pensée philosophique. La question n’était plus collective. C’était la seule question dont nous n’avons pas pu débattre de manière collective. Nous avons dit : « Cette foi doit être accompagnée de transparence, de dévotion, de sentiments, de sensations et de passion ».
Toutes ces questions étaient personnelles. Je me souviens être allé, une fois, chez un frère qui était médecin, et avoir dormi chez lui. Lorsque je me suis réveillé pour la prière de l’aube, je l’ai trouvé en train de lire le Coran sanglotant et mouillant le Saint Coran de ses larmes. Cette scène me bouleversa et j’ai espéré arriver à ce niveau de foi, de sensibilité et de crainte.
- IslamOnline : Comment considérez-vous le terme « le discours islamique contemporain » ?
- Mounir Chafiq : Il existe un vrai discours islamique, c’est celui que présentent les savants et les penseurs en tout temps, en tout lieu et à chaque étape. Ce vrai discours islamique est le discours qui est toujours contemporain, de l’époque du messager, que les saluts et les bénédictions de Dieu soient sur lui, à aujourd’hui. La contemporanéité doit être liée à la droiture et à l’exactitude. Si quelqu’un dit présenter un discours islamique contemporain, alors que ce discours n’est pas fidèlement ancré et fondé sur le Coran et la Sounna, on ne peut donc pas le considérer comme contemporain.
Le discours contemporain est celui dont les racines sont profondes. C’est celui qui regarde ce monde attentivement pour comprendre les conditions et les règles qui le régissent ; qui observe les besoins réels qui doivent être traités à cette époque. Il y a un discours que l’on peut appelé contemporain, mais en réalité il ne l’est pas car il ne fait pas face aux défis ; il courbe la tête face aux défis de l’Occident.
La contemporanéité réside dans le défi et dans le fait de tenir tête à ce que l’on appelle les conditions modernes ou les positions modernes car une des caractéristiques les plus importantes de la civilisation occidentale est qu’elle est venue pour nous dépouiller et qu’elle n’accepte pas de coexister avec nous. Bien au contraire, elle veut la fin de l’Islam et de tous ses discours contemporains et traditionnels. On attend du discours islamique moderne qu’il comprenne parfaitement l’Occident et qu’il connaisse ses points faibles pour lui faire face et le défier - et ce n’est pas par abaissement ou par crainte de ses forces militaire et technologique -, et qu’il observe les occidentaux et jusqu’où est arrivé leur matérialisme qui les a dépouillés de leur humanité. Le projet islamique pourra présenter à ces hommes une bouée de sauvetage.
- IslamOnline : Vous avez fait allusion à « l’islam politique ». Comment comprenez-vous cette expression ?
- Mounir Chafiq : Je suis convaincu que cette expression a été mal employée ou que certains veulent dénaturer son utilisation. Chaque personne est politique, parle, sans aucun doute, de politique et tout ce qu’elle fait a un rapport avec la politique. L’homme ne peut pas fuir la politique. Le sujet controversé se situe dans la référence politique : pouvons nous croire en l’Islam et le prendre comme référence et source pour notre compréhension et notre rapport à la politique ? Ou la politique doit-elle prendre une référence comme la référence occidentale par exemple ?
Je crois que le concept de la politique en Occident repose sur l’opportunisme et sur une vision pragmatique. Il n’y a pas de place pour les valeurs morales dans la lutte politique occidentale. Lorsque je dis qu’il est nécessaire de s’accrocher à l’Islam cela signifie que le travail politique doit d’abord reposer sur les valeurs morales, et qu’il doit avoir des fondements moraux, des valeurs, de la droiture, et de la sincérité. Nous n’acceptons pas que l’on utilise la religion comme couverture à la politique comme le font, plus que les autres, les laïcs. Nombre de dirigeants essaient d’apparaitre sous une apparence islamique alors qu’ils sont loin de l’islam… Il est important de débattre du sujet à travers les questions suivantes : Sur quel fondement repose la politique ? Comment s’envisage la politique ? Quels sont ses valeurs morales ?
Nous sommes en présence de deux tendances. Celle qui ne veut pas discuter de ce sujet et qui veut appliquer le modèle occidental dans les luttes politiques et partisanes alors que nous avons une religion, des traditions et une histoire qui nous passionnent. Nous avons des modèles de dirigeants : Omar ibn al-Khattab (1), l’Imam Ali ibn Abi Taleb (2), Abou Bakr al-Sadiq (3) et bien sûr le premier modèle et le plus important le Prophète Mohammad, que les saluts et les bénédictions de Dieu soient sur lui.
Le pluralisme
- IslamOnline : Ces propos nous amènent à vous interroger sur la notion de démocratie en Islam et sa position sur le pluralisme politique ?
- Mounir Chafiq : Ces derniers temps, il y a une opinion dominante, parmi les mouvements islamiques et les penseurs islamiques, qui voit la nécessité de recourir à des élections concernant la question de l’accès au pouvoir et de donner une liberté intellectuelle plus grande. Cette question est devenue un postulat. Il faut maintenant lui trouver une forme et la transformer en réalité. Cela n’exclut pas, bien sûr, ceux qui refusent la démocratie, les votes et le Parlement mais ce n’est pas une tendance dominante.
A mon avis, l’accès au mot « égalité » par les peuples islamiques et les dirigeants ne se fera que par la pluralité, par des élections honnêtes et le respect des votes, par la tentative de consolidation d’un genre de traditions institutionnelles et constitutionnelles ou par une organisation de relations qui permette de débattre publiquement de cette question.
- IslamOnline : Il y a une peur du mot « démocratie » dans certaines tendances islamiques.
- Mounir Chafiq : Je n’aime pas utiliser le mot « démocratie » parce qu’il comporte, parfois, beaucoup d’ambigüités. Parfois, on le comprend de manière étrange. Il faut le décomposer en éléments et voir quels sont les éléments que l’on peut adapter à la doctrine et à la foi. Ainsi, il n’y aura plus de problèmes. Il est important que le contenu soit clair, actuel et harmonieux.
En ce qui concerne la voie, par laquelle il faut appliquer la pluralité : la shoura (4) et l’arbitrage au groupe, le choix des dirigeants, la tentative de choix des députés du peuple, arrêter d’imposer une idée par la force et la violence, et arrêter d’attaquer l’autorité de manière anti-démocratique.
Il ne fait aucun doute qu’il faut laisser de l’espace à chaque pays selon leurs propres conditions. Même les pays occidentaux ne sont pas soumis à un modèle unique de démocratie. Ceux qui portent le bâton à chaque occasion et disent « faites comme font l’Occident et l’Amérique sinon vous serez condamnés sur des questions relatives aux droits des Hommes ou pour vos atteintes récurrentes à la démocratie » veulent mélanger les choses.
Il est du droit des peuples du Tiers Monde islamique de chercher leur formation… Si nous prenons, par exemple, le Soudan, pourquoi n’aurait-il pas une méthode particulière pour exprimer la volonté du peuple, ou la manière d’élire les gens ? Devons-nous exiger la transparence des élections générales comme en Grande Bretagne, par exemple, alors que nous nous taisons sur d’autres pays ? Je pense qu’il est nécessaire de respecter la volonté d’expression dans chaque pays et d’essayer de surveiller comment vont se dérouler les choses : est ce que cela va se développer ou régresser et chuter ? Le particularisme est à double tranchant. Il peut être utilisé pour la propagation de la répression et le despotisme, et pour la confiscation des libertés. A mon avis, l’expérience du Soudan présente un modèle nouveau, ou contemporain, pour la gestion du gouvernement et l’application de la shoura par étapes. Il faut prendre en compte cette riche expérience.
Contre l’arrogance (al-istikbar)
- IslamOnline : Parmi les questions qui sont posées actuellement il y a celle de la relation entre sunnites et chiites… Comment envisagez-vous la question du rapprochement des doctrines ?
- Mounir Chafiq : L’unité islamique est nécessaire. Ce n’est pas seulement une obligation religieuse. Il faut que les musulmans se rapprochent les uns des autres et qu’ils cessent les discordes entre eux. Notamment en ce qui concerne les questions principales de l’Islam. Les défis auxquels fait face la communauté exigent qu’elle réalise des tentatives sérieuses pour le rapprochement et l’union, pour trouver comment vivre ensemble, et pour construire de nouvelles traditions. Cela ne se fera que par le dialogue loin des attaques, de la violence, et de la chasse aux positions et aux erreurs, afin que ne s’amplifient pas les discordes. Cela ne signifie pas que l’on doive abandonner nos théories et nos concepts. Chacun conserve son opinion comme il le veut. Cependant, nous devons trouver les questions communes à traiter et repousser cet assaut qui nous vise tous sans exception. Cela doit se réaliser, si ce n’est pas maintenant, dans les vingt ou les cinquante prochaines années. Cependant, il faut, dés maintenant, que la pensée islamique soit, de plus en plus, approfondie et développée. Il est aussi nécessaire de comprendre, dés à présent, les besoins et les contextes.
Je suis convaincu que cette question ne concerne pas uniquement les doctrines. Nous devons, nous les gens défendant ce projet, supporter le processus de rapprochement, d’union et de solidarité, et même avec les peuples du Tiers Monde. Nous devons trouver un terrain commun pour unifier les positions des faibles parmi les musulmans et les non musulmans, en réponse à cette dangereuse arrogance mondiale.
Notes de lecture :
(1) Omar ibn al-Khattab fut le second calife de l’Islam (634-644) (NdT)
(2) Ali ibn Abi Taleb fut le quatrième calife de l’Islam (656-661) (NdT)
(3) Abou Bakr al-Sadiq fut le premier calife de l’Islam (632-634) (NdT)
(4) Notion de consultation qui renvoie au verset coranique : « Les affaires (des croyants) sont objets de consultation entre eux » (42 :38) (NdT)
Source : Islam On Line
Traduction : Souad Khaldi
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